Comment je suis devenu fétichiste des femmes en jupes ou en robes très longues et très amples !

jaurès-aymé
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C’est un matin classique où mon horloge biologique me dit que c’est l’heure du lever. J’ai travaillé toutes ces années, seul, dans le seul but de ne plus avoir de réveil pour le réveil et de savoir organiser mes journées comme bon me semble.




Toutes ces années sans femme à mes côtés ; la dernière relation qui aurait dû mener au mariage s’était brutalement terminée par le refus clair, net, catégorique et sans appel des ex-futurs beau-parents...




Cause invoquée ? Aucune importance ! Néanmoins : motif suffisant pour ne pas chercher une autre femme et consacrer plutôt toute mon énergie à développer le projet de business que j’avais dans les cartons.




Tout comme tout projet de business qui n’a en moyenne qu’une chance sur cent de réussir, le mien n’a pas abouti ; du moins, pas tel qu’il avait été pensé au départ, car de nombreuses bifurcations ont dû être empruntées.




Toutefois, le travail et les efforts ont fini par porter des fruits : je suis indépendant, libre hiérarchiquement parlant, libre géographiquement parlant, libre temporellement parlant ; plus besoin de stupide manager à supporter, plus de trou à merde où s’emmerder, plus de réveil pour me saouler !




Ces libertés, c’est déjà cela de gagné ! Sept années à travailler à cet effet.




Pendant tout ce temps, la seule présence féminine n’a été que mon ex venue visiter mon profil LinkedIn deux ans après notre rupture. Par curiosité, je vais visiter le sien, je constate ce qu’elle est devenue et lui envoie un message pour la féliciter ; elle me répond pour me remercier. Puis elle cherche à se rassurer : « Nous sommes toujours très bons amis, n’est-ce pas ? » ; je lui réponds que je ne lui en veux aucunement, si c’est cela qu’elle cherche à savoir. Elle me répond ceci : « J’aimerais que tu saches que tu me manques toujours ! ». Par la suite, nous avons échangé ; j’ai cherché à savoir si elle avait trouvé un autre mec, et si je pouvais enfin arrêter de lui manquer, chose enfin faite cinq années après notre rupture.




Voilà pour la seule présence féminine pendant ces sept années à bosser ; pour le reste : la main droite et l’imagination poussée à son extrême.




Maintenant, l’argent commence à rentrer, je le réinvestis dans mon entreprise comme il se doit. J’investis dans du matériel, j’embauche du personnel que je forme : des gars, mais également des filles que je m’interdis de toucher. No zob in job, la main droite demeure opérationnelle...




Maintenant, l’argent qui reste après avoir réinvesti dans mon entreprise commence à augmenter ; je peux lever un peu le pied, pas de l’accélérateur de la voiture que je n’ai pas,... je peux lever un peu le nez et me faire plaisir... Ma main droite a aussi mérité de se reposer...




C’est donc un matin classique ; pendant que je descends mon café, j’imagine ma journée et ma soirée qui le seraient également. La journée a bien été classique, avoir des couilles comme j’ai montré en avoir pendant toutes ces années a payé, il faut maintenant les vider !




Allez ! Un petit tour sur un petit site s’impose ! Qu’avons-nous de beau ? Ouh, cela fait bien longtemps que je n’avais pas fait un tour sur ce genre de site ; en fait, je crois que je n’y suis jamais allé. Et après toutes ses années le nez dans le guidon, j’ai fini par ne plus même savoir ce que je voulais !




Je savais davantage ce que je ne voulais pas : la sempiternelle petite écolière ; je n’ai jamais été fan de cela, je ne fais pas dans la pédophilie... La dominante en latex ? Très peu pour moi, je ne suis pas du tout maso ! La prof vieille école avec une cravache ? Mon pire cauchemar ? Même pas en rêve...




Alors entre la petite écolière bien soumise et la dominante en latex, je cherchais le juste milieu ; à force de chercher, je tombe sur le profil de Sabrina, une fille bien blonde aux yeux bleus. Elle a un petit chemisier bleu ciel bien sympa, bien assorti à ses yeux et surtout : la petite jupe au ras du cul !




L’expression « la petite jupe au ras du cul ! », je l’ai piquée à une jeune Youtubeuse niçoise qui vit au Canada et qui a appris à parler avec l’accent québécois : une très belle jeune fille avec une pointe de grossièreté dans son langage qui n’est pas dégueulasse. Et l’entendre parler des filles en soirées « avec la petite jupe au ras du cul » avec son accent québécois et le langage corporel qu’elle a utilisé à ce moment précis, cela m’a bien émoustillé !




Rien que d’écrire ceci me tend la perche !




Sur certaines photos, Sabrina portait un blazer façon tailleur-jupe avec chignon banane et grosses lunettes à grosses montures, comme les femmes cadres dans les grandes entreprises : tout ce que je déteste ! Les grandes entreprises, hein, pas les femmes cadres... Sur d’autres photos, elle avait juste la jupe et le chemisier sorti de la jupe, déboutonnée en décolleté, les cheveux détachés et sans lunettes.




Une photo attire mon attention : celle où elle apparait en décolleté et tenant une cigarette de la main gauche. Je la contacte, je lui demande si la cigarette, c’est pour de vrai ou bien si c’est juste pour le style ; elle me répond qu’elle fume réellement et me demande si cela me pose un problème ! Je lui réponds qu’au contraire, j’ai un fétichisme des femmes qui fument et aussi des femmes gauchères !




Elle me dit qu’elle peut me préparer un numéro spécialement pour moi, nous câlons un rendez-vous et elle me file ses coordonnées. Je constate qu’il n’y a pas de bus pour aller chez Sabrina ; il me fallait donc prendre un taxi.​
 
jaurès-aymé
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On oublie toujours que se rendre chez une femme, c’est comme aller dans l’espace : la réussite n’est pas d’y aller mais d’en revenir ! Et cette soirée-là allait me rappeler à cette importante réalité...




Le taxi m’amène donc à ma destination, me dépose,... et s’en va !




Je sonne à l’adresse indiquée : une maison située dans une petite commune en périphérie de l’agglomération où j’habitais, une maison qui correspondait exactement aux photos que m’avait envoyées Sabrina pour être sûre que je trouve bien l’endroit. La porte s’entrouve et une tête apparaît dans l’ouverture : pas celle de Sabrina... Au lieu d’une blonde aux yeux bleus, c’était une jeune brune asiatique, aux yeux marrons on ne peut plus ordinaire, avec des grandes lunettes rondes aux fines montures de métal, une espèce de chignon claw clip bun négligé et retenu par une pince pélican qu’elle aurait fait vite fait ; bref : le genre de fille bien sérieuse qui ne ressemble en rien à la sexy Sabrina qui devait me donner du plaisir ce soir...




Elle, la mine dont on voyait parfaitement qu’elle se demandait ce que je fabriquais là :« Oui ? Bonsoir ? »

Moi : « Bonsoir ! J’ai rendez-vous avec Sabrina. »

Elle, interloquée : « ??... Sabrina... ?? Euh... ?? Vous faites erreur, Monsieur ! Il n’y a pas de Sabrina ici... Vous vous êtes certainement trompé d’adresse... »




Elle parlait avec une espèce d’accent mondain avec une intonation dans la voix qui l’était tout autant... Je lui réponds que pourtant, j’étais bien au bon endroit en lui indiquant l’adresse.




Elle, riant avec une petite gêne : « C’est exact, c’est bien ici. »

Moi : « Et elle m’avait envoyé les photos de la maison, et je vois que c’est bien cette maison. »




Je lui montre mon téléphone avec les photos. Là, elle ouvre entièrement la porte pour en franchir le pas, et je vois la fille en entier : elle avait un chemisier légèrement blanc cassé sur lequel on devinait de fines rayures et dont on se demandait si elle n’avait pas repris le chemisier de son arrière-grand-mère et dont les nombreux lavages en machine auraient supprimé les couleurs originelles... Par dessus le chemisier, elle portait un gilet bordeaux entièrement déboutonné et peut-être une ou deux tailles au-dessus de la sienne... Mais surtout, elle portait une jupe très longue et très ample beige qui flottait à à peine plus du centimètre au dessus du sol. C’était le genre de jupe parapluie pour laquelle elle avait dû prendre trois cercles complets et les coudre ensemble pour obtenir cette immense largeur, formant ainsi une jupe de 1080 degrés ! Peut-être même que la couleur beige de la jupe avait déteint sur son chemisier au lavage, lui donnant ainsi cet aspect de blanc cassé...




