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Après avoir passé une après midi Sylvain, Roberto et moi nous constations les conséquences de nos ébats passionnés. Sylvain a cassé son lit en me pénétrant avec telle fougue que le lit n’a pas résisté. Les draps foutus un trop pleins de Cyprine. Et mes deux partenaires épuisés mais très contents. Je rentre pour me reposer à mon tour. De bons souvenirs, je me remémores les scènes et ça m’excite encore les vacances touchent à sa fin et je rentre chez moi. Je n’arrête pas de penser à Roberto cet amant si incroyable. Il m’a fait goûter une chose si délicieuse que je n’arrive pas à oublier. Il décide de me retrouver à Strasbourg et moi je n’ai qu’une envie c’est de lui appartenir. On se retrouve dans un hôtel face à la gare. Très émue, je n’arrive pas à lui parler. Mes yeux faisait le travail pour moi. Une petite fille devant cette homme qui m’impressionnait tant. Il avait des mains chaleureuses il me prend dans ses bras à peine la porte fermée. Je ne fis aucun geste de résistance bien au contraire je me suis accroché à lui pour ne plus le laisser partir. Pour ne pas laisser échapper cette amour que j’avais pour lui. Ma joie est si grande que des larmes apparaissent et il compris assez vite toute l’attente et la frustration éprouvée dû à son absence était bien réelle. Il m’embrassa sa langue chaude réconfortante exprimait la réciprocité de ses sentiments. Je lui est manqué également. Nous entamions une danse sensuelle erotique entre caresses, baisers et ondulation de nos deux corps excités. Mon désir me faisait mal au point de vouloir son sexe en moi sans préliminaire pour calmer la braise ardente qui me consumait de l’intérieur. Il me força à de pas bouger et d’accepter son rythme, son besoin de mettre sa langue dans mon temple, d’explorer ce qui lui manquait. Le goût si particulier du désir de la femme. J’avais chaud à l endroit même où il jeta son dévolu. Je me cambre par réflexe pour mieux l’accueillir je gémis, des sons sortent de ma bouche et je ne les comprends pas. Une forme de possession absolue je me reteint tellement c est un supplice, une torture de résister être pénétré. Je jouis si fort que j’en ai eu le souffle coupé…..