Ma 1ère fois

Onuphre
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On se souvient tous et toutes de notre 1ʳᵉ fois.
Moi, c'était en 6ᵉ dès la rentrée scolaire, j'ai kiffé ma prof de math/anglais, je n'arrêtais pas de la regarder, elle était rousse cheveux long, quand elle était en jupe, j'essayais de voir ses genoux ou plus haut, mais je préférais ses décolletés, ils n'étaient jamais bien larges, mais quand elle se penchait mes yeux se fixaient le plus loin possible à l'intérieur.

Début novembre, j'ai décidé de me faire souvent coller les samedis et mercredis uniquement quand c'était elle qui devait nous surveiller, un jour vers la fin d'année, elle a fini par avoir des doutes et m'a demandé pourquoi, sur le coup, j'ai été pris de court, et j'ai réussi à bredouiller qu'elle était belle, là c'est son tour a ne pas trop savoir que dire, elle a changé de couleur, mais elle ne s'est pas fâchée ni me dénoncer au directeur ou à mes parents.

J'allais avoir 13 ans et physiquement, j'avais une bonne carrure, sexuellement correctement membré, et encore puceau, on me donnait souvent plus que mon âge.
Depuis le jour, où je lui ai dit pourquoi j'étais fréquemment collé, envers moi, je la voyais être peu à peu différente, non pas en classe où j'étais l'élève et elle la prof, je me risquais quelques fois à la toucher de l'épaule dans les couloirs ou quand on était beaucoup autour d'elle ou quand elle me donnait quelques chose, le plus discrètement possible je lui touchais le bout d'un doigt, j'ai toujours été prudent que personne ne s'en rends compte, et qu'elle n'a jamais d'ennui, car même jeune je savais que c'était interdit, je me disais plutôt que c'était comme un jeu et que jamais ça irait plus loin.
Un samedi, j'étais enfin le seul collé, elle était assise au bureau à me surveiller. Aujourd'hui en disant cela, je pense qu'à cause de moi, elle a dû venir a l'école au lieu de rester chez elle en famille ou amis. Je suis venu à côté d'elle debout et j'ai posé doucement ma main sur son épaule, elle n'a pas bougé, j'ai donc pris sa main pour la faire se lever et doucement, j'ai approché mes lèvres des siennes, j'avais déjà embrassé des filles, mais là ça n'avait rien à voir, c'est même elle qui "conduisait" nos lèvres se caressaient mutuellement, nos langues se croisaient sans cesse dans tous les sens, elle basculait sa tête plusieurs fois d'un côté à l'autre, et surtout, elle m'a enlacé fort contre elle, je sentais le moelleux de sa poitrine que j'ai finie par caresser par-dessus son chemisier et son soutien-gorge, elle nous a un peu déplacé pour se coller au mur, elle a guidé ma main dans son entre jambe, en passant, j'avais remarqué qu'elle était de plus en plus souvent en jupe ou robe, j'ai passé ma main par-dessous sa jupe pour caresser sa fente, mais quand j'ai voulu passer sous sa culotte, elle a repris ses esprits et a stoppé ma main, en disant qu'il fallait arrêter que ce n'était pas un bon endroit, car trop risqué de se faire prendre, pourtant cette classe était au bout d'un long couloir et que le plancher nous aurait avertis de la moindre présence, de plus, ce côté de mur où on était, n'était pas visible de la cour ou d'une autre bâtiment, elle m'a pris ma tête entre ses 2 mains pour m'embrasser et me dire qu'elle promet de trouver un autre moyen de nous voir, elle s'est un peu revêtue, elle est allée à son bureau écrire sur une feuille quelque chose que je devais donner à mes parents, elle proposait que je vienne les samedis et mercredis, chez elle pour améliorer mes math en ajoutant que j'avais un potentiel que je n'exploite pas, en prétextant que peut-être d'autres élèves de la classe y participeraient, elle ne savait pas encore trop lesquelles, quelle devait réfléchir. Mes patents ont dit oui, le 1er jour mon père m'a conduit en voiture, et moi devant lui, j'ai dit à ma prof "Bonjour madame Dupont" elle m'a répondu en ajoutant d'aller attendre dans son salon le temps de discuter avec mon père, quand il est enfin parti, juste avant de sortir, il m'a dit revenir pour 17 h et de bien travailler.