Elle tire sur les manches de son trop grand gilet pour se couvrir les mains, croise les bras, regarde les photos et me confirme en riant, cette fois-ci avec un léger sarcasme : « Oui, c’est bien cette maison, mais il n’y a pas de Sabrina ici ».




Me voyant comme un peu sur le cul, elle se marre tout doucement et reprend : « Sabrina, c’est votre copine ? »

Moi, sans rire du tout : « Non. »

Elle, toujours en riant : « C’était votre rendez-vous galant alors... »

Je la regarde en me disant « Quel rire bête... » et lui réponds : « Euh... oui... »




Je commençais à comprendre que cette Sabrina m’avait envoyé au mauvais endroit, sans que je ne comprenne pourquoi puisque ce n’était pas un rendez-vous galant, mais un service payant...




Elle, toujours de son accent mondain : « Vous voulez très certainement l’appeler, n’est-ce pas ? Venez donc, entrez donc deux minutes ! »




Le ton de sa voix voulait clairement dire « Ne restez donc pas planté comme un tronc ! »




J’accepte volontiers, elle me conduit à l’intérieur, sa longue jupe flottait légèrement dans tous les sens lorsqu’elle marchait ; si sa jupe était restée statique, on aurait pu croire que la jeune fille flottait au dessus du sol comme le font les danseuses géorgiennes...




Il y avait deux autres nanas dans la maison ; lorsqu’elles m’ont vu, elles m’ont dit bonsoir en souriant. La jeune fille qui m’avait ouvert leur dit avec ce même accent mondain, en rigolant : « C’est un Monsieur qui s’est égaré en chemin et qui a échoué ici ! ».




Les deux nanas étaient plutôt ordinaires : pas le genre de canon avec qui passer la nuit, mais pas moches non plus. Et elles avaient l’air sympas !




L’une d’elles étaient une caucasienne ordinaire : brunette, les yeux marrons, les cheveux longs en queue de cheval bien lambda, vêtues d’un pantalon classique noir et d’un haut classique vert pomme.




L’autre, caucasienne elle aussi, avait les cheveux courts blonds vénitiens, les yeux bleus-verts ; on aurait presque dit un garçon manqué, sauf qu’elle portait une petite jupe ordinaire brun clair et un sweat-shirt gris.




Les deux nanas étaient à peu près de même taille ; la jeune fille à la jupe très longue et très ample qui m’avait ouvert était la plus grande et avait presque ma taille !




Angélique était la blonde vénitienne, tandis que la petite brunette était Pascaline !




En me tournant vers la plus grande : « Et vous ? » ; elle : « Géraldine ! »

Géraldine, de nouveau : « Et vous ? »

Moi : « Thomas. »

Angélique : « Qu’est-ce qui vous amène ici ? »




Je ne savais pas quoi lui répondre. En ces sept ans à bosser comme un dingue, j’ai malheureusement perdu tout sens de la répartie.




Il faut dire que pour aller de cette Angélique aux cheveux blonds vénitiens et aux yeux bleus-verts, à la Sabrina aux yeux bleus, à la chevelure très longue et très blonde que j’étais censée voir ce soir, il fallait énormément d’imagination ; même les intelligences artificielles les plus pointues sont incapables de transformer une telle Angélique en cette Sabrina.




Perdu dans ce genre de pensées, je n’ai rien trouvé à lui répondre que c’était un plan foireux qui m’amenait là, et qu’il n’y avait que le plan du village qui n’était pas foireux...​
 
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Géraldine m’invite à m’assoir sur le clic-clac pour que je passe des appels. Je tente de joindre Sabrina : pas de réponse. Pas le choix : il va falloir rentrer. Ou bien peut-être rester : pas moyen de joindre un taxi, un VTC ou un Uber.




Géraldine, toujours avec son accent mondain et d’un ton un peu moqueur : « Et bien mon cher Thomas, j’ai bien peur que vous deviez passer la nuit ici et repartir demain matin ! ».




Moi : « Et comment je repars d’ici ?? »

Géraldine : « Mon ami vous amènera en ville, il y travaille tous les jours. »

Puis de nouveau Géraldine : « Et vous, vous faites quoi dans la vie ? »

Moi : « Je suis à mon compte... », puis je reprends : « Et vous trois, vous faites quoi ? »

Géraldine : « Nous sommes étudiantes. Angélique et moi sommes étudiantes en histoire, Pascaline étudie la comptabilité. »

Moi : « Mais vous faites comment pour aller à la fac ? Il n’y a pas de transport ici... »

Géraldine : « Mon ami nous emmène tous les jours et nous ramène le soir. Et nous partageons les frais. »

Moi : « Votre petit ami ? »

Géraldine : « Non, juste mon ami, ce n’est pas mon petit ami. »

Moi : « Vous n’avez pas un petit ami ? »

Géraldine éclate de rire et me répond : « Non, je n’ai pas de petit ami. Et vous ? Vous avez une chérie ? »

Moi : « Non. »

Géraldine, prenant la mine bien entreprenante : « Ah ben alors, vous êtes libre ! Si vous voulez, je peux devenir votre petite amie ! »




J’avais l’impression d’avoir atterri dans un village du siècle dernier où ne vivaient que des femmes qui devaient être bien contentes si un mec passait une fois toutes les 36 du mois !




Et cette Géraldine me donnait clairement l’impression de n’avoir jamais eu aucun mec dans sa vie, qu’elle cherchait désespérément à en trouver un, quitte à tout faire pour mettre le grapin sur le premier qui passait !




Je change donc très vite de sujet : « Mais... vous n’avez pas trouvé plus prêt, en ville où vous avez des bus ?? »

Angélique : « Vous savez, les logements ne sont pas donnés, il faut des garants et tout... Cette maison, c’est la seule solution qu’on a trouvée pour se loger. »

Pascaline : « Et puis en tant qu’étudiantes, on n’est pas bien riche non plus donc on coupe les dépenses au maximum. Là vous voyez, on a un clic-clac qu’on nous a donné, on a récupéré des meubles de jardins pour s’assoir et manger, et on dort par terre sur des futons. Et pour les vêtements, c’est strict minimum ; on fait tout pour économiser même sur la lessive ! »




La comptable a parlé ! Cela devait être la cost-killer du groupe ! J’aurais bien aimé voir Pascaline faire les comptes avec une pascaline à la place d’une Casio...




La comptable a aussi dévoilé : pendant qu’elle parlait de limiter les vêtements et les lessives, Géraldine s’était levée pour aller en cuisine. J’ai perçu un détail qui m’avait jusque là échappé : Géraldine avait les tétons qui pointaient dans son chemisier ! Et quand Pascaline avait évoqué le linge réduit pour économiser sur les lessives, cela avait tout de suite fait tilt : à mon avis, aucune des trois nanas ne portaient le moindre sous-vêtement !




Pour Pascaline, impossible d’en être certain ; Angélique maintenait ses jambes croisées donc aucun moyen de vérifier si le minou était à l’air libre sous sa petite jupe, son sweat-shirt était trop large pour voir les tétons pointer... La seule chose dont on pouvait être certain, c’était que Géraldine n’avait pas de soutien-gorge sous son chemisier ; était-il possible que sous sa très longue et très ample jupe, elle n’avait pas de sous-vêtements ? Et que chaque mouvement que faisait la jupe lorsqu’elle marchait lui caressait doucement les fesses ?




