Frissons d'encre

Shadys
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Je sens le bandeau se dĂ©tacher, la lumiĂšre tamisĂ©e de la cabine Ă©claire mes pupilles. Mon regard se pose aussitĂŽt sur lui, a genoux devant moi, son sexe dressĂ©, luisant de ma salive. Un sentiment de fiertĂ© m’envahit.
Mes chevilles sont détachées. Je n'ai plus que le casque sur les oreilles, la musique change, douce, mystérieuse et envoûtante.

Il vient s’allonger sur moi. Son torse chaud contre ma poitrine. Il me pĂ©nĂštre a nouveau, mes jambes se serrent autour de lui. Je le veux contre moi, je veux sa jouissance, je veux lui rendre le plaisir qu'il m'a donnĂ©.
Ses vas et viens sont délicieux, puissants. Il me ramÚne doucement vers ce point de non retour, sa verge palpite en moi, il grogne de plaisir dans mon cou. Mais, cette fois je ne veux pas y aller seule. Je veux qu'il parte avant moi.
Je lui murmure quelques mots a l'oreille, le libérant de tout. Je contracte mon vagin autour de lui, l'enserrant de toute mes forces.
Il explose, lùchant un rùle lourd. Je sens son sperme se répandre au fond de moi avec une intensité forte. Le point de non retour est franchi, je jouis à mon tour, du plaisir brut, partagé.

Nos lĂšvres se cherchent, se trouvent, se rejoignent et il s'effondre sur moi. J'aime cette sensation, sentir cet homme transpirant contre moi. Le relĂąchement total, dans mes bras. Je le sers contre moi, mes mains caressent son dos.
Il a peur de m'Ă©craser alors il se dĂ©cale qur le cĂŽtĂ© et retombe sur le lit. Mon visage se niche dans le creux de son cou, lĂ  oĂč je peux sentir son odeur.
Je dépose un baiser juste sous sa mùchoire.
Nous sommes cĂŽte Ă  cĂŽte, encore nus, enroulĂ©s dans la chaleur du moment, reprenant nos souffles. Je l’invite Ă  s’allonger sur le ventre, mes doigts effleurent sa nuque, dessinent des cercles sur ses Ă©paules. Je prends le temps. Je masse avec douceur, lentement, juste avec mes mains, ma peau contre la sienne. L’idĂ©e n’est pas de provoquer, mais d’apaiser, de recompenser son corps qui m’a donnĂ© tant de plaisir.

Je sens sa respiration se ralentir, son souffle devenir plus profond. Le silence s’installe doucement entre nous, chaud et enveloppant, les mouvements du bateau nous bercent tendrement.
 
Eviradnus
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EVI
Il fait nuit noire. Je me réveille. Je suis sur le dos. Mon ronflement a du me réveiller. La main de Shadys est posée sur mon torse. Sa cuisse sur ma cuisse. Son sein touche mon cÎté. Des mÚches de sa chevelure me chatouillent un peu le visage. J'entends sa respiration calme, reposée.

Je regarde par le hublot du plafond et je vois le ciel étoilé. J'entends le clapot de la mer qui claque doucement contre la coque. Tout est calme.

Je me retourne lentement en faisant attention de ne pas brusquer ma jolie amante. Shadys se retourne aussi. Je peux m'impliquer en chien de fusil mon sexe contre ses fesses dodues. Mon bras entoure sa cage thoracique et je pose ma main sur un sein volumineux, moelleux et chaud. Je referme mes yeux et me rendors heureux.
 
Eviradnus
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JB
Lorsque je quitte mes amis, entourĂ© par mes deux nouvelles copines, j'ai un petit pincement. Je m'Ă©loigne et je jette un dernier coup d'Ɠil vers la sculturale Shadys.
Je me laisse diriger par Sibylle la blonde et Erica la rousse vers un bungalow en bordure de plage. Nous entrons et Sibylle allume une lumiÚre douce. Je m'assoie sur un canapé et Erica vient s'asseoir en cllant sa jambe contre la mienne. Sibylle nous prépare un verre à tous les trois pendant qu'Erica commence à caresser ma cuisse.

J'approche mon visage du sien et plonge mon regard dans ses yeux bleus. Elle approche sa bouche maquillée d'un rouge vif et me mordille la lÚvre supérieur. J'en prend son visage et répond à son baiser en pointant ma langue sur ses lÚvres. Nous changeons de position et nous nous allongons sur le canapé Erica sur moi.
Nous échangeons des baisers de plus en plus brûlants. Mes mains explorent ses courbes. Erica elle venant presser mon pantalon à hauteur de mon pénis.