Elle a vérifié que la voiture quittait la rue pour venir m'embrasser, elle m'a prise ensuite par la main pour me faire monter son escalier et entrer dans sa chambre, où on s'est dévêtus mutuellement avec plein de caresse et baiser, et on a fait l'amour non-stop pendant 2 heures, vu nos âges, elle avait évidemment plus d'expérience que moi, au début c'est surtout elle qui faisait tout ou presque, mais peu à peu mes envies mon naturellement pris le pas, elle me guidait et m'expliquait pourquoi ne pas faire comme cela, mais comme cela, de ne pas forcer ou être pressé, le "cours" a été rapide, avec quelques années de recul, je confirme qu'elle était vraiment bien active.
Une des fois suivantes, elle m'a montré que je pouvais la sodomiser, au début, je n'ai pas complètement aimé disons que je n'y avais jamais songé, mais voyant que ca ne la dérangeait pas et qu'elle aimait assez bien, je m'y suis fait, mais nous ne le faisions pas à chaque fois, moi j'aimais beaucoup la lécher tout en jouant avec son clito parfois en entrant 1 ou 2 doigts ou avec ses seins, son ventre, ses fesses. . Etc, j'adorais la voir jouir c'était comme une mitraillette, elle venait en rafales et je prenais plaisir à la relancer une fois qu'elle avait presque fini, à force, elle me suppliait d'arrêter, je lui répondais "ok, j'arrête !!", "mais non en fait, je veux encore te voir partir une nouvelle fois", une fois, elle m'a traité de "salaud" "mais continue quand même s'il te plait", il lui fallait pas mal de temps pour revenir sur terre, mais bien sûr, elle se vengeait quand c'était mon tour, elle faisait durer le plaisir et surtout, elle arrivait à me retarder bien longtemps, ou suffisamment pour jouir en même temps, combien de fois, j'ai senti ses jets sur mon sexe, ce qui décuplait notre plaisir, par contre des années plus tard, j'ai appris un mot, c'est le mot "tumérance", je ne sais pas trop comment l'écrire, mais ce mot, je ne le retrouve plus en faisant une recherche, alors je tape "période où le gland du sexe d'un homme est hyper sensible après une éjaculation", et ça affiche "réfractaire", surement encore un de ces mots qui apparait dans la langue française au détriment d'un autre, bref, quand j'étais dans cette période réfractaire, elle s'amusait à ne pas le toucher, ouf, mais à me sucer avec une infinie douceur et lenteur, ou si j'étais en elle, on ne bougeait plus le temps de baisser cette sensation et on repartait tout doucement pour finir tous les 2 dans notre grand feu d'artifice.

Mon père n'est venu que 2 fois, par la suite, j'y allais à vélo, ce qui était bien plus pratique, car de temps en temps, je prétextais aller avec les gamins du quartier ou alors, je disais avoir envie d'aller en foret, ou au parc, ce n'étaient pas les endroits qui manquaient, puis j'allais chez elle, je voulais tellement que cette relation soit discrète pour lui éviter des ennuis assez grave, en roulant je surveillais si mon père ne me suivait pas, ou je passais exprès par un ou des endroits interdits aux voitures.

De temps en temps, ça nous arrivait de ne rien faire du tout, soit à regarder la télé, soit à écouter de la musique et danser comme en boite de nuit que j'ai découvert quelques années plus tard, soit à s'allonger dans le jardin côte à côte, on est resté comme cela 2 ans, personne n'a jamais rien su, puis j'ai dû changer d'école pour entrer en 4ᵉ et elle a été mutée dans sa région, on s'écrivait souvent au début puis elle a rencontré un gars de son âge, l'année suivante, ils se sont mariés, puis ils ont voulu un enfant, a ce propos, elle a réussi à convaincre son mari sur le choix du prénom du bébé, si c'est une fille, c'est lui qui choisit et si c'est un garçon, c'est elle, et elle lui a donné mon prénom.