À défaut d’avoir rencontré Sabrina, l’idée que ces trois nanas étaient nues sous leurs vêtements m’émoustillait ; c’était mon lot de consolation. Faisant partie du lot de consolation : les trois nanas sont gauchères, comme Sabrina.




Mais mon esprit était ailleurs : je me disais que je retiendrais la leçon, que la prochaine fois, je prendrais une voiture de location !




Géraldine revient de la cuisine et nous invite tous à table : « On a juste quelques snacks, un peu de charcuterie et du fromage, un peu de pain et des fruits à partager avec vous. »

Moi : « Ça ira très bien ! »




On s’assoit tous autour de la table de jardin sur les chaises en plastique, Géraldine repart en cuisine et revient avec une bouteille de vin, et toujours de son espèce d’accent mondain : « Tenez, on n’a qu’à goûter à ce vin que ma tante avait glissé dans mes affaires lorsque je suis rentrée le weekend dernier. »




On commence donc à grignoter et à parler de tout et n’importe quoi, comme quatre paumés au milieu de nulle part ! La seule chose que j’ai retenue, c’est qu’aucune des trois nanas n’avait de mec. Le reste ? Je ne sais plus trop de quoi on avait parlé ; non pas parce que la conversation était inintéressante, mais tout simplement parce que je ne tiens pas du tout l’alcool : je commençais déjà à piquer du nez à peine le premier gobelet vidé !​
 
jaurès-aymé
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Pendant tout le repas, Géraldine qui était assise à côté de moi avait tenté toute forme de contact physique : du bout de ses doigts, elle essayait de me toucher le bras ou la cuisse, exactement comme une célibataire désespérée qui tentait tout ce qu’elle pouvait pour trouver un mec, comme je l’ai écrit plus haut. J’avais l’impression qu’elle tentait de me faire du pied à chaque fois qu’elle croisait, décroisait et recroisait ses jambes ! Il m’a même semblé qu’elle m’ait pris la main et ait commencé à la caresser, avant de la relacher, faute de réaction de ma part. Mais comme j’étais déjà bourré, je ne suis même pas sûr qu’elle m’ait pris la main et je n’étais même plus en mesure de réagir. Elle m’aurait attrapé la perche et commencé à la caresser que ma réaction aurait été la même !




Géraldine : « Et cette Sabrina que vous deviez voir ce soir, comment est-elle ? »

Moi : « En tout cas, pas du tout le même style que vous »

Géraldine : « Elle est plutôt sexy ? »

Moi : « Oui, plutôt ! »

Géraldine : « Bref, pas comme moi ? »

Moi : « En effet, pas comme vous. »

Géraldine : « J’imagine qu’elle est plutôt du genre à se balader avec la petite jupe au ras du cul ? »




Alors là, j’ai désaoulé d’un coup sec ! J’ai bien entendu... ? Je n’ai pas rêvé... ? Géraldine venait juste d’utiliser la même expression que la Youtubeuse des années plus tôt ! Avec la même pointe de vulgarité ! Cette fois-ci, avec un accent mondain au lieu d’un accent québécois ! Cela faisait déjà la deuxième fois que j’entendais cette même expression : « la petite jupe au ras du cul ! ».




De la part de Géraldine qui était vraiment le genre de fille sage, sérieuse, prude et surtout bien élevée, le rêve de tout homme asiatique qui attendrait d’elle qu’elle s’occupe de lui ainsi que de sa famille sans broncher, cela me faisait tout drôle ! À tel point que sur le coup, j’ai fait... stop ! Comme s’il y avait arrêt sur images me concernant !




Géraldine explose alors de rire. Et je lui réponds : « Et bien oui, elle est plus souvent avec la petite jupe au ras du cul qu’avec la longue jupe au ras des pieds comme la vôtre ! De vous à moi, elle est très portée sur la chose... »

Géraldine, en riant : « Parce que vous pensez que je ne le serais pas ?? Qu’est-ce qui vous fait penser que je ne serais pas portée sur la chose également ?? »

Moi : « Votre style : on vous imagine plutôt sage et prude que sexy et nymphomane... »




Je ne remarque que maintenant que Géraldine avait déboutonné légèrement son chemisier en décolleté pour laisser apparaître le haut de sa poitrine...




Géraldine me prend alors par le bras, m’assoit sur le clic-clac et s’assoit juste à ma gauche. Et là, surprise : elle attrape un paquet de cigarettes, sort une cigarette, l’allume et recrache la première bouffée. Je la regarde comme hypnotisé : je n’aurais jamais imaginé qu’une fille qui ait l’air aussi sérieuse, aussi sage, aussi prude, puisse être fumeuse ! En plus de cela, elle avait une manière tellement élégante de tenir sa cigarette. À ce moment, elle tire de nouveau sur sa cigarette et cette fois-ci, elle m’envoie la fumée de sa cigarette au visage !




Ah ! Comme j’adore quand une femme me souffle la fumée de sa cigarette au visage. Surtout quand elle me la souffle bien longuement ! Et Géraldine le sent parfaitement. Alors elle tire à nouveau sur sa cigarette, m’attrape tendrement la tête et me souffle bien longuement la fumée au visage, puis m’embrasse.




À ce moment, elle m’allonge doucement sur le clic-clac et commence même à me déshabiller. Je commence à devenir tout rouge... Elle me défait le pantalon, glisse sa main dans mon caleçon et commence à me caresser l’engin tout en continuant à me souffler la fumée de sa cigarette au visage !




Je commence alors à grogner fortement tellement c’est excitant ! Les mains de Géraldine, c’était tout simplement de la magie ! Et elle avait très certainement des doigts de fée ! Pendant que je grognais, Géraldine me regardait avec la mine d’une fille bien innocente qui ne savait pas ce qu’il se passait : « Bah alors Thomas ?? Qu’est-ce qu’il se passe ?? Qu’est-ce qu’il t’arrive ?? »




Moi : « ARGH !! ARGH !! AH C’EST TROP BON !! C’EST TROP EXCITANT !! ARGH !! ARGH !! »

Géraldine, avec une mine pleine de fausse compassion : « Rooh... Mon pauvre chéri... Et pourtant, il semblerait que tu aimes ça... »

Et pendant que je continuais à grogner, Géraldine me souffle la dernière bouffée de sa cigarette au visage avant de l’écraser.




Alors elle finit de me retirer le pantalon, me retire complètement le caleçon, puis déboutonne ma chemise, passe ses mains sur mon torse, s’allonge sur moi et continue de m’embrasser. Puis elle se dirige vers mon pénis et commence à la caresser de sa langue !




J’avais la perche bien dure, bien tendue, et Géraldine le sentait bien ! Ça avait même l’air de l’exciter, au point qu’elle voulait la sentir bien comme il fallait ! J’étais prêt à pénétrer mais Géraldine estimait qu’elle n’avait pas encore terminé de préparer ma lance et qu’elle devait finir de me chauffer !




Du coup, elle se positionne de manière à ce que son minou touche ma perche, et elle commence à faire des mouvements de va-et-vient afin que le tout tissu de sa jupe lui caresse le minou et me caresse le membre en même temps. C’était une sensation toute nouvelle pour moi ; jusqu’à présent, les femmes avaient utilisé avec moi leurs mains sèches, leurs mains adoucies à l’huile, leurs langues ou leurs bouches pour me masturber, mais là : c’était bien la première qu’une femme me masturbait en utilisant sa jupe ! Et qu’est-ce que c’était excitant ! Une Sabrina avec sa petite jupe au ras du cul n’aurait jamais pu faire cela...




Mais bien sûr, en même temps que Géraldine me masturbait avec sa jupe, sa jupe lui caressait bien les parties intimes, ce qui l’excitait tout autant : pendant que je grognais fortement, elle gémissait. Elle commençait même à mouiller dans sa jupe ! Tantôt elle attrapait ma tête pour m’embrasser vigoureusement comme si elle voulait m’empêcher de grogner trop fort, tantôt elle gémissait de plaisir ! Et elle adorait ça !




