Duss. Pour poursuivre ce que j'ai exprimé d'il y a peu de temps, soit mon vécu où je me trouvais gardé en famille d'acceuil, lorsque je me retrouvais être assisté par une jeune maman et de sa fille ainée. Alors, la jeune femme se prénommais Annette, sa grande fille, Véronique, surnommé "Véro", et la plus jeune, Fabienne. Aussi, le père, Jacques et un fils, Bruno, souvent absent tout les deux, Bruno que je retrouvais plus souvent avec ses copins en extérieur. Donc, Annette, la jeune mère qui me prenait à charge, décidait de mon assistanat, me déshabillant elle même, complètement, pour vouloir me passer à la douche, qui me lavait elle même. Annette me savonnait, de haut en bas, parties intimes comprises, soit même le zizi, au niveau des testicules, périnée, puis, me faisait me retourner afin de me laver les fesses, l'anus également. A sa demande devais écarter asse largement mes cuisses, qu'elle me savonnait aussi, et faisait le reste du corps. Quand Annette, donc la maman ne pouvait s'occuper de moi, cela faute d'autres occupations, obligations, d'empêchements que ce soit, alors, elle me relèguer à sa fille Véronique, ou Véro. Véro alors, à son tour, avait charge de moi, qui aussi me déshabillait et me lavait elle même, elle aussi, de la tête aux pieds, parties intimes avec, ou en plus, comme tu veux. Véro avait pourtant qu'un an de plus que moi, mais la maman et sa fille, toutes deux s'étant accordé entre elles, que comme je paraissais ne pas être bien mur de mon âge, pas très développé physiquement, paraissant très petit garçon, plus que ado, qu'il était donc normale que ce soit des femmes ou des filles qui me prennent à charge, m'assistent à mes toilettes, ou me lavent elles même. Logique pour elles deux, puisque en plus à ces moments, j'étais le seul garçon pour trois filles, dont la maman, son ainée, et Fabienne, la plus jeune devant qui Annette, Véro me déshabillaient et me passaient au savon, dans la douche, en sa présence. Je pensais cette position avec elles, comme normale, logique, naturelle et obligé. Cela , même si je devais me sentire gêné car vraiment infantilisé, même materné par les deux femmes, ou filles, peu importe, en plus, étant tout nu, me faisant entièrement laver, savonner, tout y passait, de haut en bas, et devant la gamine en plus, par deux femmes qui me relayaient entre elles, cela, j'avoue, j'aimait, même si je ne disais rien, ne le montrais pas. Peut être le devinaient elles toutes les trois, je ne saurais dire. D'autre faits mais je passes pour le moment. Juste ce sujet aussi, Françoise qui elle également était plus jeune que moi, un an d'écart uniquement, elle, une bonne trentaine, moi donc, un an de plus, durant trois an de fréquentation avec elle, qui aussi aimait dominer , gouverner ou gérer les choses, surtout sexuellement. Elle aussi allait m'assister pour vouloir entièrement me déshabiller, me laver, passait le savon sur tout mon corps entier, zizi, testicules, périnée, fesses et anus, cuisses, ventre, qui me savonnait bien le gland de ma quéquette en plus, insistait même sur l'anus , l'urètre également qu'elle écartait en serrant le bout de mon zizi pour bien savonner cette partie. Là je me retrouvait à force très excité, raide à bloque et elle le voyait bien. Mais persistait même au risque que j'éjacule, et jouisse devant elle; Françoise aimait ça justement. Elle allait même plus loin encore, très loin, car sexuellement, me voulait tout nu, jusqu'à vouloir me trainer dans son wc pour me voir et regarder faire mes besoins, pipi et caca sous ses yeux, même si en érection, très excité, même si je devais être humilié. Françoise , pendant que je faisais mes besoins, nu, livré à ses regards, qui m'étudiait, me demandait de pousser en faisant pipi, et me doigtait pour elle même, tout sortir de moi. Elle me fouillait tout au fond, en agitant son doigt, le tournait, me donnais comme des coups, jusqu'à tout me vider, donc, elle m'ôtait elle même tout mon caca , insistait même et surtout quand je me crispais et que mon anus se refermait. Elle ne prenait pas de gants, car voulait bien sentir les choses de moi, mes excréments, comme mes pipis d'ailleurs. Rien de moi ne la dégoutait, au contraire, elle m'aimait asse fort, pour assumer tout de moi, odeurs, bruits, soit clapotis anales, couinements, la matière gluantes, tout, le pipi comme le sperme en plus, mes baves, elle prenait tout de moi, tout en mains et me faisait même rester sale, souillé en me baisant, passait ses mains partout sur moi. Je reviendrais plus tard dans le temps.