Sibylle revient avec les verres qu'elle nous tend. Nous nous rasseyons bien sagement. Je sirote mon verre quand Sibylle commence Ă  enlever sa robe en retirant les bretelles une Ă  une et en laissant tomber le tissus sur le sol. En dessous elle est complĂštement nue. Elle ne garde que ses escarpins et s'approche de moi. Quand son bassin et au niveau de ma tĂȘte elle dit: moi aussi j'aimerai un baiser sur mes lĂšvres en me souriant d'un air ingĂ©nu. Elle soulĂšve une jambe et la pose sur le canapĂ©. Ma bouche est Ă  portĂ©e de son sexe. Un petit ticket de mĂ©tro est dessinĂ© sur son pubis.

Je commence Ă  lĂ©cher sa vulve parfumĂ©e qui s'humidifie rapidement. Sibylle tient ma tĂȘte Ă  deux mains pendant que ma langue la fouille avidement. Elle gĂ©mir.

Je sens une main qui dĂ©fait mon ceinturon puis retire les boutons de mon pantalon. Les pans s'Ă©cartent et des doigts entrent dans mon slip pour en extraire mon membre dĂ©jĂ  bien en forme. Je soulĂšve mon bassin. Slip et pantalon glissent vers le sol . Une bouche vient me sucer puis me dĂ©calotter. Elle enrobe mon sexe et aspire mon gland. Deux mains frottent de gaut en bas dans le mĂȘme tempo que la bouche mon sexe turgescant. Moi je continue mon exploration labiale. Je suce, je lĂšche. Le jus coule sur mon menton mais je n'en ai cure.

On m'aide à m'allonger sur le canapé. J'ouvre le dernier bouton de ma chemisette. Sibylle se retire de ma bouche et vient s'empaler à croupi sur ma bite. Je vois son dos musclé. Ses trapÚzes saillent un peu. Elle a de belles épaules sur lesquelles ses longs cheveux blond cascadent.

La bouche d'Érica vient s'Ă©craser sur mes lĂšvres. Elle roule sa langue autour de la mienne. Elle vient me mordiller le lobe de l'oreille et me susurre : "te reste t il un peu de salive pour me lĂ©cher mon petit bouton?". Elle se redresse. Elle est nue. Ses seins sont petits avec de larges arĂ©oles brunes. Elle a aussi des cheveux longs mais bouclĂ©s. Je lui souris et elle me rend mon sourire. Elle monte debout sur le canapĂ©, installe son entre jambe sur mon visage. J'Ă©carte ses petites fesses et commence Ă  dĂ©busquer son clitoris. La pointe de ma langue tourne autour de son capuchon. Erica pince ses tetons dressĂ©s.

Sibylle continue sa chevauchĂ©e mais je sens qu'elle va jouir alors dĂ©licatement j'enfonce mon index dans son petit Ɠillet. Elle pousse un petit cri de surprise et me dit : "Enfonce ton doigt. Tu peux mĂȘme en ajouter un ou deux de plus". Je viens prendre du jus d'Éric en lui caressant sa vulve trempĂ©e et j'amĂšne ma main pour commencer Ă  humidifier la zone sensible. Puis je pousse trois doigts dans le cul de Sybille qui hurle lors du passage des mes phallanges. Sibylle s'affale sur mes jambes dans un orgasme puissant
 
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Je suis Ă  califourchon sur le visage de JB quand je vois le corps de Sybille trembler, s’écrouler contre ses jambes. Un sourire m’échappe. Je l’ai rarement vue jouir aussi fort. Elle se relĂšve, je vois le sexe de JB glisser de son fourreau et retomber, luisant d'humiditĂ© sur son bas ventre. Il est toujours en forme et d'une taille impressionnante. Je frissonne d'envie.

Je me redresse, et me relÚve du canapé. JB intercepte mon regard brillant de désir et m'attrape par les hanches. Je me retrouve allongée, sur le dos a sa place sur le canapé. Il s'installe entre mes cuisses écartées.
Je le regarde dans les yeux, je frissonne de voir un aussi bel homme entre mes jambes, prĂšs a me pĂ©nĂ©trer. Il se penche pour m’embrasser. Nos langues se cherchent, se trouvent. Puis nous nous sĂ©parons, il se relĂšve sur ses genoux et approche sa verge de mon antre. Je croise le regard malicieux de Sybille. Elle se penche doucement pour venir poser un baiser sur mon ventre.