J’essaie alors de lui enlever son gilet, de lui déboutonner son chemisier, mais elle résiste, comme si elle tenait à faire l’amour habillée... Tout ce que je réussis à faire, c’est lui sortir le chemisier de sa jupe.




Alors à défaut, je lui attrape les fesses et commence à la plauter pendant qu’elle m’embrasse, ce qui l’excite encore davantage.




Là, mes soupçons se confirment : je ne sens aucune culotte en la plautant, sa jupe touche directement ses fesses. J’attrape Géraldine à la raie des fesses et la tire vers moi : le doute n’est plus permis.




À force de me caresser la perche avec sa jupe, j’étais sur le point d’exploser. Je commence à lui dire tout en continuant à grogner : « Attends, attends ! Arrête deux secondes, je vais exploser ! »

Mais Géraldine tenait à prolonger son plaisir excitant : « RETIENS ! RETIENS ! RETIENS ! »

Moi : « JE VAIS EXPLOSER, JE TE DIS ! JE NE TIENS PLUS ! »

Géraldine, toujours à me supplier : « THOMAS ! THOMAS ! THOMAS ! »




Sauf que je ne tenais plus, je n’en pouvais plus, j’essayais de retenir ma semence, mais juste à ce moment, je visualise Géraldine en fille bien sage, bien prude, tout d’un coup dévergondée en mode nymphomane et là : tout part ! Dans le grognement général final : j’ai giclé comme il fallait, et surtout, comme auparavant jamais ! Et pas en une fois mais en plusieurs jets répétés de manière très rapprochée !




Géraldine pousse alors un grand cri : « OH NON ! MA PAROLE, C’EST PAS VRAI... »




Là, elle constate les dégâts ; j’en avais mis partout : dans sa jupe, dans son chemisier et même dans son gilet ! Sur sa jupe, on voyait une belle auréole qui était sans aucun doute toute la cyprine qu’elle a secrété en secret sous sa jupe après avoir gardé secret la nudité sous sa très longue jupe ! On voyait également une longue trace laissée par le sperme qui avait giclé tel une balle traçante ! Une partie du sperme a fini à l’intérieur de son chemisier, une autre partie était visible sur son côté extérieur, et tout le reste a terminé dans son gilet ! Heureusement que son gilet était deux tailles trop grand pour elle : il était suffisamment grand pour me couvrir des deux côtés tel deux murs, afin d’empêcher que le sperme aille taper les parois de la pièce ! Et le jet était tellement puissant, le sperme avait tapé tellement fort qu’une partie avait même passé les mailles du gilet pour se retrouver sur le côté extérieur...




Ah, que c’était bon ! Je n’avais encore jamais eu une expérience aussi excitante !​
 
jaurès-aymé
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Géraldine ne m’a même pas laissé le temps de réaliser ; elle s’est levée tout de suite et a marché très vite vers la cuisine comme si elle était en colère, comme une maman dont le fils a renversé son jus d’orange et qui court chercher du sopalin pour éponger le jus, c’est-à-dire, dans le cas présent : la semence !




J’étais donc là, seul, avec Angélique et Pascaline... Ah oui, je les avais oubliées, les deux autres nanas ! Bien évidemment, elles étaient présentes pendant toute la scène ; elles ont dû y assister avec tant d’excitation de se dire qu’enfin, ça y est : enfin Géraldine est décoincée, enfin elle est dévergondée, enfin elle a mis la main sur un mec, enfin elle est sur le point d’avoir sa première fois, surtout qu’en plus, j’avais adoré cela, et que quelle plaisir cela faisait à voir !




Pendant que Géraldine est à la cuisine, Angélique m’apporte une serviette et m’escorte vers la douche, tandis que Pascaline s’enquiert du peignoir pour ma sortie de douche.




En sortant de la douche, je n’étais pas le seul à être dans une tenue différente suite à la grande éjaculation ! J’étais donc en peignoir ; je m’étais bien douté que Géraldine irait également se changer, étant curieux de sa nouvelle tenue au passage, sauf qu’elle était absente ! Par contre, Angélique et Pascaline également avaient des tenues différentes.




Angélique portait une très longue et très ample jupe rose, exactement du même style que celle qu’avait Géraldine, sauf que la jupe d’Angélique avait un boutonnage sur le devant, et Angélique portait sa jupe entièrement déboutonnée... ou presque, elle n’avait boutonné que le strict nécessaire pour laisser apparaître ses jambes mais pas ses parties intimes. Et elle portait un chemisier bleu en tissu façon denim, déboutonné en décolleté.




Pascaline avait exactement la même jupe qu’Angélique, mais en gris, également déboutonnée au maximum, et elle portait un chemisier à larges rayures blanches et noires, également en décolleté. Par ailleurs, Pascaline avait les cheveux complètement détachés et bien lisses.




Elles étaient toutes les deux assises, jambes croisées et visibles du fait de leurs jupes ouvertes, tous les pans du tissu de leurs jupes touchant le sol, le haut de leurs poitrines étant également visible ; il n’etait pas bien difficile de deviner que tout comme Géraldine auparavant, elles étaient toutes nues sous leurs vêtements !




Et, surprise (!) : Angélique fumait une cigarette et m’invitait du regard à me rapprocher pour qu’elle me crache la fumée de sa cigarette au visage !




À ce moment, Pascaline se lève, me prend les mains et m’amène vers le sofa où elle m’invite à m’allonger sur le ventre. Elle prend ensuite une chaise et s’assied au niveau de ma tête. Angélique termine sa cigarette, s’approche du sofa et me retire le peignoir, me retrouvant ainsi à poil. Pascaline me prend les mains et commence à me les caresser, pendant qu’Angélique commence à m’enduir le corps d’huile chaude de noix de coco. Je ressens de nouveau des sensations similaires, toutefois pas identiques, à celles ressenties l’heure précédente, amenant ma perche à se durcir de nouveau...




Pascaline pose mes mains sur ses cuisses : c’était une invitation à lui caresser ses douces jambes. Alors je commence par ses pieds nus, et je sens qu’elle aime ça. Alors je continue. Au même moment, Angélique me massait légèrement les pieds également. Je continue à caresser les jambes de Pascaline, et je sens que l’excitation monte en elle tout doucement ; je m’étais bien dit que j’avais bien intérêt à lui caresser les jambes dans le même sens que son excitation : dans le sens montant !




Et là, autre surprise (!) : Pascaline sort une cigarette, l’allume et me crache la fumée de sa cigarette au visage ; ainsi, Pascaline fumait également. Elle avait une manière plutôt inhabituelle de tenir sa cigarette : elle la tenait par le filtre comme elle tiendrait un fume-cigarette de courte taille. Mais le moins que l’on pouvait dire, c’est que ce style lui convenait à merveille comme à perfection. Chaque fois qu’elle tirait sur sa cigarette, elle tenait celle-ci entre ses deux doigts de manière classique, mais avant de me recracher la fumée au visage, elle la reprenait au niveau du filtre comme un fume-cigarette court. Par ailleurs, elle avait une manière très particulière de souffler la fumée : quand elle soufflait, elle soufflait vraiment ! Avec un souffle bien bruyant, comme si elle soufflait dans une flûte traversière, lui donnant un côté bien dominante, telle une tigresse ! Contrairement à Géraldine et Angélique qui recrachaient la fumée de leurs cigarettes avec discrétion.




Sur le moment, je demeurais curieux de savoir à quoi elle pouvait bien ressembler quand elle fumait avec un fume-cigarette de longue taille comme celui d’Audrey Hepburn ; elle devait sûrement être très glamour !




Pendant que je lui caressais les jambes, Angélique me caressait les miennes de ses mains adoucies à l’huile chaude de noix de coco. Au moment où je remonte mes mains pour caresser les cuisses de Pascaline, Angélique remonte au niveau des miennes : c’est comme si Angélique me faisait sentir en temps réel ce que ressentait exactement Pascaline quand je la caresse ! Même chose quand j’atteignais les fesses de Pascaline que je commençais d’abord à caresser puis à tripoter, Angélique faisait exactement pareil !




