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Comment je suis devenu fétichiste des femmes en jupes ou en robes très longues et très amples !
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[QUOTE="jaurès-aymé, post: 12792, member: 495"] [JUSTIFY]C’est Géraldine qui se réveille la première, elle commence à m’embrasser alors que je suis encore dans mon sommeil, et continue de m’embrasser jusqu’à ce que j’en émerge. Alors elle se lève du sofa, le doux et léger tissu de sa robe de nuit me caressant de nouveau le corps, une très agréable et surtout très excitante sensation dont je m’empresse de profiter ! De nouveau, je me demande ce que peuvent bien ressentir les femmes quand elles portent ce genre d’habit au toucher si excitant... Cette fois-ci, elle ira à la douche sans moi ; j’irai après elle... Quand je suis sorti de la douche, Angélique et Géraldine étaient à la cuisine, Pascaline n’était pas encore là. Géraldine avait de nouveau retrouvé son style de fille sérieuse dont rêvent tous les parents asiatiques : sa coiffure en chignon claw clip bun retenu par une pince pélican, ses grandes lunettes rondes ; elle portait cette fois-ci une jupe très longue et très longue marron du même style que toutes les autres jupes que j’avais aperçues la veille, cette fois-ci avec un boutonnage tout du long sur le devant, comme Pascaline et Angélique la veille, et qu’elle portait également déboutonnée ! Elle avait un chemisier beige déboutonné en décolleté et par-dessus, un gilet non boutonné également beige, de même type que le gilet bordeaux trop grand qu’elle avait la veille et que j’avais taché de ma blanche semence. Elle était assise, les jambes croisées et bien évidemment découvertes, tous les pans de sa jupe touchant le sol. Je glisse mes mains sous sa jupe, je lui attrape les fesses et je l’embrasse, pendant qu’elle m’attrape fermement la tête. Puis elle se lève pour préparer le café. Angélique, qui se tenait debout, portait quant à elle un chemisier blanc entièrement boutonné jusqu’au col, lequel était un altissimo, autour du col était noué en cravate un foulard rouge ; elle ressemblait à une hôtesse de l’air, sauf qu’au lieu de la classique jupe droite, elle avait également une jupe très longue et très ample, formée également de trois cercles, formant donc 1080 degrés, sans boutonnage sur le devant, exactement comme la jupe sable et la jupe blanche que Géraldine portait la veille, sauf que la jupe d’Angélique était noire ! Cet ensemble lui donnait une de ces statures ! Entre alors Pascaline dans la cuisine. Et que portait-elle ? Une robe grise très longue arrivant également presque au sol, dont la très ample partie basse consistait également en une jupe de 1080 degrés, tandis que la partie haute était ajustée à son corps. Exactement comme la robe de nuit portée par Géraldine pendant la nuit. Sauf que la robe de Pascaline comportait un boutonnage tout le long de sa robe sur le devant, comme la longue jupe qu’elle portait la veille. Bien évidemment, la partie basse de sa robe n’était boutonnée que sur la longueur strictement nécessaire, c’est-à-dire que ses jambes apparaissaient quand elle marchait, et la partie haute était déboutonnée pour laisser apparaître un joli décolleté. Ses cheveux étaient complètement détachés. Ce matin, c’était donc à Pascaline que revenait le titre de fille la plus sexy, alors que suite à l’acte avec Géraldine, elle était reléguée au rang de la plus coincée du cul des trois... Ce n’était pas encore fini ; Pascaline déboutonne encore les quelques boutons qui étaient boutonnées, ouvrant ainsi entièrement sa robe. Elle fait alors ce geste si glamour qui déplace sa robe vers l’arrière, comme les trois nanas avaient fait la veille au soir avec leurs chemisiers, découvre ses épaules, la robe trainant ainsi par terre ! Elle se dirige vers moi pour me faire la bise, fait de même avec Géraldine. Mais alors quand elle s’est dirigée vers Angélique, c’était encore plus beau à voir : Pascaline souriait à Angélique comme elle souriait à un mec dont elle chercherait à être séduite ; à ce moment-là, les yeux d’Angélique se mettent à briller comme brilleraient les yeux de n’importe quel mec ! Pascaline se dirigeait vers Angélique d’une manière tellement sensuelle, et les yeux d’Angélique continuaient de briller de plus belle, que j’ai bien cru qu’elles allaient se rouler une pelle comme deux lesbiennes. Et en effet : précisément à ce moment, Pascaline prend la tête d’Angélique avec beaucoup de tendresse et de douceur ; Angélique attrape Pascaline par la taille en glissant ses mains sans sa robe, faisant acroire à quiconque qu’elle irait même lui caresser le corps sans oublier les fesses ! Pascaline approche alors ses lèvres, Angélique approche les siennes. Et à ce moment-là, elles se font... juste la bise... Pendant toute la scène, Géraldine m’avait tenu la main en me la caressant comme elle me l’avait fait la veille pendant le repas... On a pris le café comme on avait diné la veille... Jusqu’à ce jour, je n’aurais jamais imaginé à quel point des nanas pouvaient être davantage sexy en jupes très longues et très amples plutôt qu’avec la jupe au ras du cul ! Depuis ce jour, je n’ai plus eu une préférence que pour les filles en jupes très longues et très amples ! C’était maintenant l’heure de partir. Je devais retourner travailler, mais auparavant me changer puisque j’avais les mêmes vêtements que la veille, sauf le caleçon que je ne pouvais plus mettre avant de l’avoir lavé ; j’étais donc à poil sous mon froc... Les filles devaient aller à la fac ; il nous fallait nous rendre chez l’ami de Géraldine pour que ce dernier nous ramène en ville. Angélique et Pascaline marchaient devant Géraldine et moi ; Pascaline avait toujours sa robe défaite, trainant par terre, les épaules découvertes. Le village devait être mort à cette heure-ci pour que Pascaline se permette de se balader ainsi. Pendant que Géraldine marchait, on voyait ses jambes apparaître par moments hors de sa jupe puisqu’elle était déboutonnée sur le devant. Il me prend alors l’envie de passer ma main sous sa jupe. Alors je me penche, glisse ma main sous l’arrière de sa jupe et lui attrape les fesses. Sa jupe était tellement large et ample que même vu de derrière, on ne voyait ni ses fesses, ni le fait que j’avais ma main glissée sous sa jupe. Je marche donc aux côtés de Géraldine en lui caressant les fesses ; Géraldine devient toute rouge d’excitation, passe un bras autour de ma taille et glisse son autre main dans mon pantalon : nous marchions donc, non pas main dans la main ni bras dessus bras dessous, mais main aux fesses main sur la verge et deux visages bien rouges d’excitation avec Angélique et Pascaline faisant écran devant nous. Peu avant d’arriver chez l’ami de Géraldine, Pascaline recouvre ses épaules et reboutonne sa robe au strict nécessaire, juste de quoi cacher ses parties intimes et un peu ses seins ; Géraldine retire sa main de mon pantalon et attrape mon bras dont la main lui caressait les fesses en marchant pour signifier de retirer celle-ci de dessous sa jupe ![/JUSTIFY] [/QUOTE]
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