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Comment je suis devenu fétichiste des femmes en jupes ou en robes très longues et très amples !
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[QUOTE="jaurès-aymé, post: 12787, member: 495"] [JUSTIFY]On oublie toujours que se rendre chez une femme, c’est comme aller dans l’espace : la réussite n’est pas d’y aller mais d’en revenir ! Et cette soirée-là allait me rappeler à cette importante réalité... Le taxi m’amène donc à ma destination, me dépose,... et s’en va ! Je sonne à l’adresse indiquée : une maison située dans une petite commune en périphérie de l’agglomération où j’habitais, une maison qui correspondait exactement aux photos que m’avait envoyées Sabrina pour être sûre que je trouve bien l’endroit. La porte s’entrouve et une tête apparaît dans l’ouverture : pas celle de Sabrina... Au lieu d’une blonde aux yeux bleus, c’était une jeune brune asiatique, aux yeux marrons on ne peut plus ordinaire, avec des grandes lunettes rondes aux fines montures de métal, une espèce de chignon claw clip bun négligé et retenu par une pince pélican qu’elle aurait fait vite fait ; bref : le genre de fille bien sérieuse qui ne ressemble en rien à la sexy Sabrina qui devait me donner du plaisir ce soir... Elle, la mine dont on voyait parfaitement qu’elle se demandait ce que je fabriquais là :« Oui ? Bonsoir ? » Moi : « Bonsoir ! J’ai rendez-vous avec Sabrina. » Elle, interloquée : « ??... Sabrina... ?? Euh... ?? Vous faites erreur, Monsieur ! Il n’y a pas de Sabrina ici... Vous vous êtes certainement trompé d’adresse... » Elle parlait avec une espèce d’accent mondain avec une intonation dans la voix qui l’était tout autant... Je lui réponds que pourtant, j’étais bien au bon endroit en lui indiquant l’adresse. Elle, riant avec une petite gêne : « C’est exact, c’est bien ici. » Moi : « Et elle m’avait envoyé les photos de la maison, et je vois que c’est bien cette maison. » Je lui montre mon téléphone avec les photos. Là, elle ouvre entièrement la porte pour en franchir le pas, et je vois la fille en entier : elle avait un chemisier légèrement blanc cassé sur lequel on devinait de fines rayures et dont on se demandait si elle n’avait pas repris le chemisier de son arrière-grand-mère et dont les nombreux lavages en machine auraient supprimé les couleurs originelles... Par dessus le chemisier, elle portait un gilet bordeaux entièrement déboutonné et peut-être une ou deux tailles au-dessus de la sienne... Mais surtout, elle portait une jupe très longue et très ample beige qui flottait à à peine plus du centimètre au dessus du sol. C’était le genre de jupe parapluie pour laquelle elle avait dû prendre trois cercles complets et les coudre ensemble pour obtenir cette immense largeur, formant ainsi une jupe de 1080 degrés ! Peut-être même que la couleur beige de la jupe avait déteint sur son chemisier au lavage, lui donnant ainsi cet aspect de blanc cassé... Elle tire sur les manches de son trop grand gilet pour se couvrir les mains, croise les bras, regarde les photos et me confirme en riant, cette fois-ci avec un léger sarcasme : « Oui, c’est bien cette maison, mais il n’y a pas de Sabrina ici ». Me voyant comme un peu sur le cul, elle se marre tout doucement et reprend : « Sabrina, c’est votre copine ? » Moi, sans rire du tout : « Non. » Elle, toujours en riant : « C’était votre rendez-vous galant alors... » Je la regarde en me disant « Quel rire bête... » et lui réponds : « Euh... oui... » Je commençais à comprendre que cette Sabrina m’avait envoyé au mauvais endroit, sans que je ne comprenne pourquoi puisque ce n’était pas un rendez-vous galant, mais un service payant... Elle, toujours de son accent mondain : « Vous voulez très certainement l’appeler, n’est-ce pas ? Venez donc, entrez donc deux minutes ! » Le ton de sa voix voulait clairement dire « Ne restez donc pas planté comme un tronc ! » J’accepte volontiers, elle me conduit à l’intérieur, sa longue jupe flottait légèrement dans tous les sens lorsqu’elle marchait ; si sa jupe était restée statique, on aurait pu croire que la jeune fille flottait au dessus du sol comme le font les danseuses géorgiennes... Il y avait deux autres nanas dans la maison ; lorsqu’elles m’ont vu, elles m’ont dit bonsoir en souriant. La jeune fille qui m’avait ouvert leur dit avec ce même accent mondain, en rigolant : « C’est un Monsieur qui s’est égaré en chemin et qui a échoué ici ! ». Les deux nanas étaient plutôt ordinaires : pas le genre de canon avec qui passer la nuit, mais pas moches non plus. Et elles avaient l’air sympas ! L’une d’elles étaient une caucasienne ordinaire : brunette, les yeux marrons, les cheveux longs en queue de cheval bien lambda, vêtues d’un pantalon classique noir et d’un haut classique vert pomme. L’autre, caucasienne elle aussi, avait les cheveux courts blonds vénitiens, les yeux bleus-verts ; on aurait presque dit un garçon manqué, sauf qu’elle portait une petite jupe ordinaire brun clair et un sweat-shirt gris. Les deux nanas étaient à peu près de même taille ; la jeune fille à la jupe très longue et très ample qui m’avait ouvert était la plus grande et avait presque ma taille ! Angélique était la blonde vénitienne, tandis que la petite brunette était Pascaline ! En me tournant vers la plus grande : « Et vous ? » ; elle : « Géraldine ! » Géraldine, de nouveau : « Et vous ? » Moi : « Thomas. » Angélique : « Qu’est-ce qui vous amène ici ? » Je ne savais pas quoi lui répondre. En ces sept ans à bosser comme un dingue, j’ai malheureusement perdu tout sens de la répartie. Il faut dire que pour aller de cette Angélique aux cheveux blonds vénitiens et aux yeux bleus-verts, à la Sabrina aux yeux bleus, à la chevelure très longue et très blonde que j’étais censée voir ce soir, il fallait énormément d’imagination ; même les intelligences artificielles les plus pointues sont incapables de transformer une telle Angélique en cette Sabrina. Perdu dans ce genre de pensées, je n’ai rien trouvé à lui répondre que c’était un plan foireux qui m’amenait là, et qu’il n’y avait que le plan du village qui n’était pas foireux...[/JUSTIFY] [/QUOTE]
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