Moi qui me demandais sans cesse ce que pouvaient ressentir les femmes en général quand on les caresse, quand on les plaute, quand on les embrasse et surtout, quand on les pénètre. Je me dis toujours que si je tombe sur la lampe d’Aladin, le premier voeu que je formule au génie de la lampe, c’est d’être dans la peau d’une femme pendant une durée limitée, juste pour voir ce que l’on ressent en tant que femme ; il semblait donc que ce soir, mon voeu soit en train d’être exaucé sans même avoir rencontré ce génie et sans même avoir eu besoin d’intégrer le corps d’une femme.




Lorsque Pascaline finit sa cigarette, elle écarte bien les jambes pour que je la pénètre de mes doigts : elle était déjà bien trempée. Alors je la pénètre de mes doigts, elle m’attrape fermement la tête et m’embrasse fortement. Comme il était impératif que je ressente plus ou moins ce que Pascaline ressentait, Angélique pénètre de ses doigts mon anus et commence à me faire un massage de la prostate !




Avec Pascaline excitée et moi de même en même temps, ce n’était tout simplement plus possible. Et aucun sofa n’est malheureusement conçu ergonomiquement parlant pour accommoder un mec allongé sur le ventre avec la perche tendue !




Alors Angélique et Pascaline commencent à m’essuyer l’huile de noix de coco à l’aide de serviettes mouillées et chaudes, avant de me retourner sur le dos.




Angélique reprend alors son massage de la prostate pendant que Pascaline me caresse la verge pour la maintenir bien dure ! J’étais tellement excité, je grognais tellement que Pascaline passait son temps à me dire de sa voix douce : « Relax. »




Il n’était apparemment pas question que je lâche la semence puisque Angélique s’est retirée à temps, laissant à Pascaline le soin de m’enfiler un préservatif. Laquelle des deux se porterait volontaire ? Aucune des deux ; Angélique et Pascaline se dirige vers la porte du salon qui était fermée, elles l’ouvrent et laissent apparaître Géraldine !​
 
jaurès-aymé
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Pendant tout ce temps, Géraldine aurait eu le temps de se métamorphoser, passant ainsi de la fille sérieuse un peu coincée du cul à Wonder Woman ; elle avait de ne le faire qu’au dernier moment, en direct devant moi : elle avait toujours ses grandes lunettes rondes, ainsi que sa coiffure en chignon claw clip bun retenu par une pince pélican, mais elle avait troqué sa très longue jupe parapluie sable que j’avais souillée pour la même très longue jupe parapluie de couleur blanche cette fois-ci, et elle portait un chemisier noir juste noué autour de la taille manquant de peu de laisser apparaître son nombril, mais ne manquant pas de laisser apparaître un décolleté bien plongeant !




C’était donc Géraldine qui se portait volontaire pour recevoir mon engin en son sein !




Bien sûr : je prends le temps de décrire la situation, mais cette situation avait lieu sur une durée très courte ; Géraldine devait faire vite avant que je ne débande...




Géraldine s’approche alors rapidement du sofa, soulève sa jupe pour ne pas marcher dessus au moment de monter sur le sofa, comme si elle allait me marcher dessus, puis s’agenouille sur moi. À ce moment, elle enlève ses lunettes ; rien que l’absence de lunettes lui donnait tout d’un coup l’apparence d’une dominante, surtout qu’elle me regardait farouchement, l’air de dire « Salopiaud ! Tu as profité de mon absence pour presque te taper Pascaline ! Tu vas me le payer ! »




À cette effet, elle retire la pince pélican qui retenait ses cheveux ; en l’espace de quelques fractions de secondes, elle était passée de fille sérieuse soumise dont rêvent tous les parents asiatiques, à fille dominante sexy. Elle appuie sa pince pélican entre mes deux yeux comme un matador prêt à achever le taureau. Puis elle appuie sa pince pélican sur ma bouche, comme pour me faire taire. Et alors : elle soulève sa très longue et très ample jupe et me recouvre entièrement le corps avec comme une cloche. Elle positionne alors ses parties intimes avec haute précision au niveau de ma verge, et sans même avoir besoin de la saisir, sans même que je n’ais besoin de m’occuper de quoi que ce soit, elle fait en sorte que je la pénètre. Et là, c’est le gros soupir d’excitation de sa part !




Elle dénoue alors son chemisier qu’elle déplace vers l’arrière pour faire découvrir ses épaules sans pour autant laisser apparaître ses seins entièrement. J’étais tout simplement excité par la vue. J’avais tout simplement envie de lui attraper les mains pour elle puisse me laisser voir ses seins, mais comme mes mains étaient prisonnières sous sa jupe, je lui attrape ses fesses. Elle avait les fesses et les jambes si douces...




Alors remplie d’excitation, Géraldine pose ses mains sur mes épaules et commence à m’embrasser. Puis elle fait des mouvements de va-et-vient et se met à gémir pendant que je me mets à grogner ! J’essayais de retenir la semence le plus longtemps possible, chose qui m’était impossible : par dessus les épaules de Géraldine, j’apercevais Angélique et Pascaline qui, elles aussi, commençaient à défaire leurs chemisiers et à découvrir leurs épaules tout en ne maintenant leurs seins que partiellement dévoilés. Rien qu’à la vue de ceci, j’ai lâché prise, toute la semence est partie sous un grand grognement ! Géraldine était en sueur.




Géraldine se relève puis recule pour s’aligner avec Angélique et Pascaline, formant ainsi un alignement de 3 nanas en jupe très longue et très ample avec un chemisier complètement déboutonné laissant apparaître seins et épaules.




À ce stade, il était plus qu’évident que j’étais tombé, non pas sur trois jeunes filles innocentes, mais sur une organisation bien huilée dont Géraldine n’était pas la plus coincée contrairement aux apparences, mais bel et bien la plus expérimentée et même la cheffe, le grade de la plus coincée du cul des trois revenant de facto à Pascaline...




Géraldine se retourne alors vers la salle de bain, son chemisier étant porté comme les femmes andalouses porteraient leurs châles, faisant danser ses cheveux, me signifiant ainsi de la suivre, puisque bien évidemment, je devais également me doucher.




Suite à la douche chaude, mais pas autant que Géraldine l’heure d’avant, Géraldine était trempée encore davantage qu’avant l’acte : cette fois, au niveau des cheveux ! Ben quoi, vous avez cru qu’elle serait abondamment mouillée ailleurs ? J’enfile une serviette tandis que Géraldine enfile un linge de nuit. Et quel linge de nuit ! Une sorte de kimono, ou une robe de chambre en léger et fin tissu satiné touchant presque le sol comme ses jupes, et bien évidemment, la partie basse aussi large et ample que ses jupes, constituée de trois cercles, tandis que la partie haute était pile poil ajustée à son joli corps. Sa robe de chambre était fermée par la simple et classique ceinture assortie.




Nous retournons dans le salon, Géraldine m’allonge de nouveau sur le sofa sur le dos, puis se couche sur mon buste. Pendant que nous étions sous la douche, Angélique et Pascaline avaient positionné un ventilateur. Géraldine met alors en marche le ventilateur et repose de nouveau sa tête sur mon buste, permettant ainsi à ses cheveux de voler tout en séchant. Je lui passe ma main en forme de peigne dans ses cheveux pour lui masser la tête et empêcher que ses cheveux ne s’emmêlent de nouveau ; je sens qu’elle adore ça...




Elle me défait alors la serviette, dénoue sa robe de chambre et l’ouvre de manière à me couvrir en même temps, le léger et doux tissu satinée de sa robe me caressant une dernière fois la verge avant que nous nous endormions ; nous ne saurions qu’au petit matin si nous aurions un dernier acte...​
 
jaurès-aymé
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C’est Géraldine qui se réveille la première, elle commence à m’embrasser alors que je suis encore dans mon sommeil, et continue de m’embrasser jusqu’à ce que j’en émerge. Alors elle se lève du sofa, le doux et léger tissu de sa robe de nuit me caressant de nouveau le corps, une très agréable et surtout très excitante sensation dont je m’empresse de profiter ! De nouveau, je me demande ce que peuvent bien ressentir les femmes quand elles portent ce genre d’habit au toucher si excitant...