JB glisse en moi d’un seul mouvement, profond, brĂ»lant. Je pousse un gĂ©missement, surprise par sa taille. Il commence Ă  me pĂ©nĂ©trer, avec des coups de reins lents mais puissants, pendant que Sybille s’installe Ă  mes cĂŽtĂ©s et plonge son visage entre mes cuisses.
Sa langue trouve mon clitoris, elle le lĂšche, le presse, le suce, attisant le feu dĂ©clenchĂ© par la verge de JB. Je suis prise entre eux deux, totalement offerte, gĂ©missante de plaisir. Je sens chaque poussĂ©e de JB comme un grondement Ă  l’intĂ©rieur de moi, et chaque mouvement de langue de Sybille m’arrache des soupirs. Ma main vient se glisser dans les cheveux de mon amie, tentative dĂ©sespĂ©rĂ©e de me raccrocher Ă  quelque chose au milieu de cet ocĂ©an de plaisir.
Mon dos se cambre. Mon corps est parcouru de frissons. JB accélÚre, sentant que je suis proche. Je lùche un cri quand une vague de plaisir me submerge, et j'explose, mon vagin se contracte autour de son énorme engin.
JB attrape mes cuisse, les redresse pour ouvrir mon bassin, la pénétration devient trÚs profonde et il accélÚre. Je sens son bassin se contracter à son tour. Il se déverse en moi, dans un long rùle rauque.
 
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Shadys
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SYBILLE
Je sens Erica s’abandonner sous les assauts de JB, ses mains crispĂ©es sur le tissu du canapĂ©, sa bouche entrouverte quand l'orgasme la terrasse. Je la trouve magnifique. Mon regard glisse sur leurs corps mĂȘlĂ©s, la façon dont JB l’emplit, la façon dont elle s’ouvre Ă  lui. Ça m’électrise. Je me sens dĂ©jĂ  Ă  nouveau humide.

Avant que JB ne jouisse a son tour, je me recule, le laissant libre de ses mouvements.
Je le voit pĂ©nĂ©trer profondĂ©ment Erica et exploser en elle. Il s'effondre sur elle, Ă©reintĂ©. Je vois sa verge qui sort de la fente d'Erica, son jus coulant doucement entre ses cuisses. Je frissonne, c'est trĂšs excitant de jouer les voyeurs. Je me penche vers Erica et l’embrasse doucement. Puis je me redresse, toujours nue. JB s'est relevĂ© et assis sur le canapĂ©, aux pieds d'Erica, toujours Ă©tendue, pas encore vraiment remise, les yeux dans le vague.

Je glisse Ă  genoux entre les jambes de JB. Son sexe ramolli repose sur sa cuisse. Il me regarde et sourit. Je lui rend son sourire et approche ma bouche de sa verge. Elle sent la dĂ©licieuse odeur sucrĂ©e d'Erica. J'ai envie de goĂ»ter, ma langue vient titiller son gland. Je suis envahie par les saveurs, salĂ©, sucrĂ© de leurs fluides mĂ©langĂ©s, tout est extrĂȘmement excitant. Je sens sa verge tressauter sous mon inspection.
Je perçois un mouvement sur le cÎté, Erica s'est levée. Elle vient se placer de l'autre cÎté de la cuisse de JB. Elle est encore toute ébouriffée, ses beaux cheveux roux sont électriques autour de son beau visage plein de tùches de rousseurs et rougit par son orgasme. Elle est belle.
Nos regards se croisent. Nous avons fait ça souvent. Raviver. Caresser pour faire renaßtre le désir.

Ma langue reprend sa dĂ©couverte. Erica m’imite, de l’autre cĂŽtĂ©. Nos langues se croisent, se touchent sur sa longueur. Nous l’enrobons ensemble, tout en douceur. JB lĂąche un soupir.
Mes mains glissent sur les cuisses de JB, massent, caressent. Erica dépose des baisers sur son bas-ventre, tandis que je lÚche lentement sa longueur, sentant sous ma langue la tension revenir. Son sexe durcit peu à peu, comme une réponse à nos attentions.
Je prends le temps. Mes doigts caressent ses testicules, les effleurent avec une tendresse presque affectueuse, pendant qu’Erica fait tournoyer sa langue autour du gland, mouillĂ©, brillant. Nos bouches se rejoignent Ă  nouveau. Nous le partageons. Nous le rĂ©veillons. Lentement. Avec dĂ©lice.
 
