Une pure fiction que j'adorais être réelle
Au concert
J'assistais à un concert de rock avec ma copine, Julie, une soirée pleine de musique enivrante et d'émotions fortes. Alors que le groupe sur scène entamait une chanson entraînante, je me laissais emporter par le son de la batterie, mon instrument préféré. Le batteur sur scène était incroyable, ses mouvements rapides et précis produisaient une musique puissante qui résonnait dans tout mon être.
Je ne pouvais m'empêcher de fixer mes yeux sur lui, admiratif de sa capacité à sortir les notes sur ses instruments sans aucun repère apparent. C'était comme s'il était connecté à une force supérieure, guidé par une inspiration divine qui lui permettait de créer une musique magique.
Tout à coup, je sentis une main douce agripper la mienne et me tirer doucement de ma transe musicale. C'était Julie, ma belle petite amie aux yeux pétillants et au sourire ravageur. Elle me regarda avec curiosité et me demanda d'une voix douce : À quoi penses-tu?
Je lui souris et lui répondis en riant : Si je te le disais, tu te moquerais de moi. Julie me regarda avec insistance, attendant ma réponse. Je soupirai et confessai : Je pensais à la batterie, j'ai eu un fantasme un peu étrange.
Ma copine arqua un sourcil, intriguée. Quel genre de fantasme? demanda-t-elle, son visage affichant un mélange de curiosité et de surprise. Je ris et lui expliquai : J'ai imaginé toi et quelques copines, à quatre pattes, les fesses nues et tendues vers le haut. Et moi, je tapotais en rythme vos fesses, imaginant que mes claques produisaient des sons différents.
Julie éclata de rire, ses yeux brillant d'amusement. Tu es vraiment un drôle de musicien, me taquina-t-elle en me donnant un petit coup de coude complice. Nous continuâmes à rire ensemble, partageant ce moment de complicité et de folie.
Le concert se poursuivit, la musique résonnant dans la salle et nous emportant dans une transe enivrante. Julie se pressa contre moi, sa chaleur et sa présence me procurant un sentiment de bonheur et de plénitude.
Le batteur sur scène se mit à jouer avec une intensité incroyable, ses mouvements de plus en plus rapides et frénétiques.
La nuit s'acheva dans la liesse et la joie, nous quittant le cœur léger et l'âme reposée. Julie m'invita à rentrer chez elle.
Soirée chez Julie
Julie et moi nous vivions chacun chez soi. quelques temps plus tard Julie me téléphone, ce soir es tu libre, je lui réponds oui, Julie d'une voix sans équivoque j'ai envie de te voir ce soir, moi à ce soir. le soir venu je sonne à la porte, Julie en tenue sexy m'ouvre et se jette dans mes bras, nous nous embrassons. je ne sais pas pourquoi, Julie a un petit quelque chose d'indefinissable dans son sourire. nous nous asseyons au salon, nous papotons. soudain dring dring je demande à Julie tu attends du monde, elle se lève en souriant. puis elle revient au salon accompagné de 3 femmes, 2 la trentaines 1 la soixantaine mais qui doit s'entretenir, elles sont toutes vêtue comme Julie une jupe et un chemisier Julie et ses amies s'assoient sur la banquette en face de moi, nous nous présentons, un peu surpris nous faisons connaissance. puis Julie nous mets un morceau de bossa nova, elles se lèvent, elles se balancent au rythme de la musique, puis elles se dechaussent, puis elles font glisser leurs jupes au pied et leurs petites culottes prennent le même chemin, elles s'amusent de me voir interloqué, elles continuent à ce balancer en rythme, pendant que j'ai les yeux rivés sur leur touffe pubien, Julie change de musique et mets. du rock soft, elle reprend sa place à côté de ces copines, ensemble elles se retournent en continuant de se déhancher, maintenant je suis envoûté par le roulement de leurs fesses, Julie des fesses rondes et fermes, Marie des fesses moyennes en gouttes d'eau, isabelle des fesses pulpeuses un peu molle mais attirante et Corinne la soixantaine des fesses un peu tombante mais ferme. puis tous ensemble elles s'agenouillent sur la banquette ,reposent leur bras sur le dossier de la banquette, se positionnent de manière à tendre leurs culs vers le haut. je suis de plus en plus interloqué et en même temps tout émoustillé par ces croupes nus s'offrant à moi, puis Julie tourne la tête vers moi, et me dit voici ta batterie, joue nous ta musique.
Elles attendaient que je mette en marche mon incroyable batterie composée de leurs fesses.
Timidement, je m'approchai de la banquette. Mes mains frôlaient doucement la peau tendue des fesses de Julie avant de claquer mollement. Un son doux et léger résonna dans la pièce. Puis, je passai aux copines de Julie, répétant le geste sur chacune de leurs fesses comme pour accorder les instruments d'un orchestre fantastique.
Au fur et à mesure que mes mains frappaient les fesses des filles, je percevais de légères différences de sonorité. Certaines fesses étaient plus rebondies, d'autres plus fermes. Je me laissai emporter par ma créativité, m'inspirant de morceaux de rock pour intensifier mes claques, créant ainsi une étrange mélodie entre les claquements et les gémissements des filles.
Les filles me regardaient, étonnées et ravies de cette expérience hors du commun. Leurs visages étaient empreints d'une joie enfantine, prêtes à se laisser emporter par cette étrange soirée pleine de surprises.