Cette fois-ci, elle ira à la douche sans moi ; j’irai après elle...




Quand je suis sorti de la douche, Angélique et Géraldine étaient à la cuisine, Pascaline n’était pas encore là. Géraldine avait de nouveau retrouvé son style de fille sérieuse dont rêvent tous les parents asiatiques : sa coiffure en chignon claw clip bun retenu par une pince pélican, ses grandes lunettes rondes ; elle portait cette fois-ci une jupe très longue et très longue marron du même style que toutes les autres jupes que j’avais aperçues la veille, cette fois-ci avec un boutonnage tout du long sur le devant, comme Pascaline et Angélique la veille, et qu’elle portait également déboutonnée ! Elle avait un chemisier beige déboutonné en décolleté et par-dessus, un gilet non boutonné également beige, de même type que le gilet bordeaux trop grand qu’elle avait la veille et que j’avais taché de ma blanche semence. Elle était assise, les jambes croisées et bien évidemment découvertes, tous les pans de sa jupe touchant le sol. Je glisse mes mains sous sa jupe, je lui attrape les fesses et je l’embrasse, pendant qu’elle m’attrape fermement la tête.




Puis elle se lève pour préparer le café.




Angélique, qui se tenait debout, portait quant à elle un chemisier blanc entièrement boutonné jusqu’au col, lequel était un altissimo, autour du col était noué en cravate un foulard rouge ; elle ressemblait à une hôtesse de l’air, sauf qu’au lieu de la classique jupe droite, elle avait également une jupe très longue et très ample, formée également de trois cercles, formant donc 1080 degrés, sans boutonnage sur le devant, exactement comme la jupe sable et la jupe blanche que Géraldine portait la veille, sauf que la jupe d’Angélique était noire ! Cet ensemble lui donnait une de ces statures !




Entre alors Pascaline dans la cuisine. Et que portait-elle ? Une robe grise très longue arrivant également presque au sol, dont la très ample partie basse consistait également en une jupe de 1080 degrés, tandis que la partie haute était ajustée à son corps. Exactement comme la robe de nuit portée par Géraldine pendant la nuit. Sauf que la robe de Pascaline comportait un boutonnage tout le long de sa robe sur le devant, comme la longue jupe qu’elle portait la veille. Bien évidemment, la partie basse de sa robe n’était boutonnée que sur la longueur strictement nécessaire, c’est-à-dire que ses jambes apparaissaient quand elle marchait, et la partie haute était déboutonnée pour laisser apparaître un joli décolleté. Ses cheveux étaient complètement détachés. Ce matin, c’était donc à Pascaline que revenait le titre de fille la plus sexy, alors que suite à l’acte avec Géraldine, elle était reléguée au rang de la plus coincée du cul des trois...




Ce n’était pas encore fini ; Pascaline déboutonne encore les quelques boutons qui étaient boutonnées, ouvrant ainsi entièrement sa robe. Elle fait alors ce geste si glamour qui déplace sa robe vers l’arrière, comme les trois nanas avaient fait la veille au soir avec leurs chemisiers, découvre ses épaules, la robe trainant ainsi par terre !




Elle se dirige vers moi pour me faire la bise, fait de même avec Géraldine. Mais alors quand elle s’est dirigée vers Angélique, c’était encore plus beau à voir : Pascaline souriait à Angélique comme elle souriait à un mec dont elle chercherait à être séduite ; à ce moment-là, les yeux d’Angélique se mettent à briller comme brilleraient les yeux de n’importe quel mec ! Pascaline se dirigeait vers Angélique d’une manière tellement sensuelle, et les yeux d’Angélique continuaient de briller de plus belle, que j’ai bien cru qu’elles allaient se rouler une pelle comme deux lesbiennes.




Et en effet : précisément à ce moment, Pascaline prend la tête d’Angélique avec beaucoup de tendresse et de douceur ; Angélique attrape Pascaline par la taille en glissant ses mains sans sa robe, faisant acroire à quiconque qu’elle irait même lui caresser le corps sans oublier les fesses ! Pascaline approche alors ses lèvres, Angélique approche les siennes. Et à ce moment-là, elles se font... juste la bise...




Pendant toute la scène, Géraldine m’avait tenu la main en me la caressant comme elle me l’avait fait la veille pendant le repas... On a pris le café comme on avait diné la veille...




Jusqu’à ce jour, je n’aurais jamais imaginé à quel point des nanas pouvaient être davantage sexy en jupes très longues et très amples plutôt qu’avec la jupe au ras du cul !




Depuis ce jour, je n’ai plus eu une préférence que pour les filles en jupes très longues et très amples !




C’était maintenant l’heure de partir. Je devais retourner travailler, mais auparavant me changer puisque j’avais les mêmes vêtements que la veille, sauf le caleçon que je ne pouvais plus mettre avant de l’avoir lavé ; j’étais donc à poil sous mon froc... Les filles devaient aller à la fac ; il nous fallait nous rendre chez l’ami de Géraldine pour que ce dernier nous ramène en ville.




Angélique et Pascaline marchaient devant Géraldine et moi ; Pascaline avait toujours sa robe défaite, trainant par terre, les épaules découvertes. Le village devait être mort à cette heure-ci pour que Pascaline se permette de se balader ainsi.




Pendant que Géraldine marchait, on voyait ses jambes apparaître par moments hors de sa jupe puisqu’elle était déboutonnée sur le devant. Il me prend alors l’envie de passer ma main sous sa jupe. Alors je me penche, glisse ma main sous l’arrière de sa jupe et lui attrape les fesses. Sa jupe était tellement large et ample que même vu de derrière, on ne voyait ni ses fesses, ni le fait que j’avais ma main glissée sous sa jupe. Je marche donc aux côtés de Géraldine en lui caressant les fesses ; Géraldine devient toute rouge d’excitation, passe un bras autour de ma taille et glisse son autre main dans mon pantalon : nous marchions donc, non pas main dans la main ni bras dessus bras dessous, mais main aux fesses main sur la verge et deux visages bien rouges d’excitation avec Angélique et Pascaline faisant écran devant nous.




Peu avant d’arriver chez l’ami de Géraldine, Pascaline recouvre ses épaules et reboutonne sa robe au strict nécessaire, juste de quoi cacher ses parties intimes et un peu ses seins ; Géraldine retire sa main de mon pantalon et attrape mon bras dont la main lui caressait les fesses en marchant pour signifier de retirer celle-ci de dessous sa jupe !​
 
jaurès-aymé
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Là, il n’y avait pas un, mes trois gars qui nous attendaient, trois gars bien baraqués ! Et comme j’allais le constater, l’un des trois n’était pas que l’ami de Géraldine, mais bel et bien son petit copain ! Les deux autres étaient tout simplement les deux mecs respectifs de Pascaline et Angélique. Le mec de Pascaline la saisit d’ailleurs par la taille, la plaque contre un mur et commence à l’embrasser vigoureusement. Pascaline, toute excitée adorait cela. Son mec l’attrape alors par les fesses, la plaute tout en continuant de la maintenir plaquée contre le mur et de l’embrasser avec force et vigueur. Pascaline ne tenait plus, elle était tellement excitée que ses cheveux se rabattaient vers l’avant, et elle se démenait pour ramener ses cheveux d’un côté, puis de l’autre. Puis elle sort une cigarette, l’allume et lui envoie la fumée au visage, tout en soufflant longuement et avec grand bruit, ce qui rendait son mec encore plus excité qu’il ne l’était déjà. D’ailleurs, à la vue de la scène, moi aussi j’étais excité...