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Eviradnus
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Ces deux diablesses vont complÚtement m'essorer. A peine avais je éjaculé que déjà Sibylle venait me remettre d'aplomb imitée par son amie Erica.
Ma verge se déploiement. Elle se lÚve tel un naja énervé. Je mets une main sur les cheveux blonde et l'autre sur les roux. Dieu priape aide moi!

Je le lĂšve est installe des coussins sur le sol. Je rĂ©unis cĂŽte Ă  cĂŽte et Ă  quatre pattes mes deux amantes d'un soir. J'ai ainsi la vision de leurs postĂ©rieurs. Elles profitent d'ĂȘtre Ă  proximitĂ© l'un de l'autre pour s'embrasser.

Je me mets Ă  genoux derriĂšre Sibylle Ă©carte ses deux globes charnues prĂ©sente mon gland devant l'entrĂ©e sombre et pousse mon bassin vers l'avant. Ma bite entre doucement. J'ai ressenti une lĂ©gĂšre crispation et je stop mon avancĂ©. Ma main vient caresser son clitoris. Erica caresse les seins de Sibylle et l'embrasse. Je vois le petit trou d'Érica qui palpite sans doute en pensant aux sensations qu'elle Ă©prouvera lorsque son tour viendra. L'anus se dilatĂ©. Je reprends ma poussĂ©e lente centimĂštres par centimĂštres. Enfin mon pubis touche les fesses.

J'attends un peu. La main d'Erica est venue remplacer la mienne elle s'agite sur le capuchon trempé. Je mets mes main sur le haut des fesses prÚs de lactaille de Sybille et je commence mes va et vient. Sibylle hurle des oui, des c'est bon encules moi, des encore. Elle est en transe, comblée par mon membre et les caresses de son amie. Son corps penché vers l'avant, sa croupe relevée.Vision d'une saillie brute et douce à la fois. A cÎté la fente d'Erica baille et son humidité brille.
Sibylle jouit longtemps dans un grand cris d'extase. Je retire ma verge et la laisse s'écrouler sur le sol.

C'est maintenant le tour d'Erica.
 
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Je suis encore secouĂ©e d'avoir assistĂ© a la jouissance de Sybille, sa voix rĂ©sonne dans mes oreilles, son plaisir a secouĂ© mon corps, mon bas ventre se tend, un frisson d'anticipation me gagne. Je veux la mĂȘme chose.
J'appréhende un peu, je n'ai jamais fait, mais je me sens bien, en confiance. JB me couve du regard. Il attend, il sera patient et prévenant.

Je suis a quatre pattes a cÎté du corps effondré de Sybille qui reprend vie peut a peut. Elle se relÚve encore moite de sa jouissance récente. Elle s'approche de moi. Elle sait que je n'ai jamais connu d'homme de ce cÎté là. Elle se place derriÚre moi, ses doigts glissent sur ma fente déjà ouverte et trÚs humide. Elle glisse ses doigts a l'intérieur et récupÚre mon humidité.

-"Respire bien, décontracte toi, tu verras tu vas aimer."

Elle depose un furtif baiser sur mes lÚvres et retourne vers mes fesses qu'elle écarte pour révéler mon anus qui tressaille déjà.
Elle embrasse mes reins, puis sa langue chaude vient s’aventurer dans cette zone interdite. Je pousse un gĂ©missement de surprise. Sa langue me lĂšche, m’ouvre, m’humidifie. Mon dos se cambre, mes bras tremblent.
Puis elle présente un doigt humide de mon jus. Elle appuie et rentre une phalange sans problÚmes, puis une deuxiÚme.
Je serre les dents le temps que l'inconfort passe.
Un second doigt pĂ©nĂštre mon petit orifice. Je couine de plaisir. J'en veux plus... Elle commence des vas et viens dĂ©licieux. Elle me regarde, je hoche la tĂȘte, je suis prĂȘte.

JB s'approche, son impressionnante verge au garde a vous. Il prend la place libérée par Sybille et s'installe entre mes cuisse. Ses mains glissent sur mon dos en une caresses qui me fait frissonner et ses mains viennent agripper mes hanches. Il glisse sa verge dans ma fente et fais quelques va et viens délicieux pour l'humidifier.

-"tu me dis si je peux ?" Murmure t-il d'une voix grave.

