Céline

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Le soleil filtre doucement à travers les rideaux de la chambre d'hôtel, projetant une lueur dorée sur les draps froissés. Je m'éveille lentement, mon corps encore lourd de la nuit passionnée passée avec Céline. L'air est chargé d'un parfum frais, mélange de gel douche et de sa peau douce. Elle n'est plus à mes côtés, mais j'entends un bruit discret venant de la salle de bain. Avant même d'ouvrir pleinement les yeux, je sens une présence, un effleurement léger sur ma peau.

Céline s'approche du lit, nue et radieuse, ses cheveux encore humides cascadant sur ses épaules. Elle s'est douchée pendant que je dormais, se rendant toute douce, toute lisse, prête pour un nouveau chapitre de notre découverte mutuelle. Son sourire est espiègle, ses yeux pétillent d'une passion contenue mais évidente. Elle grimpe sur le lit avec une grâce féline, ses mouvements fluides et assurés, comme si elle avait planifié ce réveil depuis l'aube.

« Bonjour, mon amour, » murmure-t-elle d'une voix rauque, chargée de désir. Ses lèvres effleurent mon oreille, envoyant un frisson le long de ma colonne vertébrale. « J'ai faim de toi ce matin. Laisse-moi te goûter pour le petit déjeuner. » Sans attendre de réponse, elle descend le long de mon corps, ses mains caressant ma poitrine, mon ventre, traçant des lignes de feu sur ma peau encore endormie.

Je m'étire légèrement, mon excitation grandissant à mesure qu'elle s'installe entre mes jambes. Céline me regarde avec intensité, ses yeux brillants d'une curiosité passionnée. Elle veut confirmer notre compatibilité sexuelle, s'assurer que je peux lui procurer autant de plaisir qu'elle m'en apporte. C'est clair dans son regard : ce n'est pas seulement du jeu, c'est une exploration profonde, une quête de symbiose parfaite.

 

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Ses lèvres se posent sur mon sexe, doucement d'abord, un baiser léger qui me fait sursauter. Elle rit doucement, un son joyeux et sensuel qui remplit la chambre. « Tu es déjà super réactif... J'adore ça. » Sa langue trace un cercle lent autour de la tête, savourant chaque centimètre comme si j'étais le mets le plus délicieux. Elle me goûte avec une avidité passionnée, ses mouvements précis et experts, alternant entre succions douces et caresses plus fermes.

Je gémis, mes mains se crispant sur les draps. Céline accélère le rythme, sa bouche chaude et humide m'enveloppant complètement. Elle utilise ses mains pour masser la base, synchronisant ses gestes avec sa langue qui danse avec une habileté enivrante. « Mmm, tu as un goût divin, » murmure-t-elle entre deux respirations, levant les yeux vers moi pour observer mes réactions. Sa passion est palpable ; elle ne fait pas ça par obligation, mais par pur plaisir, par envie de me faire fondre sous ses attentions.

Le plaisir monte en moi, une vague irrésistible. Mais Céline sent que je m'approche du bord et ralentit, prolongeant le moment. « Pas si vite. Je veux que ça dure. Et après, ce sera ton tour. Je veux voir si tu peux me faire vibrer comme je te fais vibrer. » Son ton est taquin, mais sous-tendu d'une exigence sérieuse. Elle reprend, plus lentement cette fois, explorant chaque veine, chaque sensibilité avec une attention minutieuse.