C'est un peu après qu'on a décidé de ne plus s'écrire, pour toujours éviter que ça se sache, et aussi, on ne voyait plus grand-chose à se dire à part raconter nos vies, la distance a, je crois bien fait les choses, si on était resté dans le même coin, ç'aurait pu devenir compliqué de se croiser en ville même sans préméditation, elle a aussi eu envie de revoir sa région, ici au départ ce n'était que temporaire, mais il a duré 4 ans, alors qu'à l'origine une fois devenue prof, elle avait bien demandé à rentrer chez elle, mais ils sont placés là où il y a de la place, ils ont un système de numéro, qui fait qu'elle est par exemple numéro 2 puis 1 quand un prof part de sa région puis 0 quand c'est son tour, enfin voila.
 
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Elle m'avait tout appris en faisant de moi un homme, malgré mon jeune âge, elle en a aussi bien profité, m'a-t-elle dit un jour, j'étais étonné, elle m'a expliqué avoir vécu avec un homme quelque temps, mais ils se sont séparés sans trop me dire pourquoi, mais pour continuer à dire pourquoi elle a aussi et sans pouvoir faire autrement que j'étais mignon, gentil, discret et vu mon âge, malgré une certaine interdiction, elle savait que j'étais malléable, point de vue sexe, a part tripoter et embrasser maladroitement des filles de mon âge, je n'avais pas été plus loin, donc facile pour elle de me guider dans ses envies, d'ailleurs, elle m'a aussi avoué qu'elle ne connaissait pas la sodomie, et point de vue moralité, j'étais très conciliant, une crème, mais fallait pas me chercher des ennuis, elle aimait bien ma personnalité et elle a fortement contribué à me changer, ce jour-là, on a beaucoup parlé, elle avait envie de se confier en me demandant de temps en temps si je lui en voulais (bien sûr que non, au contraire c'est moi qu'il l'a "dragué"), elle devait avoir des remords pour cette liaison, elle a essayé ce jour-là, mais aussi quelques autres fois pendant ces 2 années de m'en dire plus, mais n'y arrivait pas comme elle aurait voulu, du genre à cogiter la nuit en se disant de dire ceci, et cela, de telles façons et d'essayer de bien tout mémoriser, mais une fois face à moi, elle devait perdre des bouts de ce qu'elle avait préparé, j'étais pourtant bien attentif en essayant de ne pas trop réagir pour ne pas la couper dans son élan, mais bon je sais bien ce que c'est de se préparer et qu'une fois devant le fait, on perd nos moyens, tout ne se passe pas comme prévu ou plutôt souhaité, c'est rageant, mais c'est comme ça.

