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Poèmes et écritures érotiques
Comment je suis devenu fétichiste des femmes en jupes ou en robes très longues et très amples !
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[QUOTE="jaurès-aymé, post: 12788, member: 495"] [JUSTIFY]Géraldine m’invite à m’assoir sur le clic-clac pour que je passe des appels. Je tente de joindre Sabrina : pas de réponse. Pas le choix : il va falloir rentrer. Ou bien peut-être rester : pas moyen de joindre un taxi, un VTC ou un Uber. Géraldine, toujours avec son accent mondain et d’un ton un peu moqueur : « Et bien mon cher Thomas, j’ai bien peur que vous deviez passer la nuit ici et repartir demain matin ! ». Moi : « Et comment je repars d’ici ?? » Géraldine : « Mon ami vous amènera en ville, il y travaille tous les jours. » Puis de nouveau Géraldine : « Et vous, vous faites quoi dans la vie ? » Moi : « Je suis à mon compte... », puis je reprends : « Et vous trois, vous faites quoi ? » Géraldine : « Nous sommes étudiantes. Angélique et moi sommes étudiantes en histoire, Pascaline étudie la comptabilité. » Moi : « Mais vous faites comment pour aller à la fac ? Il n’y a pas de transport ici... » Géraldine : « Mon ami nous emmène tous les jours et nous ramène le soir. Et nous partageons les frais. » Moi : « Votre petit ami ? » Géraldine : « Non, juste mon ami, ce n’est pas mon petit ami. » Moi : « Vous n’avez pas un petit ami ? » Géraldine éclate de rire et me répond : « Non, je n’ai pas de petit ami. Et vous ? Vous avez une chérie ? » Moi : « Non. » Géraldine, prenant la mine bien entreprenante : « Ah ben alors, vous êtes libre ! Si vous voulez, je peux devenir votre petite amie ! » J’avais l’impression d’avoir atterri dans un village du siècle dernier où ne vivaient que des femmes qui devaient être bien contentes si un mec passait une fois toutes les 36 du mois ! Et cette Géraldine me donnait clairement l’impression de n’avoir jamais eu aucun mec dans sa vie, qu’elle cherchait désespérément à en trouver un, quitte à tout faire pour mettre le grapin sur le premier qui passait ! Je change donc très vite de sujet : « Mais... vous n’avez pas trouvé plus prêt, en ville où vous avez des bus ?? » Angélique : « Vous savez, les logements ne sont pas donnés, il faut des garants et tout... Cette maison, c’est la seule solution qu’on a trouvée pour se loger. » Pascaline : « Et puis en tant qu’étudiantes, on n’est pas bien riche non plus donc on coupe les dépenses au maximum. Là vous voyez, on a un clic-clac qu’on nous a donné, on a récupéré des meubles de jardins pour s’assoir et manger, et on dort par terre sur des futons. Et pour les vêtements, c’est strict minimum ; on fait tout pour économiser même sur la lessive ! » La comptable a parlé ! Cela devait être la cost-killer du groupe ! J’aurais bien aimé voir Pascaline faire les comptes avec une pascaline à la place d’une Casio... La comptable a aussi dévoilé : pendant qu’elle parlait de limiter les vêtements et les lessives, Géraldine s’était levée pour aller en cuisine. J’ai perçu un détail qui m’avait jusque là échappé : Géraldine avait les tétons qui pointaient dans son chemisier ! Et quand Pascaline avait évoqué le linge réduit pour économiser sur les lessives, cela avait tout de suite fait tilt : à mon avis, aucune des trois nanas ne portaient le moindre sous-vêtement ! Pour Pascaline, impossible d’en être certain ; Angélique maintenait ses jambes croisées donc aucun moyen de vérifier si le minou était à l’air libre sous sa petite jupe, son sweat-shirt était trop large pour voir les tétons pointer... La seule chose dont on pouvait être certain, c’était que Géraldine n’avait pas de soutien-gorge sous son chemisier ; était-il possible que sous sa très longue et très ample jupe, elle n’avait pas de sous-vêtements ? Et que chaque mouvement que faisait la jupe lorsqu’elle marchait lui caressait doucement les fesses ? À défaut d’avoir rencontré Sabrina, l’idée que ces trois nanas étaient nues sous leurs vêtements m’émoustillait ; c’était mon lot de consolation. Faisant partie du lot de consolation : les trois nanas sont gauchères, comme Sabrina. Mais mon esprit était ailleurs : je me disais que je retiendrais la leçon, que la prochaine fois, je prendrais une voiture de location ! Géraldine revient de la cuisine et nous invite tous à table : « On a juste quelques snacks, un peu de charcuterie et du fromage, un peu de pain et des fruits à partager avec vous. » Moi : « Ça ira très bien ! » On s’assoit tous autour de la table de jardin sur les chaises en plastique, Géraldine repart en cuisine et revient avec une bouteille de vin, et toujours de son espèce d’accent mondain : « Tenez, on n’a qu’à goûter à ce vin que ma tante avait glissé dans mes affaires lorsque je suis rentrée le weekend dernier. » On commence donc à grignoter et à parler de tout et n’importe quoi, comme quatre paumés au milieu de nulle part ! La seule chose que j’ai retenue, c’est qu’aucune des trois nanas n’avait de mec. Le reste ? Je ne sais plus trop de quoi on avait parlé ; non pas parce que la conversation était inintéressante, mais tout simplement parce que je ne tiens pas du tout l’alcool : je commençais déjà à piquer du nez à peine le premier gobelet vidé ![/JUSTIFY] [/QUOTE]
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