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Culture érotique
Poèmes et écritures érotiques
Comment je suis devenu fétichiste des femmes en jupes ou en robes très longues et très amples !
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[QUOTE="jaurès-aymé, post: 12791, member: 495"] [JUSTIFY]Pendant tout ce temps, Géraldine aurait eu le temps de se métamorphoser, passant ainsi de la fille sérieuse un peu coincée du cul à Wonder Woman ; elle avait de ne le faire qu’au dernier moment, en direct devant moi : elle avait toujours ses grandes lunettes rondes, ainsi que sa coiffure en chignon claw clip bun retenu par une pince pélican, mais elle avait troqué sa très longue jupe parapluie sable que j’avais souillée pour la même très longue jupe parapluie de couleur blanche cette fois-ci, et elle portait un chemisier noir juste noué autour de la taille manquant de peu de laisser apparaître son nombril, mais ne manquant pas de laisser apparaître un décolleté bien plongeant ! C’était donc Géraldine qui se portait volontaire pour recevoir mon engin en son sein ! Bien sûr : je prends le temps de décrire la situation, mais cette situation avait lieu sur une durée très courte ; Géraldine devait faire vite avant que je ne débande... Géraldine s’approche alors rapidement du sofa, soulève sa jupe pour ne pas marcher dessus au moment de monter sur le sofa, comme si elle allait me marcher dessus, puis s’agenouille sur moi. À ce moment, elle enlève ses lunettes ; rien que l’absence de lunettes lui donnait tout d’un coup l’apparence d’une dominante, surtout qu’elle me regardait farouchement, l’air de dire « Salopiaud ! Tu as profité de mon absence pour presque te taper Pascaline ! Tu vas me le payer ! » À cette effet, elle retire la pince pélican qui retenait ses cheveux ; en l’espace de quelques fractions de secondes, elle était passée de fille sérieuse soumise dont rêvent tous les parents asiatiques, à fille dominante sexy. Elle appuie sa pince pélican entre mes deux yeux comme un matador prêt à achever le taureau. Puis elle appuie sa pince pélican sur ma bouche, comme pour me faire taire. Et alors : elle soulève sa très longue et très ample jupe et me recouvre entièrement le corps avec comme une cloche. Elle positionne alors ses parties intimes avec haute précision au niveau de ma verge, et sans même avoir besoin de la saisir, sans même que je n’ais besoin de m’occuper de quoi que ce soit, elle fait en sorte que je la pénètre. Et là, c’est le gros soupir d’excitation de sa part ! Elle dénoue alors son chemisier qu’elle déplace vers l’arrière pour faire découvrir ses épaules sans pour autant laisser apparaître ses seins entièrement. J’étais tout simplement excité par la vue. J’avais tout simplement envie de lui attraper les mains pour elle puisse me laisser voir ses seins, mais comme mes mains étaient prisonnières sous sa jupe, je lui attrape ses fesses. Elle avait les fesses et les jambes si douces... Alors remplie d’excitation, Géraldine pose ses mains sur mes épaules et commence à m’embrasser. Puis elle fait des mouvements de va-et-vient et se met à gémir pendant que je me mets à grogner ! J’essayais de retenir la semence le plus longtemps possible, chose qui m’était impossible : par dessus les épaules de Géraldine, j’apercevais Angélique et Pascaline qui, elles aussi, commençaient à défaire leurs chemisiers et à découvrir leurs épaules tout en ne maintenant leurs seins que partiellement dévoilés. Rien qu’à la vue de ceci, j’ai lâché prise, toute la semence est partie sous un grand grognement ! Géraldine était en sueur. Géraldine se relève puis recule pour s’aligner avec Angélique et Pascaline, formant ainsi un alignement de 3 nanas en jupe très longue et très ample avec un chemisier complètement déboutonné laissant apparaître seins et épaules. À ce stade, il était plus qu’évident que j’étais tombé, non pas sur trois jeunes filles innocentes, mais sur une organisation bien huilée dont Géraldine n’était pas la plus coincée contrairement aux apparences, mais bel et bien la plus expérimentée et même la cheffe, le grade de la plus coincée du cul des trois revenant de facto à Pascaline... Géraldine se retourne alors vers la salle de bain, son chemisier étant porté comme les femmes andalouses porteraient leurs châles, faisant danser ses cheveux, me signifiant ainsi de la suivre, puisque bien évidemment, je devais également me doucher. Suite à la douche chaude, mais pas autant que Géraldine l’heure d’avant, Géraldine était trempée encore davantage qu’avant l’acte : cette fois, au niveau des cheveux ! Ben quoi, vous avez cru qu’elle serait abondamment mouillée ailleurs ? J’enfile une serviette tandis que Géraldine enfile un linge de nuit. Et quel linge de nuit ! Une sorte de kimono, ou une robe de chambre en léger et fin tissu satiné touchant presque le sol comme ses jupes, et bien évidemment, la partie basse aussi large et ample que ses jupes, constituée de trois cercles, tandis que la partie haute était pile poil ajustée à son joli corps. Sa robe de chambre était fermée par la simple et classique ceinture assortie. Nous retournons dans le salon, Géraldine m’allonge de nouveau sur le sofa sur le dos, puis se couche sur mon buste. Pendant que nous étions sous la douche, Angélique et Pascaline avaient positionné un ventilateur. Géraldine met alors en marche le ventilateur et repose de nouveau sa tête sur mon buste, permettant ainsi à ses cheveux de voler tout en séchant. Je lui passe ma main en forme de peigne dans ses cheveux pour lui masser la tête et empêcher que ses cheveux ne s’emmêlent de nouveau ; je sens qu’elle adore ça... Elle me défait alors la serviette, dénoue sa robe de chambre et l’ouvre de manière à me couvrir en même temps, le léger et doux tissu satinée de sa robe me caressant une dernière fois la verge avant que nous nous endormions ; nous ne saurions qu’au petit matin si nous aurions un dernier acte...[/JUSTIFY] [/QUOTE]
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