Commencer par stimuler les zones les plus érogènes de son corps
On a tendance à penser que les préliminaires préférés des hommes se résument à une pratique principale : la fellation. Mais non, il existe de nombreuses techniques qui peuvent donner du plaisir à un homme sans commencer nécessairement par cibler son pénis. Le corps possède en effet des zones érogènes étendues que l'on peut explorer pour faire monter l'excitation, voire atteindre l'orgasme.
Les zones érogènes du 3e cercle : lécher, mordiller, caresser ou embrasser le cou, les jambes, le ventre, les fesses, le creux du dos, les lobes d'oreilles, le torse (tétons)… augmentent le désir et le plaisir de l'homme.
Les zones érogènes secondaires : caresser, embrasser ou effleurer ensuite ces zones permet de faire monter d'un cran supplémentaire l'excitation. Sans faire atteindre l'orgasme (quoique ça dépend !), elles décuplent la jouissance. Ces zones sont le pubis, les cuisses (surtout l'intérieur), les testicules, le périnée (espace compris entre la base de la verge et l'anus).
Les zones érogènes primaires : ces zones se situent au niveau des parties génitales. Pour les hommes, ce sont donc le pénis et la prostate. Stimuler ces zones peut faire basculer l'homme à l'orgasme.
La masturbation : pour lui mais aussi mutuelle
Se donner un temps où l'on masturbe l'autre prépare le corps à monter en excitation pour accéder à un plaisir plus grand.
Masser, presser, en utilisant les deux mains, une seule ou même les pieds ou les seins (la fameuse "branlette espagnole")… on varie les plaisirs ! On peut aussi se masturber mutuellement.
Avec les doigts, les mains ou même des accessoires, la masturbation est donc presque un apprentissage des désirs de l'autre.
La fellation : un grand classique que l'on peut revisiter
Le grand classique des préliminaires est certainement la fellation. La muqueuse du gland et de la verge est très sensible. Il est donc logique que cette zone stimule les sens chez l'homme.
Le seul conseil à donner cependant est d'aimer cette pratique autant chez la personne qui la pratique que chez celui qui la reçoit. Car oui, on a le droit aussi de ne pas aimer. En utilisant la bouche, de manière douce ou plus appuyée, vous pouvez varier l'intensité de la pression et la cadence à votre rythme, en léchant et en embrassant la verge… On n'oublie pas de saliver pour éviter les frottements désagréables. Pour maximiser les chances de faire une bonne fellation, vous pouvez également tirer (doucement) le pénis vers le bas comme pour le descendre à 90°, titiller les testicules, utiliser les dents (avec parcimonie)… Bref, les possibilités sont multiples.
Comment (bien) faire une fellation ? Techniques et erreurs à éviter
La stimulation de la prostate : le summum du plaisir pour l'homme
Encore tabou chez de nombreuses personnes, la stimulation interne de la prostate (en passant par l'anus) est un très bon moyen de déclencher un orgasme intense chez l'homme. Le "point P", comme on l'appelle, est une petite boule de la taille d'une noix, située sur la paroi interne du rectum, à environ 7 cm de l'anus. Commencez dans un premier temps par masser l'anus avec un peu de lubrifiant puis vous pouvez enfoncer un doigt lentement. Le doigt doit être dirigé vers l'intérieur du bassin. En effleurant la prostate au début, et si la sensation est agréable, vous pouvez adapter le geste en appuyant doucement ou en massant. À vous de choisir également la position qui donne le plus de plaisir à l'homme. Une petite astuce originale : on peut aussi juste poser le doigt sur l'anus et faire vibrer l'avant-bras côté pénis en appuyant fermement sur la zone. À faire cependant si les deux partenaires sont à l'aise avec cette idée. Comme pour toute pratique, la communication devra évidemment être de mise. Très important également : la lubrification qui est nécessaire car contrairement au vagin, l'anus ne produit pas de lubrification naturelle.
Orgasme prostatique : comment stimuler son point P ?
On oublie souvent que le regard peut jouer dans la montée en excitation. Le côté cérébral du sexe est aussi important que le toucher. Quand vous caressez ou léchez votre partenaire, observez ses réactions, regardez-le dans les yeux pour faire monter la passion.