Physiquement, elle avait un corps magnifique, bien proportionné, rousse avec pas mal de tache de rousseur, de longs cheveux assez clairs, ils allaient bien en dessous de ses omoplates, parfois noués par un ruban, ou élastique parfois volant à tout va, parfois, et jadorais énormément, elle faisait 3 longues tresses, 1 de chaque côté de la tête et 1 au milieu allant presque du haut du crâne, ensuite, elle tressait ses 3 tresses ensemble, un peu comme les Elfes, j'adorais énormément cela, je sais j'ai déjà dit un peu plus haut, c'est preuve que j'adorais énormément cela, d'ailleurs les 1 ères fois dans la cour de récréation, beaucoup se retournaient et quand elle disait bonjour aux autres professeurs, elle passait sa main sur un côté des cheveux, un peu comme un peigne et de loin je la voyais parler en souriant, ses yeux étaient vert/bleu, un regard magnifique, je me souviens de son 1er regard sur moi, le jour de la rentrée scolaire, je me demandais ce que j'allais encore avoir comme tortionnaire, quand j'ai entendu mon nom, j'ai rejoint la file d'élève qui étaient déjà là et j'ai été comme figé quand elle m'a dit bonjour et bienvenue, sa bouche, d'où était sortie ses 2 mots, était plutôt petite, mais son sourire était très joli, et simple, pas comme certaines personnes qui l'ont un peu de travers, ou qu'on aurait dit qu'ils forcent un peu, elle n'était pas trop grande 1,75 m et moi j'approchais de 1,70 m, sa poitrine était 85C à l'époque je ne savais pas ce que ça voulait dire, ses seins étaient bien droits et relevés, mais pas totalement symétrique, ce que j'ai appris plus tard qui est normal pour tout le monde, j'ajoute que lors de nos ébats, ils étaient bien sensibles, elle adorait se faire masser, peloter, elle se sentait femme, sa taille était fine et ses hanches légèrement plus larges, un jour quand elle accouchera son bassin s'élargira, ça devait la rendre encore plus belle, mais tout cela aussi, je ne l'ai appris que plus tard, ses fesses étaient fermes et molles, sûrement un truc dû à la température, ses jambes longues et fines me plaisaient beaucoup, en fait tout me plaisait, même sa voix était douce et limpide à écouter, mais pouvait devenir forte et sévère si en classe on chahutait un peu trop, son regard aussi devenait dur, elle savait se faire respecter, j'ai un peu gardé le meilleur pour la fin, son sexe, lui aussi était bien sensible aux caresses, que j'ai au fil de nos ébats par caresser par petits à-coups, soit effleuré d'un doigt puis d'un autre, ou du dos de ma main, ou de mon genou, je réussissais à lui faire monter de désirs sans vraiment beaucoup la toucher, j'alternais entre ses seins, son sexe, une cuisse, une fesse, son cou, ses lèvres… Etc, elle bouillonnait de plus en plus, je savais et je voyais qu'elle me suivait du regard, et fermait parfois légèrement les yeux, je la poussai à avoir de plus en plus envie que je vienne me coller à elle ou que j'aille la lécher ou la pénétrer, j'avais souvent du mal à bien résister de ne pas aller plus vite, mais quel bonheur une fois parti de la regarder se trémousser, elle n'a jamais fait semblant et parfois pour casser l'habitude, je faisais semblant de prendre mon temps et ensuite, j'y allais très rapidement, car selon mon humeur, mes envies, mais surtout par jeu, j'accélérais puis je ralentissais pour peut-être encoe accélérer ou pas, qu'elle perde notion d'où elle en était, ça la surprenait à chaque fois, mais pour moi elle le savait, je ne pouvais pas la pénétrer sans venir chatouiller son minou, surtout que je voyais et le sentais passer de sec à très humide.

Tout cela, je l'ai appris au fil du temps grâce à elle, d'ailleurs, je n'avais jamais auparavant gouté un sexe, bien sûr, j'en ai eu d'autres par la suite, mais chacun est différent en odeur, en goût, en forme, en couleur, j'adorais le sien, elle avait des poils en triangle qu'un jour, je lui ai demandé de raser, elle n'y avait jamais songé elle m'a demandé si je venais récemment d'en voir un, j'ai dit non, c'était une idée comme ça, alors elle a dit que c'était parce que je commençais à me raser, on a éclaté de rire, n'empêche la fois suivante le minou n'avait plus de poil, bien sûr, elle ne m'a rien dit avant pour m'en faire la surprise, qu'est-ce que c'était doux et beau a voir, elle a acquiescé qu'elle ne regrette pas, mais elle n'aimait pas trop le faire, peut-être la peur de se couper ou malgré sa souplesse de ne pas bien voir ou que ça lui prenait trop de temps, j'ai répondu un peu instinctivement avec un large sourire, "bah, je vais te le raser, moi, je suis bien plus expert que toi, même si je débute", éclatement de rire et elle a accepté, bon les 2 peut-être 3 premières fois, je n'étais pas très à l'aise, je savais ce qu'est de se couper, ça fait mal, ça saigne, la peau du menton ou d'une joue d'un gars, n'a rien à voir avec la peau fine et douce d'une femme à cet endroit, je ne voulais surtout pas abîmer ce bijou, j'ai pris mon temps, le résultat était nickel. Une fois, j'ai réclamé mon pourboire, elle a triché en payant en espèce.

