On se souvient tous et toutes de notre 1ʳᵉ fois.
Moi, c'était en 6ᵉ dès la rentrée scolaire, j'ai kiffé ma prof de math/anglais, je n'arrêtais pas de la regarder, elle était rousse cheveux long, quand elle était en jupe, j'essayais de voir ses genoux ou plus haut, mais je préférais ses décolletés, ils n'étaient jamais bien larges, mais quand elle se penchait mes yeux se fixaient le plus loin possible à l'intérieur.
Début novembre, j'ai décidé de me faire souvent coller les samedis et mercredis uniquement quand c'était elle qui devait nous surveiller, un jour vers la fin d'année, elle a fini par avoir des doutes et m'a demandé pourquoi, sur le coup, j'ai été pris de court, et j'ai réussi à bredouiller qu'elle était belle, là c'est son tour a ne pas trop savoir que dire, elle a changé de couleur, mais elle ne s'est pas fâchée ni me dénoncer au directeur ou à mes parents.
J'allais avoir 13 ans et physiquement, j'avais une bonne carrure, sexuellement correctement membré, et encore puceau, on me donnait souvent plus que mon âge.
Depuis le jour, où je lui ai dit pourquoi j'étais fréquemment collé, envers moi, je la voyais être peu à peu différente, non pas en classe où j'étais l'élève et elle la prof, je me risquais quelques fois à la toucher de l'épaule dans les couloirs ou quand on était beaucoup autour d'elle ou quand elle me donnait quelques chose, le plus discrètement possible je lui touchais le bout d'un doigt, j'ai toujours été prudent que personne ne s'en rends compte, et qu'elle n'a jamais d'ennui, car même jeune je savais que c'était interdit, je me disais plutôt que c'était comme un jeu et que jamais ça irait plus loin.
Un samedi, j'étais enfin le seul collé, elle était assise au bureau à me surveiller. Aujourd'hui en disant cela, je pense qu'à cause de moi, elle a dû venir a l'école au lieu de rester chez elle en famille ou amis. Je suis venu à côté d'elle debout et j'ai posé doucement ma main sur son épaule, elle n'a pas bougé, j'ai donc pris sa main pour la faire se lever et doucement, j'ai approché mes lèvres des siennes, j'avais déjà embrassé des filles, mais là ça n'avait rien à voir, c'est même elle qui "conduisait" nos lèvres se caressaient mutuellement, nos langues se croisaient sans cesse dans tous les sens, elle basculait sa tête plusieurs fois d'un côté à l'autre, et surtout, elle m'a enlacé fort contre elle, je sentais le moelleux de sa poitrine que j'ai finie par caresser par-dessus son chemisier et son soutien-gorge, elle nous a un peu déplacé pour se coller au mur, elle a guidé ma main dans son entre jambe, en passant, j'avais remarqué qu'elle était de plus en plus souvent en jupe ou robe, j'ai passé ma main par-dessous sa jupe pour caresser sa fente, mais quand j'ai voulu passer sous sa culotte, elle a repris ses esprits et a stoppé ma main, en disant qu'il fallait arrêter que ce n'était pas un bon endroit, car trop risqué de se faire prendre, pourtant cette classe était au bout d'un long couloir et que le plancher nous aurait avertis de la moindre présence, de plus, ce côté de mur où on était, n'était pas visible de la cour ou d'une autre bâtiment, elle m'a pris ma tête entre ses 2 mains pour m'embrasser et me dire qu'elle promet de trouver un autre moyen de nous voir, elle s'est un peu revêtue, elle est allée à son bureau écrire sur une feuille quelque chose que je devais donner à mes parents, elle proposait que je vienne les samedis et mercredis, chez elle pour améliorer mes math en ajoutant que j'avais un potentiel que je n'exploite pas, en prétextant que peut-être d'autres élèves de la classe y participeraient, elle ne savait pas encore trop lesquelles, quelle devait réfléchir. Mes patents ont dit oui, le 1er jour mon père m'a conduit en voiture, et moi devant lui, j'ai dit à ma prof "Bonjour madame Dupont" elle m'a répondu en ajoutant d'aller attendre dans son salon le temps de discuter avec mon père, quand il est enfin parti, juste avant de sortir, il m'a dit revenir pour 17 h et de bien travailler.