Enfin, elle m'amène à l'orgasme, sa bouche ne me lâchant pas jusqu'à la dernière goutte. Je crie son nom, mon corps arqué en un arc de plaisir pur. Céline se redresse, essuyant ses lèvres avec un sourire victorieux. « Délicieux. Maintenant, à toi de me goûter. Montre-moi ce que tu as dans le ventre. »

 

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Elle s'allonge à mes côtés, écartant les jambes dans une invitation on ne peut plus explicite. Sa peau est incroyablement douce après la douche, lisse comme de la soie, parfumée d'un savon floral qui m'attire irrésistiblement. Je me positionne entre ses cuisses, mes mains caressant l'intérieur de ses jambes, remontant lentement vers son intimité. Céline tremble légèrement, son excitation évidente. « Vas-y, mon amour. Goûte-moi. Je suis toute à toi. »

Je commence par des baisers légers sur ses cuisses, effleurant sa peau sensible. Elle soupire, ses hanches se soulevant légèrement pour m'encourager. Ma langue trouve enfin son centre, lapant doucement son nectar. Céline gémit, ses doigts s'enfonçant dans mes cheveux. « Oui... comme ça. Plus profond. » Sa voix est essoufflée, passionnée, guidant mes mouvements avec une franchise qui m'enflamme.

Je m'applique, alternant entre cercles lents et succions plus intenses, explorant ses plis avec ma langue. Elle est humide, chaude, réactive à chaque caresse. « Tu es doué... Oh, continue ! » crie-t-elle, son corps se contorsionnant sous mes attentions. Je sens son plaisir monter, ses muscles se contractant autour de mes doigts que j'ai glissés en elle pour accentuer la sensation.

Céline est vraiment passionnée ; elle ne retient rien, ses gémissements remplissant la chambre comme une symphonie érotique. Elle veut vérifier si je peux la mener à l'extase, et je m'y emploie avec ferveur, variant les rythmes pour la garder au bord du précipice. « Plus vite maintenant... Je vais jouir ! » halète-t-elle, et je redouble d'efforts, ma langue dansant frénétiquement.

Son orgasme explose, un cri primal s'échappant de ses lèvres tandis que son corps tremble violemment. Je continue doucement, prolongeant les vagues de plaisir jusqu'à ce qu'elle me tire vers le haut, m'embrassant avec une fougue renouvelée. « Parfait... Tu es parfait. Notre compatibilité est... explosive. »

 

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Mais elle n'en a pas fini. Céline, toujours entreprenante, me chevauche, son corps encore frémissant. « Allons plus loin. Je veux te sentir en moi à nouveau, pour confirmer. » Elle guide mon sexe en elle, s'abaissant lentement, nous unissant dans une chaleur enveloppante. Nous bougeons ensemble, un rythme sensuel, chaque mouvement une affirmation de notre connexion.

Ses seins rebondissent au gré de nos ondulations, et je les caresse, pinçant doucement ses tétons pour amplifier son plaisir. Céline penche la tête en arrière, gémissant bruyamment. « Oui, touche-moi partout. Prouve-moi que tu peux me faire crier encore. » Je la retourne, la prenant par derrière, mes mains sur ses hanches pour plonger plus profondément. Elle arque le dos, poussant contre moi avec une passion débridée.

Nous alternons les positions, explorant chaque angle, chaque sensation. Céline est insatiable, vérifiant inlassablement notre alchimie. « Tu me donnes autant que je te donne... C'est ça, l'amour vrai. » Ses mots sont entrecoupés de halètements, son corps luisant de sueur malgré la douche récente.

Enfin, nous atteignons un climax simultané, nos corps se fondant en un seul dans l'extase. Épuisés, nous nous effondrons, enlacés, riant de notre fougue matinale.

 

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Le soleil monte plus haut, mais nous restons au lit, nos corps entrelacés. Céline trace des motifs sur ma poitrine avec ses doigts, son souffle chaud contre mon cou. « Tu sais, sous la douche ce matin, je me suis préparée pour toi. J'ai rasé chaque centimètre, pour être toute douce, et très sensible à tes touchers. Et toi... tu as répondu au-delà de mes attentes. »

Je l'embrasse tendrement, mes mains explorant à nouveau sa peau soyeuse. « Tu es irrésistible. Ta passion me rend fou. » Elle rit, un son joyeux qui résonne en moi. « Bien, parce que j’en veux plus. Cette fois, laisse-moi me faire du bien comme je l’entends… »

Elle me pousse sur le dos, attachant mes mains au cadre du lit avec une écharpe qu’elle sort de son sac – un jeu improvisé mais excitant. « Ne bouge pas, » ordonne-t-elle avec un clin d'œil. Elle descend à nouveau, me goûtant avec une lenteur tortueuse, sa langue experte me menant au bord plusieurs fois sans me laisser basculer.

