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Après cette première rencontre très charnelle et erotique, je ne pouvais l’oublier. Nous nous nous sommes quittés sans prendre les contacts de chacun. Un mois c’est écoulé, je reçois un appel téléphonique que je ne connais pas. Je réponds en me demandant qui pouvait être derrière ce numéro. Un bonjour suffit pour comprendre de qui il s’agissait. Mon épaule douloureuse avait fait des pieds et mes mains pour me retrouver. Après mon étonnement il me posa des questions banales mais je voulais qu’il soit plus entreprenant. Je voulais lui dire oui moi aussi. Tu es dans ma tête, mes mains n’ont pas oubliées ton grain de peau, ce parfum subtil et séducteur. Enfin il se décide de me proposer un rdv. Nous nous voyons dans un café et discutons beaucoup. Et c est ainsi une dizaine de fois, j’aimais déjà parler d’erotisme et je partageais ça avec lui. Il m’emmena dans un hôtel en après midi et j’accepta volontiers. Tous ce que j’avais ressenti la première fois est revenu comme un boum rang. J’étais un peu timide du au fait que c’était notre première fois. Je lui avais parlé de mes premières sodomisations et c’était toujours une épreuve et zéro plaisir. Donc il m’embrasse je le touche de partout et je sentis son désir. Avec toutes nos discussions sur le sexe il a su me faire plaisir assez rapidement. Et la vient les chaises sérieuses commencent il me lubrifie mon lotus en même temps qu’il me pénètre. J’essaye de de pas me bloquer j’ai du plaisir quand il me pénètre mais je suis dans une forme de retenue. Il pousse son pouce à l’entrée de mon lotus et je lui fait confiance. Il me stimule et ça fonctionne je me dilate bien et commence à avoir un plaisir plus que correct. Il me demande de bouger mon corps vers lui pour que je prennes son sexe sans contrainte et je le fais sans réfléchir. Lorsque tout est entrée il se mis à bouger doucement si doucement qu une envie d’accélération se manifeste. Je lui demande d’augmenter progressivement le rythme. Et là, je me prend une vague de plaisir. Je ne connaissais plus mon nom plus rien vide de tout tellement le plaisir a pris toute la place. Je criais de joie, d’exaltation que j’ai dû manger le cousin pour atténuer l’expression de ce plaisir éprouvé.