Elle a vérifié que la voiture quittait la rue pour venir m'embrasser, elle m'a prise ensuite par la main pour me faire monter son escalier et entrer dans sa chambre, où on s'est dévêtus mutuellement avec plein de caresse et baiser, et on a fait l'amour non-stop pendant 2 heures, vu nos âges, elle avait évidemment plus d'expérience que moi, au début c'est surtout elle qui faisait tout ou presque, mais peu à peu mes envies mon naturellement pris le pas, elle me guidait et m'expliquait pourquoi ne pas faire comme cela, mais comme cela, de ne pas forcer ou être pressé, le "cours" a été rapide, avec quelques années de recul, je confirme qu'elle était vraiment bien active.
Une des fois suivantes, elle m'a montré que je pouvais la sodomiser, au début, je n'ai pas complètement aimé disons que je n'y avais jamais songé, mais voyant que ca ne la dérangeait pas et qu'elle aimait assez bien, je m'y suis fait, mais nous ne le faisions pas à chaque fois, moi j'aimais beaucoup la lécher tout en jouant avec son clito parfois en entrant 1 ou 2 doigts ou avec ses seins, son ventre, ses fesses. . Etc, j'adorais la voir jouir c'était comme une mitraillette, elle venait en rafales et je prenais plaisir à la relancer une fois qu'elle avait presque fini, à force, elle me suppliait d'arrêter, je lui répondais "ok, j'arrête !!", "mais non en fait, je veux encore te voir partir une nouvelle fois", une fois, elle m'a traité de "salaud" "mais continue quand même s'il te plait", il lui fallait pas mal de temps pour revenir sur terre, mais bien sûr, elle se vengeait quand c'était mon tour, elle faisait durer le plaisir et surtout, elle arrivait à me retarder bien longtemps, ou suffisamment pour jouir en même temps, combien de fois, j'ai senti ses jets sur mon sexe, ce qui décuplait notre plaisir, par contre des années plus tard, j'ai appris un mot, c'est le mot "tumérance", je ne sais pas trop comment l'écrire, mais ce mot, je ne le retrouve plus en faisant une recherche, alors je tape "période où le gland du sexe d'un homme est hyper sensible après une éjaculation", et ça affiche "réfractaire", surement encore un de ces mots qui apparait dans la langue française au détriment d'un autre, bref, quand j'étais dans cette période réfractaire, elle s'amusait à ne pas le toucher, ouf, mais à me sucer avec une infinie douceur et lenteur, ou si j'étais en elle, on ne bougeait plus le temps de baisser cette sensation et on repartait tout doucement pour finir tous les 2 dans notre grand feu d'artifice.
Mon père n'est venu que 2 fois, par la suite, j'y allais à vélo, ce qui était bien plus pratique, car de temps en temps, je prétextais aller avec les gamins du quartier ou alors, je disais avoir envie d'aller en foret, ou au parc, ce n'étaient pas les endroits qui manquaient, puis j'allais chez elle, je voulais tellement que cette relation soit discrète pour lui éviter des ennuis assez grave, en roulant je surveillais si mon père ne me suivait pas, ou je passais exprès par un ou des endroits interdits aux voitures.
De temps en temps, ça nous arrivait de ne rien faire du tout, soit à regarder la télé, soit à écouter de la musique et danser comme en boite de nuit que j'ai découvert quelques années plus tard, soit à s'allonger dans le jardin côte à côte, on est resté comme cela 2 ans, personne n'a jamais rien su, puis j'ai dû changer d'école pour entrer en 4ᵉ et elle a été mutée dans sa région, on s'écrivait souvent au début puis elle a rencontré un gars de son âge, l'année suivante, ils se sont mariés, puis ils ont voulu un enfant, a ce propos, elle a réussi à convaincre son mari sur le choix du prénom du bébé, si c'est une fille, c'est lui qui choisit et si c'est un garçon, c'est elle, et elle lui a donné mon prénom.
C'est un peu après qu'on a décidé de ne plus s'écrire, pour toujours éviter que ça se sache, et aussi, on ne voyait plus grand-chose à se dire à part raconter nos vies, la distance a, je crois bien fait les choses, si on était resté dans le même coin, ç'aurait pu devenir compliqué de se croiser en ville même sans préméditation, elle a aussi eu envie de revoir sa région, ici au départ ce n'était que temporaire, mais il a duré 4 ans, alors qu'à l'origine une fois devenue prof, elle avait bien demandé à rentrer chez elle, mais ils sont placés là où il y a de la place, ils ont un système de numéro, qui fait qu'elle est par exemple numéro 2 puis 1 quand un prof part de sa région puis 0 quand c'est son tour, enfin voila.