Quand j'ai eu 16 ans, j'ai passé le code et acheté une moto que je remboursais à mes parents en bossant l'été et les WE, un jour, je suis parti en virée dans la ville où elle avait été mutée, je me suis garé juste en face de son école, les enfants ont commencé à sortir en courant et je l'ai vu, arriver avec sa classe puis venir vers des parents pour parler de leur enfant, elle portait une longue robe un peu transparente avec le soleil, elle a discuté avec 2 mamans puis elle est restée un peu à la grille à regarder un peu partout, j'ai cru que son mari allait venir la chercher, mais non, elle a sûrement vu un motard en face, mais j'avais gardé mon casque et une cagoule dessous, donc impossible de me reconnaître, j'avais aussi un blouson, des gants et des bottes, j'ai surtout évité de la fixer, là elle aurait pu se poser des questions, j'ai voulu que ce soit ainsi pour éviter 3 choses, 1⁰ qu'elle ait envie de recommencer 2⁰ que j'ai envie moi aussi 3⁰ que son mari ou quelqu'un nous voit, j'ai surement profité de la situation en me cachant, mais bon c'était plus fort que moi je voulais la revoir, si ça se trouve, elle a fait pareil. J'ai quand même pu constater que son accouchement lui avait un peu modifié son corps, je confirme, elle avait de belles rondeurs, ses seins et ses hanches avaient "grandis", j'ai dû me penser de drôles de choses en l'a voyant, enfin bon les bons souvenirs d'elle sont toujours là, les mauvais, honnêtement je n'en trouve pas, on n'était pas toujours d'accord sur tout, on fraisait des compromis, mais jamais, on se serait disputé, j'ai cru comprendre que c'était le cas avec son 1ᵉʳ copain, donc surement la ou une des raisons de leurs séparations pour mon plus grand bonheur qui finalement a été le sien aussi pendant 2 ans.

On n'a jamais fait de math chez elle, mais en classe, je suis devenu le 1ᵉʳ en math, il y avait une fille qui voulait ma place, quand la prof distribuait les corrections, on l'entendait dire "Fabienne 18" en lui donnant sa feuille puis "mon prénom 19" une fois, c'était "Fabienne 19.5" cette Fabienne a sauté presque en l'air en criant "ça y est je l'ai battu" puis plus loin "moi 20", ce jour-là j'ai cru qu'elle allait me tuer. La prof aimait beaucoup cette rivalité, car en 3ᵉ y avait Alexis avec 16, ensuite Maryvonne 10 et tout le reste entre 9 et 1, le truc le plus drôle, était que Fabienne était la 1ʳᵉ de la classe dans toutes les autres matières, raison de plus pour moi que je me surpasse, aussi la prof était ravie de mes notes, ça a bien servi les cours chez elle, mes parents étaient ravis, s'ils savaient !!!

J'avoue que de raconter ce récit, m'a bien plu et bien fait remonter pas mal de détails.

Elle s'appelait Patricia
Elle est et restera ma 1ʳᵉ fois, j'espère que sa vie est très heureuse et j'imagine que parfois qu'elle pense encore à moi
Je suis idiot de dire cela, alors qu'elle a appelé son fils comme moi.
 
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Eviradnus
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Merci pour avoir partager ton histoire avec nous.
 
Max_1234
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Moi, c'était en 6ᵉ dès la rentrée scolaire, j'ai kiffé ma prof de math/anglais, je n'arrêtais pas de la regarder, elle était rousse cheveux long, quand elle était en jupe, j'essayais de voir ses genoux ou plus haut, mais je préférais ses décolletés, ils n'étaient jamais bien larges, mais quand elle se penchait mes yeux se fixaient le plus loin possible à l'intérieur.

Début novembre, j'ai décidé de me faire souvent coller les samedis et mercredis uniquement quand c'était elle qui devait nous surveiller, un jour vers la fin d'année, elle a fini par avoir des doutes et m'a demandé pourquoi, sur le coup, j'ai été pris de court, et j'ai réussi à bredouiller qu'elle était belle, là c'est son tour a ne pas trop savoir que dire, elle a changé de couleur, mais elle ne s'est pas fâchée ni me dénoncer au directeur ou à mes parents.