Au même moment, Angélique était assise sur les genoux de son mec, jambes croisées mais pas visibles vu qu’elles étaient couvertes par sa très longue et très large jupe noire, laquelle n’avait pas de boutonnage ! Elle avait déjà sorti et allumé une cigarette, et en attrapant le visage de son mec avec douceur et tendresse, elle lui recracha la fumée de sa cigarette au visage. Bien sûr, son mec, tout sourire, était heureux ! Il avait la même envie que moi à l’instant : glisser la main sous la jupe d’Angélique ! Ce qu’il s’empresse de faire : alors qu’il serrait Angélique d’un bras ferme, il se penche pour glisser son autre main sous sa jupe ; avec tout le tissu qui composait la jupe d’Angélique, il devait d’une seule main écarter tout le tissu et trouver l’entrée sous sa jupe pour lui caresser les jambes, ce qui ne manquait pas d’exciter Angélique. Après avoir trouver où glisser sa main, il lui caresse les jambes et remonte tout doucement vers ses fesses !




Toute excitée qu’était Angélique, comme par réflexe, Angélique pose sa main sur sa jupe, là où se trouvait la main de son mec, comme pour le stopper, ou le freiner : elle était tellement rouge d’excitation qu’elle devait être sur le point de mouiller sa jupe ! Ce qui n’avait pas l’air de gêner son mec ; c’est bien pour cela que ce dernier continuait de parcourir les jambes d’Angélique avec sa main pour atteindre ses fesses et les caresser, puis les tripoter afin de finir de bien la chauffer !




Angélique avait déjà mouillé sa jupe, la cyprine dégoulinant déjà, ayant déjà traversé sa jupe, allant même jusqu’à tacher le pantalon du mec, laissant apparaître sur son visage une légère gêne alors que son mec, bien au contraire, était ravi ! À sa place, je l’aurais été aussi...




Géraldine aussi était en train de fumer, mais de manière classique, se contentant avec son mec de se tenir la main ; moi, je tenais trois chandelles, quelque peu dégoûté qu’elle ait un mec, et aussi un peu étonné que ces trois mecs acceptaient que leurs nanas puissent se faire caresser, embrasser voire même sauter par d’autres gars sans que cela ne les empêche de dormir la nuit... Je continue à la regarder fumer car elle avait une posture intéressante : elle était assise les jambes croisées et visibles du fait de sa très longue et très ample jupe déboutonnée, elle tenait la main de son mec et la coinçait entre ses deux jambes croisées ; son mec devait utiliser ses quelques doigts libres pour lui plauter les jambes, ce qui excitait également Géraldine, l’amenant également à mouiller sa jupe !




Par ailleurs, contrairement à la veille, et à l’instar de Pascaline, Géraldine soufflait cette fois-ci la fumée de sa cigarette avec grand bruit, comme si elle soufflait dans une flûte traversière, lui donnant ce même côté dominante qu’à Pascaline la veille, telle non pas une tigresse cette fois-ci, mais en tant que jeune fille asiatique : un dragon !




Je sors prendre un peu l’air... Peu après, Géraldine sort, me prend par le bras et m’invite à rentrer chez son mec. Elle me fait assoir dans la pièce principale à côté d’elle, Pascaline était assise en face de moi. Derrière Pascaline, les trois malabars se tenaient debout. Alors Angélique apparaît avec un étui, le même que celui que les serveurs vous amènent au restaurant quand c’est le moment de régler l’addition !




Et ce qu’Angélique m’amenait comportait ce que Pascaline, la comptable du trio, avait concocté pour moi avec brio !




Snack / repas du soir --- € 15,-

Verre de vin --- € 5,-

Géraldine, main tenue pendant le repas --- € 15,-

Géraldine, fumée de cigarette au visage --- € 15,-

+ Cigarette --- € 5,-

Combo caresse du pénis par la main / caresse par la langue / masturbation par la jupe --- € 55,-

Frais de lavage de chemisier souillé --- € 5,-

Frais de lavage de gilet souillé --- € 15,-

Frais de lavage de jupe souillée --- € 25,-

Douche Géraldine --- € 15,-

Douche Thomas --- € 5,-

Angélique, fumée de cigarette au visage --- € 15,-

+ Cigarette --- € 5,-

Massage huile de noix de coco + prostate --- € 335,-

Pascaline, fumée de cigarette au visage --- € 15,-

+ Cigarette --- € 5,-

Pascaline, pénétration vaginale digitale --- € 55,-

Frais de lavage de jupe souillée --- € 25,-

Préservatif --- € 5,-

Géraldine, métamorphose en Wonder Woman + scène avec la pince pélican --- € 15,-

Géraldine, acte sexuel --- € 555,-

Frais de lavage de chemisier trempé --- € 5,-

Frais de lavage de jupe trempée --- € 25,-

Douche en duo avec Géraldine --- € 55,-

Géraldine, séchage de cheveux + massage de la tête --- € 15,-

Nuitée --- € 125,-

Géraldine, baiser au réveil --- € 5,-

Pascaline, spectacle de la robe découvrant les épaules --- € 15,-

Pascaline & Angélique, spectacle du faux baiser lesbien --- € 15,-

Petit-déjeuner --- € 15,-

Pascaline, spectacle de la robe découvrant les épaules pendant la marche --- € 15,-

Marche avec main sous la jupe de Géraldine --- € 15,-

Géraldine, marche avec main sur la verge --- € 25,-

Pascaline, spectacle baiser avec son mec --- € 55,-

+ Cigarette --- € 5,-

Angélique, spectacle fumée de cigarette au visage de son mec --- € 25,-

+ Cigarette --- € 5,-

+ Frais de lavage de jupe souillée --- € 25,-

+ Frais de lavage de pantalon taché --- € 15,-

Géraldine, spectacle cigarette --- € 15,-

+ Cigarette --- € 5,-

+ Frais de lavage de jupe souillée --- € 25,-

Retour en ville --- € 55,-

Arrêt supplémentaire au distributeur de billet --- € 15,-

Spectacle final mains sur les seins pendant la marche + main sous la jupe / robe x3 --- € 375

+ Pascaline, spectacle de la robe découvrant les épaules pendant la marche --- € 55,-

+ Frais de lavage de robe souillée --- € 55,-

+ Cigarette x6 --- € 30,-




TOTAL NET À PAYER : € 2295,-




Là, j’étais sur le cul, à tel point que Géraldine me dit, toujours avec son accent mondain : « Ne faites donc pas cette tête mon cher Monsieur ! Vous aurez d’autres opportunités d’avoir le plaisir de notre compagnie ! »




La compagnie que j’avais le plaisir d’avoir à cet instant précis, c’était celle des trois malabars, dont la présence m’indiquait clairement que je n’avais pas intérêt à discuter les prix... Évidemment, les trois nanas n’acceptaient ni les cartes, ni les chèques. Et je n’avais pas suffisamment de liquide sur moi, ce à quoi Géraldine me rétorque, toujours de son accent mondain : « Ce n’est pas un souci Monsieur ! Nous pouvons vous conduire à un distributeur automatique ! Comme vous pouvez le voir, nous l’avons déjà inclus dans les services que nous vous facturons ! »




À ce stade, j’espérais que les trois dernières lignes facturées seraient incluses dans les services encore à fournir...​
 
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jaurès-aymé
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Nous nous dirigeons vers la voiture : un minivan ; le mec de Géraldine est au volant, Géraldine sur le siège passager, Angélique et Pascaline sur la deuxième rangée, et moi sur la dernière, coincé entre les deux autres malabars !




À peine démarré, Géraldine demande à son mec, toujours de son accent mondain, de s’arrêter : « J’ai coincé ma jupe dans la portière ! »




Le mec de Géraldine parque la voiture plutôt loin du distributeur, ce qui, sur le coup, me surprend. Ah mais oui : il y avait encore le dernier spectacle que Pascaline m’avait facturé mais dont je n’avais pas encore bénéficié !