-"oui, vas-y, doucement"

Son gland s'appuie sur mon anus et il pousse. Je souffle et essaie de me détendre. La douleur est présente mais supportable. Je grogne. JB se fige. Sibylle s'approche et sa main vient jouer avec mon clitoris, des décharges de plaisir strient mon corps.
Je prend le temps de m'adapter avant de bouger légÚrement le bassin pour continuer de m'empaler sur sa verge. On progresse doucement, ensemble, tous les trois.

Il arrive au fond. Je sens ses mains se serrer sur mes hanches. Il recule sa verge et l'enfonce a nouveau. La sensation est unique, vertigineuse. Ma bouche est grande ouverte, un gĂ©missement continu s'en Ă©chappe. Mes bras lĂąchent, je tombe en avant sur la sol, la tĂȘte dans les coussins, mes fesses en l'air encore plantĂ©es sur la verge JB qui ne me lĂąche pas. Les doigts de sybille font des merveilles.
Puis les vas et viens commencent, des va-et-vient lents, profonds, millimétrés. Chaque poussée me fait haleter, je mord dans les oreillers pour ne pas hurler. Je sens mon plaisir monter, comme une vague lente mais implacable.

Il accélÚre un peu. Ses hanches claquent contre les miennes. Je gémis de plus en plus fort. Son souffle se fait plus rauque.

JB me chevauche, sa verge glissant dans cette zone Ă©troite et sensible, envoyant des Ă©clairs dans tout mon corps. Mon clitoris palpite sous les doigts de sybille. Mon ventre est en feu. Je me perds. Chaque coup de reins est plus profond, plus fort, plus chaud. J’en perds la tĂȘte.
Et soudain, tout s’embrase.

Je crie, un long cri rauque, dĂ©chirĂ©, pendant que mon orgasme m’explose dans le ventre. Mon sexe se contracte mĂȘme sans ĂȘtre touchĂ©, je sens une vague d'humiditĂ© se rĂ©pandre comme un tsunami jusque sur mes cuisses.

Je sens JB se raidir, grogner. Il pousse un dernier coup de bassin, profond, puissant, et je sens sa semence chaude qui me remplit. Il reste collé contre moi, haletant, ses doigts crispés sur mes hanches...
 
Eviradnus
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Je suis Ă©puisĂ© et heureux. Mon taux d'ocytocine doit ĂȘtre Ă  son maximum. Ces deux tigresses m'ont fait entrer dans le nirvana. Mon sexe est de nouveau completement flasque contre ma cuisse.
Mes deux chéries s'embrassent se calinent. Je me joins à leur duo pour moi aussi participer à ce tendre moment de retour au calme. J'embrasse et caresse et reçois en retour.

Enfin repus nous asseyons nus et en tailleur. Nous devisons joyeusement. J'observe le corps de ces femmes. Elles sont totalement à l'aise dans leur nudité. Sibylle me demande si elle peut venir visiter mon voilier demain matin. Je lui répond par l'affirmative.
"Si tu veux et si tu as du temps, tu peux mĂȘme venir faire un tour en mer demain avec mes amis. Je suis sĂ»r qu'ils seront ravis de faire la connaissance d'une aussi belle femme."
"Et moi, puis je me joindre Ă  votre aventure?" Demande Erica.
"Bien entendu" rĂ©pondis je. "Il reste mĂȘme une cabine disponible, si vous voulez rester la nuit".

Sybille et Erica frĂ©tillent de joie. Elles passeront toute une journĂ©e et une nuit en notre compagnie. Je leur dit de prĂ©parer leurs vĂȘtements et de les dĂ©poser dans un sac Ă©tanche ou Ă  dĂ©faut dans un sac poubelle.

Je leur demande : "Savez vous nager toutes les deux?" Elles repondent par l'affirmative. "Je vous propose, tels des pirates, de nous rendre à la nage sur mon cata, vous en sentez vous capable?" Les deux amies sont enchantées par cette idée.

Nous nous rendons sur la plage. Au loin, à l'est, le soleil commence à darder de timides rayons. Nous sommes toujours nus tous les trois. J'entre dans l'eau tiÚde le premier. Mes deux amantes me suivent en se tenant par la main. Je m'enfonce dans la mer pose le sac poubelle qui détient nos affaires sur l'eau et commence à nager. Il y a une trentaine de mÚtres à parcourir.

Nous arrivons Ă  la poupe du cata et montons Ă  bord.
 
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Mes bras s'accrochent au rebord du catamaran. Mon souffle est court, je me remet de la nage. Je me hisse à bord, aidée par JB, et à peine mes pieds touchent le pont que je frissonne. L'air du matin est doux, mais je suis encore mouillée et nue.