J'allais avoir 13 ans et physiquement, j'avais une bonne carrure, sexuellement correctement membré, et encore puceau, on me donnait souvent plus que mon âge.
Depuis le jour, où je lui ai dit pourquoi j'étais fréquemment collé, envers moi, je la voyais être peu à peu différente, non pas en classe où j'étais l'élève et elle la prof, je me risquais quelques fois à la toucher de l'épaule dans les couloirs ou quand on était beaucoup autour d'elle ou quand elle me donnait quelques chose, le plus discrètement possible je lui touchais le bout d'un doigt, j'ai toujours été prudent que personne ne s'en rends compte, et qu'elle n'a jamais d'ennui, car même jeune je savais que c'était interdit, je me disais plutôt que c'était comme un jeu et que jamais ça irait plus loin.
Un samedi, j'étais enfin le seul collé, elle était assise au bureau à me surveiller. Aujourd'hui en disant cela, je pense qu'à cause de moi, elle a dû venir a l'école au lieu de rester chez elle en famille ou amis. Je suis venu à côté d'elle debout et j'ai posé doucement ma main sur son épaule, elle n'a pas bougé, j'ai donc pris sa main pour la faire se lever et doucement, j'ai approché mes lèvres des siennes, j'avais déjà embrassé des filles, mais là ça n'avait rien à voir, c'est même elle qui "conduisait" nos lèvres se caressaient mutuellement, nos langues se croisaient sans cesse dans tous les sens, elle basculait sa tête plusieurs fois d'un côté à l'autre, et surtout, elle m'a enlacé fort contre elle, je sentais le moelleux de sa poitrine que j'ai finie par caresser par-dessus son chemisier et son soutien-gorge, elle nous a un peu déplacé pour se coller au mur, elle a guidé ma main dans son entre jambe, en passant, j'avais remarqué qu'elle était de plus en plus souvent en jupe ou robe, j'ai passé ma main par-dessous sa jupe pour caresser sa fente, mais quand j'ai voulu passer sous sa culotte, elle a repris ses esprits et a stoppé ma main, en disant qu'il fallait arrêter que ce n'était pas un bon endroit, car trop risqué de se faire prendre, pourtant cette classe était au bout d'un long couloir et que le plancher nous aurait avertis de la moindre présence, de plus, ce côté de mur où on était, n'était pas visible de la cour ou d'une autre bâtiment, elle m'a pris ma tête entre ses 2 mains pour m'embrasser et me dire qu'elle promet de trouver un autre moyen de nous voir, elle s'est un peu revêtue, elle est allée à son bureau écrire sur une feuille quelque chose que je devais donner à mes parents, elle proposait que je vienne les samedis et mercredis, chez elle pour améliorer mes math en ajoutant que j'avais un potentiel que je n'exploite pas, en prétextant que peut-être d'autres élèves de la classe y participeraient, elle ne savait pas encore trop lesquelles, quelle devait réfléchir. Mes patents ont dit oui, le 1er jour mon père m'a conduit en voiture, et moi devant lui, j'ai dit à ma prof "Bonjour madame Dupont" elle m'a répondu en ajoutant d'aller attendre dans son salon le temps de discuter avec mon père, quand il est enfin parti, juste avant de sortir, il m'a dit revenir pour 17 h et de bien travailler.

