Les seins de la femme

[Garixou]

tu partages un peu ta soirée? comment ca s'est passé?

Il étais 3 heures du matin, nous dormions tous les deux et soudain ils sont rentrés dans notre chambre, j'ai juste eu le temps d'apercevoir leurs lampe frontal qu'ils nous avaient dejas saisi bras et jambes. Nous avons essayé de nous débattre mais en vain, une fois ma femme attachée ils sont tous venu sur moi. A 64 j'ai pas pus avoir le dessus et moi aussi j'ai fini ligoté.

 

[Garixou]

Après ils nous ont mis àssis l'un à côté de l'autre au pied du lit mains attaché dans le dos et la ils nous ont expliqué ce qu'ils attendaient de nous, et que si on ne faisait pas ils se vengerraient sur l'autre

 

[Garixou]

Ils étaient tou

tout ledv4 cagoules ils se sot dénudé tranquillement et on arraché le haut de ma femme , ele étais comme moi. Nous étions nus

 

[Garixou]

Ma femme ne voulant pas les sucer, il y en as un qui m'a pris par les cheveux et as dit si tu le fais pas il prend une tarte.
Alors elle a ouvert la bouche et il a enfoncé sa bite.
Un autre mas chuchoter à l'oreille. Pour toi c'est pareil tu ouvre ta bouche.
Je l'ai fait il m'a pénétré la bouche les 2
Autres attendaient leur tour

 

[Garixou]

Je voyais que ma femme prenais beaucoup de plaisir à sucer et elle devait constater la même chose pour moi.
Apres ils nous ont positionner l'un en face de l'autre rt ac4 pattesils ont commencé à nous prendre. Ils tournaient. Nous insulter de salopepourma femmeet moi j'étaisune t'affole.

 

[Garixou]

apres iordre nous a été donné de nous allongé sur le dos , tête contre tête..
Ils nous on obliger à ouvrir la bouche un d'entre eux sentant la purée montée as pris ma femme par la gorge et à j ouisur son visage, puis ça était monr den ramasser plein le visage. Un autre a suivi rapidement et le quatrième sur ma femme corp de ma femme

 

[Garixou]

Ils m'ont ordonner de lecher Mme en me dirigeant vers les seins de madame, j'ai du avaler cette jouissances et pour ma femme un as priscson doigt pour poussé dedans assez rapidement le sper qu'elle avait au visage vers sa bouche après ils sont partient.