Puis, elle s'assoit sur mon visage, m'invitant à la goûter dans cette position dominante.

« Montre-moi ton dévouement. » Je m'exécute, ma langue explorant ses profondeurs tandis qu'elle se balance au-dessus de moi, ses gémissements crescendo. Sa passion est un feu qui nous consume, tandis que ses fluides dégoulinent sur mon visage tendu vers son plaisir.

Après un nouvel orgasme pour elle, elle me libère et nous faisons l'amour lentement, face à face, nos regards verrouillés. « Je sens que nous sommes faits l'un pour l'autre, » murmure-t-elle, ses mouvements fluides et intenses.

La matinée s'étire en une série de caresses, de baisers, de plaisirs partagés. Nous commandons enfin un vrai petit déjeuner, mais le véritable festin, c'est nous...

 

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----- (Céline) ------

Je me glisse hors de la salle de bain, ma peau encore tiède et humide de la douche, lisse comme une caresse, parfumée d’un voile de lavande qui danse dans l’air matinal. Le soleil s’infiltre à travers les rideaux, jetant une lumière douce et dorée sur ton corps endormi, à moitié découvert par les draps froissés. Tu es là, magnifique, tes muscles détendus sous la lueur chaude, et je sens une vague de désir me traverser, un feu qui s’allume dans mon ventre. Je veux te réveiller doucement, te faire ressentir chaque frisson, chaque battement de mon cœur qui t’appelle.

Je grimpe sur le lit, mes mouvements fluides, mes cheveux mouillés effleurant mes épaules, laissant des gouttes fraîches sur ma peau. Je m’approche de toi, mon amour, et murmure près de ton oreille, ma voix douce mais lourde de promesses : « Bonjour, mon amour… J'ai faim de toi ce matin. Laisse-moi te goûter pour le petit déjeuner. » Mes lèvres frôlent ton lobe, un contact léger comme une plume, et je sens ton corps frémir sous moi. Mes doigts glissent sur ta poitrine, traçant les contours de tes muscles, savourant la chaleur de ta peau qui semble répondre à mon toucher.

Je descends lentement, mes lèvres effleurant ton torse, ton ventre, jusqu’à atteindre ton sexe qui s’éveille sous mes caresses. « Oh, regarde comme tu es prêt pour moi, » dis-je, un sourire dans la voix, mes yeux pétillants levés vers ton visage encore ensommeillé. Je te prends dans ma bouche, doucement, ma langue dansant autour de toi, savourant ta chaleur, ta douceur salée qui m’enivre. Chaque mouvement est une exploration, un hommage à ton corps. Je gémis doucement, mes lèvres glissant avec une tendresse passionnée, mes mains caressant tes cuisses pour t’ancrer dans ce moment.

« Tu es déjà super réactif... J'adore ça. » murmurè-je, mes mots étouffés par mon désir, mes yeux cherchant les tiens pour voir le plaisir s’allumer dans ton regard. Je veux te sentir perdre pied, te voir t’abandonner à moi. Mes doigts s’enroulent autour de la base, accompagnant les mouvements de ma bouche, lents puis plus rapides, suivant le rythme de tes soupirs. Ton corps se tend, tes mains agrippent les draps, et je sens ton plaisir monter comme une vague. Je ralentis juste assez pour prolonger l’instant, mes lèvres serrées autour de toi, savourant chaque pulsation. Quand tu jouis, c’est comme un feu d’artifice, et je t’accueille entièrement, mes gémissements mêlés aux tiens, une symphonie intime qui remplit la chambre.

