C’est un matin classique où mon horloge biologique me dit que c’est l’heure du lever. J’ai travaillé toutes ces années, seul, dans le seul but de ne plus avoir de réveil pour le réveil et de savoir organiser mes journées comme bon me semble.
Toutes ces années sans femme à mes côtés ; la dernière relation qui aurait dû mener au mariage s’était brutalement terminée par le refus clair, net, catégorique et sans appel des ex-futurs beau-parents...
Cause invoquée ? Aucune importance ! Néanmoins : motif suffisant pour ne pas chercher une autre femme et consacrer plutôt toute mon énergie à développer le projet de business que j’avais dans les cartons.
Tout comme tout projet de business qui n’a en moyenne qu’une chance sur cent de réussir, le mien n’a pas abouti ; du moins, pas tel qu’il avait été pensé au départ, car de nombreuses bifurcations ont dû être empruntées.
Toutefois, le travail et les efforts ont fini par porter des fruits : je suis indépendant, libre hiérarchiquement parlant, libre géographiquement parlant, libre temporellement parlant ; plus besoin de stupide manager à supporter, plus de trou à merde où s’emmerder, plus de réveil pour me saouler !
Ces libertés, c’est déjà cela de gagné ! Sept années à travailler à cet effet.
Pendant tout ce temps, la seule présence féminine n’a été que mon ex venue visiter mon profil LinkedIn deux ans après notre rupture. Par curiosité, je vais visiter le sien, je constate ce qu’elle est devenue et lui envoie un message pour la féliciter ; elle me répond pour me remercier. Puis elle cherche à se rassurer : « Nous sommes toujours très bons amis, n’est-ce pas ? » ; je lui réponds que je ne lui en veux aucunement, si c’est cela qu’elle cherche à savoir. Elle me répond ceci : « J’aimerais que tu saches que tu me manques toujours ! ». Par la suite, nous avons échangé ; j’ai cherché à savoir si elle avait trouvé un autre mec, et si je pouvais enfin arrêter de lui manquer, chose enfin faite cinq années après notre rupture.
Voilà pour la seule présence féminine pendant ces sept années à bosser ; pour le reste : la main droite et l’imagination poussée à son extrême.
Maintenant, l’argent commence à rentrer, je le réinvestis dans mon entreprise comme il se doit. J’investis dans du matériel, j’embauche du personnel que je forme : des gars, mais également des filles que je m’interdis de toucher. No zob in job, la main droite demeure opérationnelle...
Maintenant, l’argent qui reste après avoir réinvesti dans mon entreprise commence à augmenter ; je peux lever un peu le pied, pas de l’accélérateur de la voiture que je n’ai pas,... je peux lever un peu le nez et me faire plaisir... Ma main droite a aussi mérité de se reposer...
C’est donc un matin classique ; pendant que je descends mon café, j’imagine ma journée et ma soirée qui le seraient également. La journée a bien été classique, avoir des couilles comme j’ai montré en avoir pendant toutes ces années a payé, il faut maintenant les vider !
Allez ! Un petit tour sur un petit site s’impose ! Qu’avons-nous de beau ? Ouh, cela fait bien longtemps que je n’avais pas fait un tour sur ce genre de site ; en fait, je crois que je n’y suis jamais allé. Et après toutes ses années le nez dans le guidon, j’ai fini par ne plus même savoir ce que je voulais !
Je savais davantage ce que je ne voulais pas : la sempiternelle petite écolière ; je n’ai jamais été fan de cela, je ne fais pas dans la pédophilie... La dominante en latex ? Très peu pour moi, je ne suis pas du tout maso ! La prof vieille école avec une cravache ? Mon pire cauchemar ? Même pas en rêve...
Alors entre la petite écolière bien soumise et la dominante en latex, je cherchais le juste milieu ; à force de chercher, je tombe sur le profil de Sabrina, une fille bien blonde aux yeux bleus. Elle a un petit chemisier bleu ciel bien sympa, bien assorti à ses yeux et surtout : la petite jupe au ras du cul !
L’expression « la petite jupe au ras du cul ! », je l’ai piquée à une jeune Youtubeuse niçoise qui vit au Canada et qui a appris à parler avec l’accent québécois : une très belle jeune fille avec une pointe de grossièreté dans son langage qui n’est pas dégueulasse. Et l’entendre parler des filles en soirées « avec la petite jupe au ras du cul » avec son accent québécois et le langage corporel qu’elle a utilisé à ce moment précis, cela m’a bien émoustillé !
Rien que d’écrire ceci me tend la perche !
Sur certaines photos, Sabrina portait un blazer façon tailleur-jupe avec chignon banane et grosses lunettes à grosses montures, comme les femmes cadres dans les grandes entreprises : tout ce que je déteste ! Les grandes entreprises, hein, pas les femmes cadres... Sur d’autres photos, elle avait juste la jupe et le chemisier sorti de la jupe, déboutonnée en décolleté, les cheveux détachés et sans lunettes.
Une photo attire mon attention : celle où elle apparait en décolleté et tenant une cigarette de la main gauche. Je la contacte, je lui demande si la cigarette, c’est pour de vrai ou bien si c’est juste pour le style ; elle me répond qu’elle fume réellement et me demande si cela me pose un problème ! Je lui réponds qu’au contraire, j’ai un fétichisme des femmes qui fument et aussi des femmes gauchères !
Elle me dit qu’elle peut me préparer un numéro spécialement pour moi, nous câlons un rendez-vous et elle me file ses coordonnées. Je constate qu’il n’y a pas de bus pour aller chez Sabrina ; il me fallait donc prendre un taxi.
