Je t’attends, sans un mot, sans bouger, sans défense,
Lié·e par le silence, offert·e à ta présence.
Un ordre, un geste, un regard me suffit,
Et tout en moi cède, consent, et s’adoucit.
Tes mains font la loi, ta voix trace les règles,
Je suis corde, je suis souffle, je suis l’être en veille.
Tu avances, lent·e, cruel·le, précis·e,
Je deviens ta chose, ta scène, ta surprise.
Le plaisir est là, tapi sous l’obéissance,
Chaque attente aiguise, chaque pause est sentence.
Je frémis d’être tien·ne, de t’appartenir,
Et dans ma soumission, c’est moi qui choisis de jouir.
Lié·e par le silence, offert·e à ta présence.
Un ordre, un geste, un regard me suffit,
Et tout en moi cède, consent, et s’adoucit.
Tes mains font la loi, ta voix trace les règles,
Je suis corde, je suis souffle, je suis l’être en veille.
Tu avances, lent·e, cruel·le, précis·e,
Je deviens ta chose, ta scène, ta surprise.
Le plaisir est là, tapi sous l’obéissance,
Chaque attente aiguise, chaque pause est sentence.
Je frémis d’être tien·ne, de t’appartenir,
Et dans ma soumission, c’est moi qui choisis de jouir.