 

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Je me redresse, essuyant mes lèvres avec un sourire tendre, mes joues rosies par l’effort et l’excitation. « Mon amour, c’était… divin. À ton tour maintenant. Je veux sentir ta bouche sur moi, découvrir si tu peux me faire vibrer comme je viens de le faire pour toi. » Je m’allonge, écartant les jambes avec une invitation silencieuse, ma peau lisse et sensible frémissant sous l’air frais. Mon intimité, fraîchement rasée sous la douche, est douce comme la soie, luisante de mon désir pour toi.

Tu te places entre mes cuisses, et je frissonne quand tes mains caressent l’intérieur de mes jambes, tes doigts chauds contre ma peau fraîche. « Oui, touche-moi… explore-moi, » dis-je dans un souffle, ma voix tremblante d’anticipation. Ta langue me trouve, un contact doux qui me fait arquer le dos, un gémissement profond s’échappant de ma gorge. Ta langue glisse sur moi, explorant mes plis humides, savourant mon goût sucré et musqué. Chaque mouvement est une caresse, une vague de plaisir qui me submerge.

Je m’abandonne à toi, mes doigts dans tes cheveux, te guidant doucement. « Plus profond… juste là, » murmure-je, mes hanches se soulevant pour rencontrer ta bouche. Le plaisir est intense, presque insupportable ; je sens chaque coup de langue comme une étincelle, chaque succion comme une flamme qui s’embrase. Mes gémissements s’amplifient, des sons doux mais puissants, exprimant tout ce que tu me fais ressentir. « Oh, oui… continue, t’arrête pas… » Mes cuisses tremblent, mes muscles se contractent, et je sens l’orgasme approcher, un raz-de-marée prêt à m’engloutir.

Quand il arrive, c’est comme une explosion de lumière. Je crie ton nom, mon corps convulsant sous ta bouche, des vagues de plaisir déferlant à travers moi. Tu prolonges l’instant, ta langue douce et insistante, jusqu’à ce que je sois pantelante, comblée. Je te tire vers moi, t’embrassant avec ferveur, goûtant mon propre plaisir sur tes lèvres. « Tu es incroyable… » dis-je, essoufflée.

 

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Mais je ne suis pas rassasiée. Je te veux encore, tout entier. Je te chevauche, guidant ton sexe en moi, lentement, savourant la sensation de te sentir me remplir. « Oh, mon amour, comme tu es parfait en moi, » je gémis, commençant à bouger, mes hanches ondulant dans un rythme sensuel. La chaleur de nos corps se mêle, l’odeur de notre sueur et de notre passion emplissant l’air, un parfum capiteux qui nous enivre. Mes seins effleurent ton torse, mes tétons durs frottant contre ta peau, envoyant des frissons à travers moi.

« Aime-moi fort, » murmure-je, mes mains sur tes épaules, mes ongles s’enfonçant légèrement dans ta chair. Nous accélérons, nos corps trouvant un rythme primal, chaque poussée approfondissant notre connexion. Je penche la tête en arrière, mes cheveux humides balayant mon dos, mes gémissements montant en crescendo. « Oui… comme ça, plus fort… » Tu me retournes, me prenant par derrière, tes mains sur mes hanches, et je pousse en arrière, avide de chaque mouvement. La sensation est exquise, ton sexe plongeant profondément, touchant des endroits qui me font frémir.

Nos corps se synchronisent, une danse de désir pur. Je sens un autre orgasme monter, mes parois se resserrant autour de toi. « Je vais jouir encore… avec toi, » halète-je, et nous basculons ensemble, un climax partagé qui nous laisse tremblants, nos souffles mêlés. Je m’effondre contre toi, riant doucement, mon cœur battant contre le tien. « Mon chéri, c’était… parfait. On est faits l’un pour l’autre, non ? »

Nous restons enlacés, la lumière du matin caressant nos corps nus. Je trace des cercles paresseux sur ta poitrine, mes lèvres effleurant ton cou. « Prêt à recommencer ? » dis-je avec un clin d’œil, ma voix taquine mais pleine de promesses. Cette matinée n’est que le début, mon amour, et je veux t’emmener encore plus loin.