Au sortir du minivan, Pascaline redéboutonne sa robe, redécouvre ses épaules, sort une cigarette de son sac et l’allume. Son mec l’attrape alors par derrière, passe ses bras autour de sa taille, puis remonte ses mains tout en lui caressant le ventre pour atteindre les seins ! Pascaline tente de résister en maintenant sa robe croisée pour ne pas dévoiler sa poitrine. Mais comme son mec lui caressait de sa bouche le visage, le cou, les épaules tout en tentant de l’embrasser, face à tant d’excitation, Pascaline n’a pu résister et a baissé les armes, permettant ainsi à son mec de lui attraper les seins et de commencer à les tripoter ! Elle avait beau essayer de résister en lui crachant la fumée de sa cigarette au visage, mais rien n’y faisait. C’était même contre-productif puisque cela excitait son mec encore davantage. Son mec se met alors à bien la serrer pour bien lui tripoter les seins, la caresser de sa bouche et l’embrasser sans que Pascaline ne puisse se débattre du moindre centimètre. Elle avait entre temps attrapé son mec en lui enroulant un bras autour du cou, pendant que l’autre tenait toujours sa cigarette. Elle en était tellement excitée qu’elle avait elle aussi finit par lâcher la cyprine dans sa robe ! Bien évidemment, j’ai assisté à la scène tout aussi excité...




Angélique et Géraldine avait également allumé une cigarette et leurs mecs les avaient également attrapées par l’arrière à la taille.




Nous nous mettons en marche vers le distributeur de billets ; les mecs de Géraldine et d’Angélique marchaient derrière elles, ils avaient entre temps posé leurs mains sur leurs seins et commencé à les tripoter. Pendant qu’ils marchaient, ils tripotaient leurs seins, les embrassaient et leur caressaient le cou de leurs bouches, tandis que les deux nanas avaient également un bras autour de leurs cous, l’autre main tenant la cigarette ; alternativement, elles les embrassaient et elles leur soufflaient la fumée de leurs cigarettes au visage.




Pascaline et son mec faisaient pareil, sauf que comme la robe de Pascaline trainait par terre, son mec ne marchait pas derrière mais à côté.




Les cigarettes terminées, on arrive au distributeur. Et là changement de posture : les nanas ont décidé que pendant que je retire le liquide, elles n’auront plus le sourire, mais au contraire un regard farouchement méchant à mon égard.




Afin d’adopter des postures de dominatrices, leurs mecs retirent leurs mains des seins. Mais pour maintenir l’excitation, chaque mec s’est mis à glisser une main sous l’arrière de la jupe ou de la robe de chaque nana, comme je l’avais fait avec Géraldine le matin même.




Les trois nanas allument chacune une nouvelle cigarette.




On devinait que chaque mec caressait et tripotait les fesses de leurs nanas, et que ces dernières devaient ressentir une énorme excitation tout en devant maintenir leurs regards farouchement méchants envers moi. Ce qui achevait de m’exciter ; c’était d’autant plus excitant avec Pascaline car elle avait toujours sa robe entièrement déboutonnée mais qu’elle maintenait croisée pour ne pas dévoiler ses seins, ne laissant que les épaules découvertes, son mec qui lui tripotait les fesses avec sa main sous sa très longue et très ample robe, et Pascaline qui soufflait bien longuement la fumée de sa cigarette avec son bruit caractéristique !




Une fois le liquide retiré et la somme remise à Angélique, les trois duos repartent à la voiture me laissant en plan avec juste de quoi payer le ticket de bus. Je les vois repartir, toujours avec leurs mecs ayant la main sous leurs jupes ou robe en train de leur caresser les fesses tout en marchant.




La vue de la scène restait tout autant excitante : du fait de la très grande longueur et de la très grande ampleur des jupes, il était presque impossible de voir que leurs mecs y avaient glissé leurs mains et étaient en train de les plauter en marchant ; les trois nanas pourraient marcher ainsi au milieu de la foule, personne ne se rendrait compte de rien !




Par ailleurs, voir Géraldine fumer de dos était tout aussi excitant : un bras tenant son mec par la taille, l’autre bras dont la main tenait la cigarette servant de balancier en marchant, pendant que son mec lui caressait les fesses sous sa jupe. Géraldine marchait la tête légèrement baissée, regardant le sol ; elle tire sur sa cigarette, puis lève la tête vers le ciel pour longuement souffler la fumée de sa cigarette en l’air, en soufflant avec grand bruit comme le fait Pascaline. Je les regarde rejoindre la voiture, je les regarde finir leurs cigarettes, Géraldine ayant toujours son côté glamour quand elle fume, même quand la cigarette atteint le mégot, même quand elle écrase sa cigarette, que le mégot disparait sous sa très longue et très ample jupe, et qu’il n’est de nouveau dévoilé complètement aplati que quand Géraldine monte dans la voiture et soulève légèrement sa jupe pour le pas la coincer en fermant la portière...




J’ai longtemps repensé à cette soirée. Certes, au fait que je me sois fait autant enfumer ! Mais d’un autre côté : quels plaisirs j’ai eu ! Quel concert d’excitations j’ai eu droit ! Je n’avais ressenti autant d’excitations ni autant d’émotions.




Et puis c’est bien connu : ce qui est rare est cher ! Vous en connaissez beaucoup des filles qui sachent faire tout ça ? Déjà, rien que le style vestimentaire des nanas est archi-rare ; si vous connaissez des filles qui adorent être en jupes ou en robes très longues qui arrivent juste à ras du sol et qui forment un cercle de 1080°, et qui sont sans rien en-dessous, je veux bien que vous me les présentiez !




Et puis quand à Géraldine, j’y ai resongé : sur le coup, j’avais été déçu qu’elle ait un mec, mais réflexion faite, j’ai fini par me dire que ce n’était pas son mec, pas plus que les deux autres malabars n’étaient les mecs d’Angélique et Pascaline ; c’étaient juste trois mecs que les trois nanas utilisaient uniquement pour empêcher que leurs clients ne se barrent sans payer ! Et s’ils acceptaient ce rôle, c’était parce qu’ils espéraient...




Moi aussi, j’espérais gagner Géraldine pour moi ; en d’autres termes, s’il fallait de nouveau lâcher de gros billets pour passer la soirée avec elle, j’étais prêt à le faire. Quitte à le faire plusieurs fois avant de la gagner définitivement.




Trois mois plus tard, après avoir travaillé dur et mis l’argent qu’il fallait de côté, je recontacte Géraldine dont j’avais pu avoir le numéro : « Le numéro que vous avez demandé n’est plus attribué ! »




Je loue une bagnole, je me rends directement au village : la maison avait été abandonnée et était à louer... J’essaie de trouver des gens dans le village et de leur tirer les vers du nez ; personne ne sait de qui je parle, personne ne semblait avoir jamais remarqué leurs présences dans le village ! Pourtant, des nanas en jupes très longues et très amples, cela ne passe pas inaperçu, bordel !




Je n’avais plus aucun moyen de contacter Géraldine. D’ailleurs, Géraldine, Pascaline, cela se trouve, ce n’étaient même pas leurs vrais prénoms. Étonnant qu’elles n’aient pas utilisé Sabine et Angéline à la place de Sabrina et Angélique...




Il ne me restait qu’une seule solution : retourner sur ce fameux site, retrouver cette Sabrina... Il n’y avait plus de Sabrina... Alors je me suis mis à chercher des profils de type attrape-pigeon ! Des profils qui me sembleraient « fake », dans l’espoir que derrière un profil « fake », ce soit en réalité Géraldine, Angélique et Pascaline...




J’ai fait plusieurs profils comme cela, mais en me rendant sur place, c’était à chaque fois la déception d’être tombé sur le profil réel. Y compris des filles avec la jupe au ras du cul ! Et qui n’ont jamais pu me donner le plaisir et l’excitation que j’avais eues ce soir-là ; à chaque fois la nana se dit « mais qu’est-ce qu’il lui faut à ce con ?? »




J’ai essayé de retrouver Géraldine via plusieurs nanas comme ça, mais à ce stade, c’est du désespoir...


(FIN DU RÉCIT)​