Sybille grimpe Ă  son tour, essorant ses cheveux blonds dans un geste fĂ©lin. Elle rit doucement. JB rĂ©cupĂšre le sac poubelle qui a courageusement flottĂ© jusqu'ici avec nos affaires. Il nous tend chacune une serviette, et nous nous essuyons. L’air est calme, le moment est dĂ©licieux.

On entre tous les trois dans la cabine. Les draps nous accueillent comme une Ă©treinte. Sybille se cale contre le torse de JB, je viens me nicher derriĂšre lui, ma main glissant autour de sa taille pour la poser sur son torse. Je sens son cƓur. Je suis bercĂ©e par les mouvements du bateau. La chaleur de JB et de Sibylle me rĂ©chauffe. Je me sens bien dans ses draps frais, comme roulĂ©e dans un nuage. Mes yeux se ferment, je m'endors.
 
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Le soleil est déjà haut quand je me reveille. Evi dort toujours a cÎté de moi, je l'observe quelques minutes. Son torse se soulÚve avec régularité, et je suis fascinée par ce rythme calme qui contraste avec la fougue que je lui connais. La lumiÚre qui filtre a travers les hublots vient jouer avec ses muscles détendus, un régal pour les yeux.

Puis je me lÚve, j'ai un mystÚre a résoudre.

Je sais que JB est lĂ , je sais aussi qu’il n’est pas seul. J'ai entendu des rires et des voix au petit matin. J'attrape un parĂ©o pour cacher ma nuditĂ© et je sors de la cabine. Je traverse le bateau pour rejoindre celle de JB.
J’ouvre doucement la porte, poussĂ©e par la curiositĂ©.
Ils dorment.

JB est allongĂ© sur le dos, la bouche entrouverte, les traits paisibles. De chaque cĂŽtĂ© de lui, deux femmes. Une rousse qui dort en boule contre son flanc, son bras posĂ© sur son torse. Ses boucles encadrent un visage calme, presque enfantin dans le sommeil. L’autre, une blonde splendide, est enchevĂȘtrĂ©e dans ses jambes, la joue contre son ventre.

La scÚne est incroyablement belle. Trois corps nus, entrelacés. Je ressens une étrange chaleur au creux du ventre. Aucune jalousie, juste une admiration sincÚre.

Je referme la porte, tout doucement.

Et je me dirige vers la cuisine. Il y a 2 bouches supplĂ©mentaires Ă  nourrir et, connaissant JB, la soirĂ©e a du ĂȘtre sportive.
 
Eviradnus
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Je me rĂ©veille bercĂ© par le clapotis de la mer qui tapote sur les coques du cata. Le soleil chauffe l'emplacement vide oĂč dormait ma pulpeuse amante. Je percois plus que n'entends un bruit dans la cuisine. Je m'Ă©tire en repensant Ă  la soirĂ©e d'hier. Mon sexe se dresse doucement propulsĂ© par mes souvenirs.

Je me lÚve nu et me rends dans le roof. Je vois Shadys qui s'affaire dans la cuisine. Elle est dos à moi et ne m'a pas entendu accaparée qu'elle est. Je m'approche d'elle et vient l'enlacer contre mon torse. Je soulÚve ses cheveux et appuie un long baiser sur son cou tout en la serrant fort, en pressant ses seins volumineux dans les paumes de les mains. Shadys soupire d'aise. Je respire son bonheur pendant que mon sexe dressé s'écrase contre ses fesses.

Allez soyons sérieux. Je relùche ma proie consentante de mon étreinte et sors à l'extérieur. Juste avant de franchir la porte je la regarde une derniÚre fois et nos yeux se croisent. Shadys sourit d'un sourire qui illumine son beau visage.

Je sors, récupÚre un masque et des palmes m'assoie sur la derniÚre marche de la poupe du cata. J'enfile mes palmes. Crache sans mon masque. J'enduis ma salive sur les verres. Je le rince à l'eau de mer puis le pose sur mon visage.

Je plonge dans l'eau. Je remets bien en place mon tuba et commence mon palmage. Ce matin je vais vérifier notre ancrage. Je longe la coque bùbord et j'arrive sur la chaßne.

Une derniÚre grande inspiration, un canard, et mon corps descend en longeant la chaßne jusqu'à la pioche. Au fond il y a quelques petits poissons qui se restaurent le long du sillon provoqué par la traßné qu'ont laissé les pattes de la pioche. Tout est est clair.