Toutes ces années sans femme à mes côtés ; la dernière relation qui aurait dû mener au mariage s’était brutalement terminée par le refus clair, net, catégorique et sans appel des ex-futurs beau-parents...
Cause invoquée ? Aucune importance ! Néanmoins : motif suffisant pour ne pas chercher une autre femme et consacrer plutôt toute mon énergie à développer le projet de business que j’avais dans les cartons.
Tout comme tout projet de business qui n’a en moyenne qu’une chance sur cent de réussir, le mien n’a pas abouti ; du moins, pas tel qu’il avait été pensé au départ, car de nombreuses bifurcations ont dû être empruntées.
Toutefois, le travail et les efforts ont fini par porter des fruits : je suis indépendant, libre hiérarchiquement parlant, libre géographiquement parlant, libre temporellement parlant ; plus besoin de stupide manager à supporter, plus de trou à merde où s’emmerder, plus de réveil pour me saouler !
Ces libertés, c’est déjà cela de gagné ! Sept années à travailler à cet effet.
Pendant tout ce temps, la seule présence féminine n’a été que mon ex venue visiter mon profil LinkedIn deux ans après notre rupture. Par curiosité, je vais visiter le sien, je constate ce qu’elle est devenue et lui envoie un message pour la féliciter ; elle me répond pour me remercier. Puis elle cherche à se rassurer : « Nous sommes toujours très bons amis, n’est-ce pas ? » ; je lui réponds que je ne lui en veux aucunement, si c’est cela qu’elle cherche à savoir. Elle me répond ceci : « J’aimerais que tu saches que tu me manques toujours ! ». Par la suite, nous avons échangé ; j’ai cherché à savoir si elle avait trouvé un autre mec, et si je pouvais enfin arrêter de lui manquer, chose enfin faite cinq années après notre rupture.
Voilà pour la seule présence féminine pendant ces sept années à bosser ; pour le reste : la main droite et l’imagination poussée à son extrême.
Maintenant, l’argent commence à rentrer, je le réinvestis dans mon entreprise comme il se doit. J’investis dans du matériel, j’embauche du personnel que je forme : des gars, mais également des filles que je m’interdis de toucher. No zob in job, la main droite demeure opérationnelle...
Maintenant, l’argent qui reste après avoir réinvesti dans mon entreprise commence à augmenter ; je peux lever un peu le pied, pas de l’accélérateur de la voiture que je n’ai pas,... je peux lever un peu le nez et me faire plaisir... Ma main droite a aussi mérité de se reposer...
C’est donc un matin classique ; pendant que je descends mon café, j’imagine ma journée et ma soirée qui le seraient également. La journée a bien été classique, avoir des couilles comme j’ai montré en avoir pendant toutes ces années a payé, il faut maintenant les vider !
Allez ! Un petit tour sur un petit site s’impose ! Qu’avons-nous de beau ? Ouh, cela fait bien longtemps que je n’avais pas fait un tour sur ce genre de site ; en fait, je crois que je n’y suis jamais allé. Et après toutes ses années le nez dans le guidon, j’ai fini par ne plus même savoir ce que je voulais !
Je savais davantage ce que je ne voulais pas : la sempiternelle petite écolière ; je n’ai jamais été fan de cela, je ne fais pas dans la pédophilie... La dominante en latex ? Très peu pour moi, je ne suis pas du tout maso ! La prof vieille école avec une cravache ? Mon pire cauchemar ? Même pas en rêve...
Alors entre la petite écolière bien soumise et la dominante en latex, je cherchais le juste milieu ; à force de chercher, je tombe sur le profil de Sabrina, une fille bien blonde aux yeux bleus. Elle a un petit chemisier bleu ciel bien sympa, bien assorti à ses yeux et surtout : la petite jupe au ras du cul !
L’expression « la petite jupe au ras du cul ! », je l’ai piquée à une jeune Youtubeuse niçoise qui vit au Canada et qui a appris à parler avec l’accent québécois : une très belle jeune fille avec une pointe de grossièreté dans son langage qui n’est pas dégueulasse. Et l’entendre parler des filles en soirées « avec la petite jupe au ras du cul » avec son accent québécois et le langage corporel qu’elle a utilisé à ce moment précis, cela m’a bien émoustillé !
Rien que d’écrire ceci me tend la perche !
Sur certaines photos, Sabrina portait un blazer façon tailleur-jupe avec chignon banane et grosses lunettes à grosses montures, comme les femmes cadres dans les grandes entreprises : tout ce que je déteste ! Les grandes entreprises, hein, pas les femmes cadres... Sur d’autres photos, elle avait juste la jupe et le chemisier sorti de la jupe, déboutonnée en décolleté, les cheveux détachés et sans lunettes.
Une photo attire mon attention : celle où elle apparait en décolleté et tenant une cigarette de la main gauche. Je la contacte, je lui demande si la cigarette, c’est pour de vrai ou bien si c’est juste pour le style ; elle me répond qu’elle fume réellement et me demande si cela me pose un problème ! Je lui réponds qu’au contraire, j’ai un fétichisme des femmes qui fument et aussi des femmes gauchères !
Elle me dit qu’elle peut me préparer un numéro spécialement pour moi, nous câlons un rendez-vous et elle me file ses coordonnées. Je constate qu’il n’y a pas de bus pour aller chez Sabrina ; il me fallait donc prendre un taxi.