Moi, c'était en 6ᵉ dès la rentrée scolaire, j'ai kiffé ma prof de math/anglais, je n'arrêtais pas de la regarder, elle était rousse cheveux long, quand elle était en jupe, j'essayais de voir ses genoux ou plus haut, mais je préférais ses décolletés, ils n'étaient jamais bien larges, mais quand elle se penchait mes yeux se fixaient le plus loin possible à l'intérieur.
Début novembre, j'ai décidé de me faire souvent coller les samedis et mercredis uniquement quand c'était elle qui devait nous surveiller, un jour vers la fin d'année, elle a fini par avoir des doutes et m'a demandé pourquoi, sur le coup, j'ai été pris de court, et j'ai réussi à bredouiller qu'elle était belle, là c'est son tour a ne pas trop savoir que dire, elle a changé de couleur, mais elle ne s'est pas fâchée ni me dénoncer au directeur ou à mes parents.
J'allais avoir 13 ans et physiquement, j'avais une bonne carrure, sexuellement correctement membré, et encore puceau, on me donnait souvent plus que mon âge.
Depuis le jour, où je lui ai dit pourquoi j'étais fréquemment collé, envers moi, je la voyais être peu à peu différente, non pas en classe où j'étais l'élève et elle la prof, je me risquais quelques fois à la toucher de l'épaule dans les couloirs ou quand on était beaucoup autour d'elle ou quand elle me donnait quelques chose, le plus discrètement possible je lui touchais le bout d'un doigt, j'ai toujours été prudent que personne ne s'en rends compte, et qu'elle n'a jamais d'ennui, car même jeune je savais que c'était interdit, je me disais plutôt que c'était comme un jeu et que jamais ça irait plus loin.
Un samedi, j'étais enfin le seul collé, elle était assise au bureau à me surveiller. Aujourd'hui en disant cela, je pense qu'à cause de moi, elle a dû venir a l'école au lieu de rester chez elle en famille ou amis. Je suis venu à côté d'elle debout et j'ai posé doucement ma main sur son épaule, elle n'a pas bougé, j'ai donc pris sa main pour la faire se lever et doucement, j'ai approché mes lèvres des siennes, j'avais déjà embrassé des filles, mais là ça n'avait rien à voir, c'est même elle qui "conduisait" nos lèvres se caressaient mutuellement, nos langues se croisaient sans cesse dans tous les sens, elle basculait sa tête plusieurs fois d'un côté à l'autre, et surtout, elle m'a enlacé fort contre elle, je sentais le moelleux de sa poitrine que j'ai finie par caresser par-dessus son chemisier et son soutien-gorge, elle nous a un peu déplacé pour se coller au mur, elle a guidé ma main dans son entre jambe, en passant, j'avais remarqué qu'elle était de plus en plus souvent en jupe ou robe, j'ai passé ma main par-dessous sa jupe pour caresser sa fente, mais quand j'ai voulu passer sous sa culotte, elle a repris ses esprits et a stoppé ma main, en disant qu'il fallait arrêter que ce n'était pas un bon endroit, car trop risqué de se faire prendre, pourtant cette classe était au bout d'un long couloir et que le plancher nous aurait avertis de la moindre présence, de plus, ce côté de mur où on était, n'était pas visible de la cour ou d'une autre bâtiment, elle m'a pris ma tête entre ses 2 mains pour m'embrasser et me dire qu'elle promet de trouver un autre moyen de nous voir, elle s'est un peu revêtue, elle est allée à son bureau écrire sur une feuille quelque chose que je devais donner à mes parents, elle proposait que je vienne les samedis et mercredis, chez elle pour améliorer mes math en ajoutant que j'avais un potentiel que je n'exploite pas, en prétextant que peut-être d'autres élèves de la classe y participeraient, elle ne savait pas encore trop lesquelles, quelle devait réfléchir. Mes patents ont dit oui, le 1er jour mon père m'a conduit en voiture, et moi devant lui, j'ai dit à ma prof "Bonjour madame Dupont" elle m'a répondu en ajoutant d'aller attendre dans son salon le temps de discuter avec mon père, quand il est enfin parti, juste avant de sortir, il m'a dit revenir pour 17 h et de bien travailler.