Au moment de remonter, je sens une ombre qui passe au dessus de moi. Je me retourne. Shadys m'a rejoint.
 
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SHADYS

L’eau est tiĂšde, douce, caressante. Je me glisse sous la surface, avec masque et tuba, mes cheveux ondulant autour de moi. Je l’aperçois, concentrĂ©, en train d’inspecter l’ancrage. Je l’observe un instant, fascinĂ©e. Son dos puissant, ses Ă©paules musclĂ©es. Il dĂ©gage une force tranquille qui me trouble toujours autant.

Je me rapproche et passe lentement juste au-dessus de lui. Je fais un demi-tour gracieux sous l’eau, l'observe de profil. Il est si sĂ©rieux, appliqué . Il s'apprĂȘte Ă  remonter et son regard tombe sur le mien. Il est surpris et moi rieuse. Nous remontons reprendre notre souffle. Nos tĂȘtes percent la surface et l'air emplit nos poumons.

Je m’approche de lui, mes mains effleurent son torse, et descendent jouer avec son sexe, mes seins frottent contre son bras. Il se tourne pour les attraper mais je m'Ă©chappe d'un battement de jambe et plonge. Il me rattrape sans problĂšmes, ses mains glissent sur mes jambes. Je me retourne et lui fait face, sous l'eau. Mes yeux se posent sur son Ă©rection dĂ©jĂ  bien installĂ©e. Il essait de m'attiter a lui mais je m'Ă©chappe a nouveau et remonte a la surface. Ce petit jeux dure plusieurs minutes. Je le frĂŽle, puis je disparais, rasant la coque du bateau, insaisissable. Je virevolte sous l’eau, tourne autour de lui, l’effleure du bout des doigts, du bout des seins.
Je sais que je joue un jeux dangereux, mais je lui rend la monnaie de sa piece de notre soirée de la veille.
Il me suit du regard, confiant. Il peut m'attraper quand il le veut mais il aime ce petit jeux.

Je m’accroche enfin aux marches immergĂ©es de la poupe, le souffle un peu court de ma course. Il est encore loin, j'ai le temps de grimper. Enfin, je pensais avoir le temps. En un instant, il est contre moi, son torse brĂ»lant collĂ© contre mon dos. Ses mains me plaquent contre l'Ă©chelle et il murmure a mon oreille:

- "je te tiens"

Sa bouche s’égare sur ma nuque, ses dents me mordillent doucement. Ses mains se referment sur mes hanches. Mon souffle s’accĂ©lere.
Je souris, les yeux fermĂ©s. Je l’ai allumĂ©.
Son sexe dur vient se presser contre mes fesses. Il me tient fermement, m’aligne contre lui, son gland trouvant sans problĂšmes l'entrĂ©e de ma grotte encore immergĂ©e mais dĂ©jĂ  bien humide. Il m’envahit d’un coup, profond et fort. Mon cri se perd dans le clapotis de l’eau, il grogne de soulagement. Le froid envahi mon vagin, me coupant le souffle. Il me prend lĂ , contre les marches, son souffle court dans mon cou. Chaque coup de reins me fait vaciller. L’eau tourbillonne autour de nous.
Sa main glisse sur mon ventre et descend rejoindre mon clitoris. Je lache un autre cri. Je sens que je me rapproche du gouffre.

-"non, tu m'attends" Souffle t-il avec un sourire.

Il continue ses vas et viens puissants au fond de moi. Je couine, j'ai envie d'exploser.
 
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Eviradnus
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EVI
Shadys m'a rejoint et nous jouons quelques minutes dans la liberté d'apesanteur que nous apporte les eaux tempérées des Caraïbes. Nous batifolons.

Elle repart vers la poupe, je la suis. Elle essaie de monter à bord un peu essoufflée en me cherchant du regard souriante du petit tour qu'elle m'a joué en me surprenant.

Je suis derriÚre elle. Je regarde ses jambes se replier puis regrouper. Sous l'eau avec mon masque je peux voir en gros plan sa fente alléchante. Mon sexe est dur. Elle commence à allonger ses jambes. Je profite de cet instant pour venir l'attraper.

Je retire mon masque lui dit que je la tient. Je l'embrasse et la mordille. Mon sexe se dirige naturellement vers l'entrée de son vagin et y pénÚtre sans aucun problÚme. Nos corps sont en immersion. Shadys est accrochée à l'échelle. Je pose mes pieds à cÎté des siens pour avoir une meilleure prise et commence mes va et vient. Les muscles de son vagin me serrent délicieusement. L'eau qui nous entoure nous berce.

