Evocations de mes fantasmes sexuels.

MASROST
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Plusieurs fantasmes, toujours sur des femmes aimant dominer, voir infantiliser un homme le privant ainsi de tous moyens de s'affirmer
en tant qu'adulte. Des femmes qui m'imposeraient leur forte autorité, qui seraient très sévère, stricte, me parleraient de façon sèche,
très durement pour affirmer sur moi leur supériorité, leur suprématie de femmes toutes puissantes, voir leur matriarcat et m'imposeraient
leur maternage définitivement. Donc, elles me contraindraient à verser dans la totale et entière régression, faisant fi de mes pensées, de
mes ressentis ou sentiments. Des femmes qui m'obligeraient à les respecter, à devoir baisser la tête, ou l'échine devant elles, les yeux
aussi. Je pourrais, surtout devrais les regarder dans les yeux, que sous leurs ordres, lorsque par exemple, elles me gronderaient, voudraient
me punir si et quand je le mériterais, lorsqu'elles voudront bien me faire encrer dans la tête, qui commande, sont le maîtresses , qui décide
de qui, de quoi, pour quelles raisons et besoins, qui doit obéir, s'abaisser, exécuter les ordres de celles à qui j'appartiens. Elles me forceraient
à me montrer bien docile et à reconnaitre leur grandeur de femmes sur moi. Tout me serait interdit de libres actions quelles puissent être, sauf,
si ordres d'exécuter leurs désirs sur le champs et à la lettre, même si pas contant. Je devrais, même si très abaissant, humiliant à fond, demander
leur permission lorsque je devrait aller par exemple, faire mes besoins naturels, pire encore, car devant me faire vérifier pour voir si je ne ment pas.
Donc, de me laisser faire pour commencer, les laisser me baisser les culottes, observer les choses, soit, le bas du ventre, si bien arrondi, dur, leur
indiquant si ma vessie est bien remplie, ou pleine, pareillement au niveau d'envie de faire mon caca, qui m'examineraient l'anus, si il semble
se dilater, s'ouvrir, allant même jusqu'à me faire doigter en fond de rectum s'assurant là aussi que je suis plein, de quoi faire. Mes maîtresses
me gouverneraient de tous mes passages sur "le pot", façon de nommer le wc, puisqu'infantilisé, et devrais me plier à ce qu'elles m'assistent pareillement
que si vraiment j'était un garçon de bas âge. Donc, soit elles me baisseraient juste pantalon, ou culotte courte, le slip, m'installeraient elles même sur la
cuve du wc, fonction de leur désir, me positionneraient afin de procéder à me traiter en vrai petit garçon, allant même jusqu'à me saisir par le zizi, avec aussi des langages pour bébé ou tout jeune gamin dont elles useraient en me parlant, et en me demandant les choses. Même leurs regards sur moi, seraient assurément des vrais regards de mamans sur le bébé ou petit garçon que je serais devenu pour elles ou qu'elles auraient fait de moi, presque une sorte d'enfantement, comme si conçu par elles, comme si elles m'avaient porté en elles, dans leur utérus, sortie de leur vagin et reçu d'entre leurs cuisses. C'est ainsi que ces femmes me considèreraient et ma traiteraient, m'obligeant à les regarder toutes comme étant mes mamans, de substitution ou adoptives, mais mes mamans quand même. Elles auraient pouvoir de me donner à garder aussi à des femmes nounous ou nurses, des nourrices. Je serais dans la stricte obligation, de prendre le sein, ou de téter, de prendre le biberon, la tétine, de porter des couches, de me souiller dedans pour leur donner raison de moi, de me changer, me langer, vraiment, comme un réel bébé, de me faire laver, talquer , voir aussi, la prise de température en plus, de façon traditionnelle, soit par l'anus, plus administration de suppositoires quand nécessaire. Je devrais me résigner à cet état de retour en arrière de l'âge, même de me faire examiner, ausculter par des femmes pédiatres, me faire assister par des femmes puéricultrices, me voir être puni de fessées, par mes mamans, nounous, et maîtresses de maternelles. De me faire mettre sur le pot comme à l'école de petits, et être là encore, déculotté, me faire tenir le zizi pendant que je devrais faire dans le pot, ne entendant les femmes me demander de pousser, et qui ne me souriant, me diraient, allé, sois un bon garçon, soit gentil. Je me ferais dresser à coup de martinet si pas gentil garçon, si pipi et caca fait par terre, si sale. J'en reste là pour ce thème, que je pourras poursuivre, si ce sujet intéresse.