On a tendance à penser que les préliminaires préférés des hommes se résument à une pratique principale : la fellation. Mais non, il existe de nombreuses techniques qui peuvent donner du plaisir à un homme sans commencer nécessairement par cibler son pénis. Le corps possède en effet des zones érogènes étendues que l'on peut explorer pour faire monter l'excitation, voire atteindre l'orgasme.
Les zones érogènes du 3e cercle : lécher, mordiller, caresser ou embrasser le cou, les jambes, le ventre, les fesses, le creux du dos, les lobes d'oreilles, le torse (tétons)… augmentent le désir et le plaisir de l'homme.
Les zones érogènes secondaires : caresser, embrasser ou effleurer ensuite ces zones permet de faire monter d'un cran supplémentaire l'excitation. Sans faire atteindre l'orgasme (quoique ça dépend !), elles décuplent la jouissance. Ces zones sont le pubis, les cuisses (surtout l'intérieur), les testicules, le périnée (espace compris entre la base de la verge et l'anus).
Les zones érogènes primaires : ces zones se situent au niveau des parties génitales. Pour les hommes, ce sont donc le pénis et la prostate. Stimuler ces zones peut faire basculer l'homme à l'orgasme.
La masturbation : pour lui mais aussi mutuelle
Se donner un temps où l'on masturbe l'autre prépare le corps à monter en excitation pour accéder à un plaisir plus grand.
Masser, presser, en utilisant les deux mains, une seule ou même les pieds ou les seins (la fameuse "branlette espagnole")… on varie les plaisirs ! On peut aussi se masturber mutuellement.
Avec les doigts, les mains ou même des accessoires, la masturbation est donc presque un apprentissage des désirs de l'autre.
La fellation : un grand classique que l'on peut revisiter
Le grand classique des préliminaires est certainement la fellation. La muqueuse du gland et de la verge est très sensible. Il est donc logique que cette zone stimule les sens chez l'homme.
Le seul conseil à donner cependant est d'aimer cette pratique autant chez la personne qui la pratique que chez celui qui la reçoit. Car oui, on a le droit aussi de ne pas aimer. En utilisant la bouche, de manière douce ou plus appuyée, vous pouvez varier l'intensité de la pression et la cadence à votre rythme, en léchant et en embrassant la verge… On n'oublie pas de saliver pour éviter les frottements désagréables. Pour maximiser les chances de faire une bonne fellation, vous pouvez également tirer (doucement) le pénis vers le bas comme pour le descendre à 90°, titiller les testicules, utiliser les dents (avec parcimonie)… Bref, les possibilités sont multiples.
Comment (bien) faire une fellation ? Techniques et erreurs à éviter
La stimulation de la prostate : le summum du plaisir pour l'homme
Encore tabou chez de nombreuses personnes, la stimulation interne de la prostate (en passant par l'anus) est un très bon moyen de déclencher un orgasme intense chez l'homme. Le "point P", comme on l'appelle, est une petite boule de la taille d'une noix, située sur la paroi interne du rectum, à environ 7 cm de l'anus. Commencez dans un premier temps par masser l'anus avec un peu de lubrifiant puis vous pouvez enfoncer un doigt lentement. Le doigt doit être dirigé vers l'intérieur du bassin. En effleurant la prostate au début, et si la sensation est agréable, vous pouvez adapter le geste en appuyant doucement ou en massant. À vous de choisir également la position qui donne le plus de plaisir à l'homme. Une petite astuce originale : on peut aussi juste poser le doigt sur l'anus et faire vibrer l'avant-bras côté pénis en appuyant fermement sur la zone. À faire cependant si les deux partenaires sont à l'aise avec cette idée. Comme pour toute pratique, la communication devra évidemment être de mise. Très important également : la lubrification qui est nécessaire car contrairement au vagin, l'anus ne produit pas de lubrification naturelle.
Orgasme prostatique : comment stimuler son point P ?
On oublie souvent que le regard peut jouer dans la montée en excitation. Le côté cérébral du sexe est aussi important que le toucher. Quand vous caressez ou léchez votre partenaire, observez ses réactions, regardez-le dans les yeux pour faire monter la passion.