Je mets mes doigts contrf son clitoris et la caresse. Je sens que ma Shadys est prĂšs de l'explosion finale. Son cri me le confirme. Je lui demande de m'attendre car moi aussi je ne vais pas tarder.

Je m'enfonce entiÚrement en elle et lui dit "maintenant". Je lùche ma semance. Shadys hurle son bonheur en une jouissance explosive. Sa cyprine se mélange à l'eau de mer.

Nous nous reprenons rapidement de nos Ă©motions. Je l'aide en poussant ses jolies fesses. Je vois une traĂźnĂ©e blanche s'Ă©couler de sa fente en mĂȘme temps que la mer et qui ruisselle le long de ses cuisses. Je me propulse pour lui dĂ©cocher un baiser sur la vulve.

Allons prendre ce café.
 
Eviradnus
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EVI
Shadys et moi nous nous rinçons à l'eau douce. Je l'aide à savonner ses courbes affriolantes pendant qu'elle se lave les cheveux acajou. J'adore toucher sa peau. Puis pour me rendre la monnaie de ma piÚce c'est elle qui me lave. Elle savonne mon corps
et s'attarde un peu trop pour ĂȘtre un hasard sur mon entre jambe. Mon membre reprend de la vigueur.

Une fois rincĂ©, je l'aide Ă  s'essuyer en la frictionnant. Au passage je dĂ©pose quelque baisers dans son cou, ses seins, ses fesses et mĂȘme un dernier sur sa fente.

Shadys s'échappe à regret de mes doux baisers et descend vers la cuisine. Elle en ressort avec un plateau sur lequel un copieu petit déjeuner trÎne.

Nous asseyons sur la banquette du roof. J'ai enfilé un short et un débardeur ainsi que mes lunettes de soleil. Shadys elle porte une jolie robe brodée écrue. Elle est nue en dessous et les trous fntee les maillons laissent entre apercevoir la pointe de ses seins volumineux. Je lui demande :
"Veux tu que j'aille voir si JB est réveillé pour qu'il se joigne à nous?"
Elle me répond :
"Je crois l'avoir entendu rentrer ce matin et il n'était pas seul. Je suis passé devant sa cabine en me levant.
Sa porte était ouverte. Il était couché entouré de deux femmes nues. Ils étaient encastrés les uns dans les autres. Je voyais leurs courbes enchassées ce qui m'a donné des petits frissons en pensant à ce que nous pourrions faire tous ensembles. Serais tu intéressé ? "
Je pris la main de Shadys y déposais un baiser avant de lui repondre:
"Avec toi cela ferai trois femmes pour deux hommes. Nous aideras tu JB et moi Ă  nous occuper de ces deux femmes si elle sont concentantes?"

Shadys eut un petit rire cristallin en me jetant un cou d'Ɠil complice.
 
Eviradnus
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JB
Je suis réveillé par une main qui caresse mon sexe. Elle ne l'entoure pas, non, elle le caresse. Les doigts de cette main sont sur mon frein. Le bout du doigt humidifié le lisse délicatement. Mon membre se déploie attisé par ces manipulations. Je ferme mes yeux. Je fais semblant de dormir. Je voudrais que cette caresse se prolonge. Encore et encore.
J'entends un bruit d'embrassade. Le son de bouches qui se rencontrent. Le son de langues qui se roulent, se léchent, s'apprécient mutuellement.

Il y a plusieurs mains maintenant sur mon corps qui le caressent. Au moins deux sur mon sexe et d'autres sur ma poitrine. Mon sexe est presque totalement dressé.

Une bouche vient lui faire un bisou sur le gland encore recouvert par le prépuce, puis un autre bisou et encore un un peu plus appuyé.

VoilĂ  maintenant qu'en mĂȘme temps une langue chaude vient sur mes testicules les enduire de salive. Deux bouches sur mon sexe. La premiĂšre qui le dĂ©calotte l'autre qui suce mes couilles. Je ne peux plus me retenir et je pousse un gĂ©missement d'extase.

J'ouvre mes yeux. Erica ma rousse aux lÚvres de feux me pompe. Je le redresse sur mes coudes. Les cheveux blond de Sibylle se mélangent avec ceux d'Erica. Ballet de mÚches pour femme de mÚche.

La porte de ma cabine s'ouvre. Par l'entrebaillement, je vois Shadys qui tient la main d'Evi et qui me demande: "peut on se joindre à vous?" d'une voix excitée.