Elle a vérifié que la voiture quittait la rue pour venir m'embrasser, elle m'a prise ensuite par la main pour me faire monter son escalier et entrer dans sa chambre, où on s'est dévêtus mutuellement avec plein de caresse et baiser, et on a fait l'amour non-stop pendant 2 heures, vu nos âges, elle avait évidemment plus d'expérience que moi, au début c'est surtout elle qui faisait tout ou presque, mais peu à peu mes envies mon naturellement pris le pas, elle me guidait et m'expliquait pourquoi ne pas faire comme cela, mais comme cela, de ne pas forcer ou être pressé, le "cours" a été rapide, avec quelques années de recul, je confirme qu'elle était vraiment bien active.
Une des fois suivantes, elle m'a montré que je pouvais la sodomiser, au début, je n'ai pas complètement aimé disons que je n'y avais jamais songé, mais voyant que ca ne la dérangeait pas et qu'elle aimait assez bien, je m'y suis fait, mais nous ne le faisions pas à chaque fois, moi j'aimais beaucoup la lécher tout en jouant avec son clito parfois en entrant 1 ou 2 doigts ou avec ses seins, son ventre, ses fesses. . Etc, j'adorais la voir jouir c'était comme une mitraillette, elle venait en rafales et je prenais plaisir à la relancer une fois qu'elle avait presque fini, à force, elle me suppliait d'arrêter, je lui répondais "ok, j'arrête !!", "mais non en fait, je veux encore te voir partir une nouvelle fois", une fois, elle m'a traité de "salaud" "mais continue quand même s'il te plait", il lui fallait pas mal de temps pour revenir sur terre, mais bien sûr, elle se vengeait quand c'était mon tour, elle faisait durer le plaisir et surtout, elle arrivait à me retarder bien longtemps, ou suffisamment pour jouir en même temps, combien de fois, j'ai senti ses jets sur mon sexe, ce qui décuplait notre plaisir, par contre des années plus tard, j'ai appris un mot, c'est le mot "tumérance", je ne sais pas trop comment l'écrire, mais ce mot, je ne le retrouve plus en faisant une recherche, alors je tape "période où le gland du sexe d'un homme est hyper sensible après une éjaculation", et ça affiche "réfractaire", surement encore un de ces mots qui apparait dans la langue française au détriment d'un autre, bref, quand j'étais dans cette période réfractaire, elle s'amusait à ne pas le toucher, ouf, mais à me sucer avec une infinie douceur et lenteur, ou si j'étais en elle, on ne bougeait plus le temps de baisser cette sensation et on repartait tout doucement pour finir tous les 2 dans notre grand feu d'artifice.
Mon père n'est venu que 2 fois, par la suite, j'y allais à vélo, ce qui était bien plus pratique, car de temps en temps, je prétextais aller avec les gamins du quartier ou alors, je disais avoir envie d'aller en foret, ou au parc, ce n'étaient pas les endroits qui manquaient, puis j'allais chez elle, je voulais tellement que cette relation soit discrète pour lui éviter des ennuis assez grave, en roulant je surveillais si mon père ne me suivait pas, ou je passais exprès par un ou des endroits interdits aux voitures.
De temps en temps, ça nous arrivait de ne rien faire du tout, soit à regarder la télé, soit à écouter de la musique et danser comme en boite de nuit que j'ai découvert quelques années plus tard, soit à s'allonger dans le jardin côte à côte, on est resté comme cela 2 ans, personne n'a jamais rien su, puis j'ai dû changer d'école pour entrer en 4ᵉ et elle a été mutée dans sa région, on s'écrivait souvent au début puis elle a rencontré un gars de son âge, l'année suivante, ils se sont mariés, puis ils ont voulu un enfant, a ce propos, elle a réussi à convaincre son mari sur le choix du prénom du bébé, si c'est une fille, c'est lui qui choisit et si c'est un garçon, c'est elle, et elle lui a donné mon prénom.
C'est un peu après qu'on a décidé de ne plus s'écrire, pour toujours éviter que ça se sache, et aussi, on ne voyait plus grand-chose à se dire à part raconter nos vies, la distance a, je crois bien fait les choses, si on était resté dans le même coin, ç'aurait pu devenir compliqué de se croiser en ville même sans préméditation, elle a aussi eu envie de revoir sa région, ici au départ ce n'était que temporaire, mais il a duré 4 ans, alors qu'à l'origine une fois devenue prof, elle avait bien demandé à rentrer chez elle, mais ils sont placés là où il y a de la place, ils ont un système de numéro, qui fait qu'elle est par exemple numéro 2 puis 1 quand un prof part de sa région puis 0 quand c'est son tour, enfin voila.
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