Elle a vérifié que la voiture quittait la rue pour venir m'embrasser, elle m'a prise ensuite par la main pour me faire monter son escalier et entrer dans sa chambre, où on s'est dévêtus mutuellement avec plein de caresse et baiser, et on a fait l'amour non-stop pendant 2 heures, vu nos âges, elle avait évidemment plus d'expérience que moi, au début c'est surtout elle qui faisait tout ou presque, mais peu à peu mes envies mon naturellement pris le pas, elle me guidait et m'expliquait pourquoi ne pas faire comme cela, mais comme cela, de ne pas forcer ou être pressé, le "cours" a été rapide, avec quelques années de recul, je confirme qu'elle était vraiment bien active.
Une des fois suivantes, elle m'a montré que je pouvais la sodomiser, au début, je n'ai pas complètement aimé disons que je n'y avais jamais songé, mais voyant que ca ne la dérangeait pas et qu'elle aimait assez bien, je m'y suis fait, mais nous ne le faisions pas à chaque fois, moi j'aimais beaucoup la lécher tout en jouant avec son clito parfois en entrant 1 ou 2 doigts ou avec ses seins, son ventre, ses fesses. . Etc, j'adorais la voir jouir c'était comme une mitraillette, elle venait en rafales et je prenais plaisir à la relancer une fois qu'elle avait presque fini, à force, elle me suppliait d'arrêter, je lui répondais "ok, j'arrête !!", "mais non en fait, je veux encore te voir partir une nouvelle fois", une fois, elle m'a traité de "salaud" "mais continue quand même s'il te plait", il lui fallait pas mal de temps pour revenir sur terre, mais bien sûr, elle se vengeait quand c'était mon tour, elle faisait durer le plaisir et surtout, elle arrivait à me retarder bien longtemps, ou suffisamment pour jouir en même temps, combien de fois, j'ai senti ses jets sur mon sexe, ce qui décuplait notre plaisir, par contre des années plus tard, j'ai appris un mot, c'est le mot "tumérance", je ne sais pas trop comment l'écrire, mais ce mot, je ne le retrouve plus en faisant une recherche, alors je tape "période où le gland du sexe d'un homme est hyper sensible après une éjaculation", et ça affiche "réfractaire", surement encore un de ces mots qui apparait dans la langue française au détriment d'un autre, bref, quand j'étais dans cette période réfractaire, elle s'amusait à ne pas le toucher, ouf, mais à me sucer avec une infinie douceur et lenteur, ou si j'étais en elle, on ne bougeait plus le temps de baisser cette sensation et on repartait tout doucement pour finir tous les 2 dans notre grand feu d'artifice.

Mon père n'est venu que 2 fois, par la suite, j'y allais à vélo, ce qui était bien plus pratique, car de temps en temps, je prétextais aller avec les gamins du quartier ou alors, je disais avoir envie d'aller en foret, ou au parc, ce n'étaient pas les endroits qui manquaient, puis j'allais chez elle, je voulais tellement que cette relation soit discrète pour lui éviter des ennuis assez grave, en roulant je surveillais si mon père ne me suivait pas, ou je passais exprès par un ou des endroits interdits aux voitures.

De temps en temps, ça nous arrivait de ne rien faire du tout, soit à regarder la télé, soit à écouter de la musique et danser comme en boite de nuit que j'ai découvert quelques années plus tard, soit à s'allonger dans le jardin côte à côte, on est resté comme cela 2 ans, personne n'a jamais rien su, puis j'ai dû changer d'école pour entrer en 4ᵉ et elle a été mutée dans sa région, on s'écrivait souvent au début puis elle a rencontré un gars de son âge, l'année suivante, ils se sont mariés, puis ils ont voulu un enfant, a ce propos, elle a réussi à convaincre son mari sur le choix du prénom du bébé, si c'est une fille, c'est lui qui choisit et si c'est un garçon, c'est elle, et elle lui a donné mon prénom.

C'est un peu après qu'on a décidé de ne plus s'écrire, pour toujours éviter que ça se sache, et aussi, on ne voyait plus grand-chose à se dire à part raconter nos vies, la distance a, je crois bien fait les choses, si on était resté dans le même coin, ç'aurait pu devenir compliqué de se croiser en ville même sans préméditation, elle a aussi eu envie de revoir sa région, ici au départ ce n'était que temporaire, mais il a duré 4 ans, alors qu'à l'origine une fois devenue prof, elle avait bien demandé à rentrer chez elle, mais ils sont placés là où il y a de la place, ils ont un système de numéro, qui fait qu'elle est par exemple numéro 2 puis 1 quand un prof part de sa région puis 0 quand c'est son tour, enfin voila.
Incroyable ton histoire